đŸȘ Accord Tolteque Ne Rien Prendre Personnellement

Accordn°2 : ne rien prendre personnellement. Nous projetons tous·tes nos blessures, nos craintes et nos images mentales sur les autres, qui ne sont finalement que des
Les quatre accords toltĂšques de Don Miguel Ruiz sont un rĂ©el incontournable ! L’auteur d’origine sud-amĂ©ricaine nous dĂ©voile sa culture et son savoir transmis de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration par ses ancĂȘtres toltĂšques. Ce livre remet en question notre systĂšme de croyances limitantes, et repose sur 4 postulats Ă  respecter pour chacune de nos dĂ©cisions. 1er accord toltĂšque que votre parole soit impeccable Ce qu’on appelle communĂ©ment le pouvoir du verbe » est ici une notion clĂ©. Il peut ĂȘtre Ă  la fois crĂ©ateur ou une parole impeccable est une parole positive, claire, sainte, qui ne porte pas de insultant une personne, j’attise la haine contre moi-mĂȘme. Toute action nĂ©gative se retourne contre celui qui l’aura prodiguĂ©e. 2e accord toltĂšque n’en faites pas une affaire personnelle Cet accord nous apprend Ă  relativiser nos tracas du quotidien. Il nous fait prendre conscience que la plupart des dĂ©cisions extĂ©rieures ne dĂ©pendent pas de nous, mais de celui qui les prend. Cette notion implique aussi la confiance en soi et l’affirmation de son identitĂ©. Tel un roc, rien ne peut nous toucher personnellement. Par exemple, si vous proposez votre aide Ă  quelqu’un, et que ce dernier refuse. Il a fait le choix de ne pas accepter votre aide pour des raisons propres Ă  cette personne. N’insistez pas. Ne remettez pas en cause qui vous ĂȘtes, et n’en faites pas une affaire personnelle. 3e accord toltĂšque ne faites pas de supposition Supposer, c’est penser Ă  la place de quelqu’un d’autre. Notre Ă©go, se croyant plus fort, prĂ©tend dĂ©tenir la vĂ©ritĂ©. Or, chaque vĂ©ritĂ© est propre Ă  chacun. Faites preuve d’humilitĂ© et d’écoute avec les autres afin de ne pas parler Ă  leur place. Par ailleurs, imaginer ce que les autres peuvent penser Ă  notre propos peut nourrir des pensĂ©es infondĂ©es contre soi et nous créées inutilement du souci. Vous voulez savoir ce qu’un proche, un collĂšgue, pense de telle personne ou de telle situation ? Demandez-lui son avis afin de faire taire votre mental, et clarifier vos interrogations. Cette recommandation peut paraĂźtre Ă©vidente, pourtant nous l’appliquons rarement au quotidien
 4e accord toltĂšque faites toujours de votre mieux Ce dernier postulat permet de positiver et de voir le verre Ă  moitiĂ© plein pour chacune de nos expĂ©riences. Faire de son mieux, c’est s’accepter soi-mĂȘme tel que l’on est aujourd’hui. C’est aussi avoir conscience de ses points d’amĂ©lioration pour atteindre son objectif. Comme disait Ă  juste titre Lao Tseu L’échec est le fondement de la rĂ©ussite ». Pensez-vous qu’un scientifique fait une grande dĂ©couverte aprĂšs n’avoir rĂ©alisĂ© qu’une seule expĂ©rience ? Un enfant rĂ©ussit-il Ă  marcher du premier coup ? L’échec nous fait Ă©voluer et grandir ! En rĂ©sumĂ©, les quatre accords toltĂšques vous mĂšneront vers la libertĂ© de l’esprit ! Mettez-les en pratique, et vous observerez une amĂ©lioration dans votre vie. Ce livre est trĂšs accessible, et facile Ă  lire 140 pages. Cliquez sur la photo pour dĂ©couvrir tous les secrets des 4 accords toltĂšques. Bonne lecture ! Acheter chez Fnac Nerien prendre personnellement vous donne une immunitĂ© dans l'interaction que vous avez avec les autres, et ne pas faire de suppositions vous donne une immunitĂ© dans l'interaction que vous avez avec vous-mĂȘme, avec
Pourquoi lire les 4 accords Tolteques ? Pratiquer les quatre accords toltĂšques permet de mieux gĂ©rer sa vie, de vivre plus heureux. Cela ne s’apprend pas en un jour, alors la solution d’ĂȘtre confrontĂ© visuellement rĂ©guliĂšrement Ă  ces 4 accords permet Ă  la fois de faire une introspection, mais aussi de se souvenir afin de les honorer. Quels sont les 4 traitĂ©s toltĂšques rĂ©sumĂ©s ? Le rĂ©sumĂ© des 4 accords toltĂšques Soyez impeccable avec vos paroles. Ne prenez rien de personnel. Ne faites pas de suppositions. Faites toujours de votre mieux. Comment lire les 4 accords toltĂšques ? Les quatre traitĂ©s toltĂšques un livre indispensable Ă  lire pour une annĂ©e 2021 rĂ©ussie 1er accord a une prononciation parfaite ».2Ăšme accord Ne prenez jamais personnellement l’attaque de quelqu’un d’ accord ne faites pas de de 4e faites toujours de votre mieux. Quels sont les 4 accords de Tolteque ? Le premier accord concerne la parole, le second la performance, le troisiĂšme la rĂ©flexion et le quatriĂšme la rĂ©alisation. La cinquiĂšme seconde tempĂšre qui peut nous sĂ©parer des autres. Quels sont les quatre accords toltĂšques la voie de la libertĂ© personnelle ? 1- Que vos paroles soient parfaites ; 2- Ne crĂ©ez pas de problĂšmes personnels ; 3- Ne faites pas de suppositions; 4- Faites toujours de votre mieux. Quels sont les quatre accords toltĂšques la voie de la libertĂ© personnelle ? 1- Que vos paroles soient parfaites ; 2- Ne crĂ©ez pas de problĂšmes personnels ; 3- Ne faites pas de suppositions; 4- Faites toujours de votre mieux. Comment avoir une parole impeccable ? Que signifie la parole parfaite ? C’est un mot qui n’attaque pas, qui ne critique pas et qui ne punit pas. Un mot qui ne s’adresse pas Ă  moi-mĂȘme ni aux autres. Quelle sont les 4 accords toltĂšques ? Le premier accord concerne la parole, le second la performance, le troisiĂšme la rĂ©flexion et le quatriĂšme la rĂ©alisation. La cinquiĂšme seconde tempĂšre qui peut nous sĂ©parer des autres. Quels sont les 4 accords de toltĂšques ? Le premier accord concerne la parole, le second la performance, le troisiĂšme la rĂ©flexion et le quatriĂšme la rĂ©alisation. La cinquiĂšme seconde tempĂšre qui peut nous sĂ©parer des autres. Comment devenir un bon chevalier ? Et un chevalier ? Les chevaliers sont des soldats de cavalerie qui combattaient souvent avec des Ă©pĂ©es au Moyen Âge c’est-Ă -dire vers 476 Ă  1492. C’était un soldat et un noble. Son premier devoir Ă©tait de se battre pour son seigneur son suzerain dont il Ă©tait le vassal. Comment devenir chevalier aujourd’hui ? AprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©cuyer pendant 4 ans, il est temps d’ĂȘtre un chevalier complet. Le doublage est une cĂ©rĂ©monie qui permet Ă  l’écuyer de devenir chevalier. La veille de cette grande cĂ©rĂ©monie, l’écuyer passe la nuit chez son parrain, qui est en fait le seigneur qui le protĂšge. Ils prient ensemble. Comment devenir membre chevalier de colombe ? Pour ĂȘtre chevalier, vous devez ĂȘtre parrainĂ©, soit par l’intermĂ©diaire de personnes que vous connaissez dĂ©jĂ  membres, soit en demandant Ă  votre conseil d’administration du 2905. Si vous ne connaissez pas de chevalier, contactez-nous. Comment devenir Templier aujourd’hui ? Pour devenir Templier, les membres prĂȘtent serment de porter les valeurs templiĂšres et de respecter scrupuleusement les rĂšgles et rĂšglements d’origine de l’Ordre. L’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ et le Temple de Salomon sont reconnus dans le monde entier comme l’authentique Ordre des Templiers. Comment ĂȘtre un bon chevalier ? Les qualitĂ©s d’un chevalier idĂ©al sont la sagesse, le courage, la gĂ©nĂ©rositĂ© et la loyautĂ©. Quels sont les trois rĂšgles de la chevalerie ? Bienveillance Le chevalier ne doit pas cĂ©lĂ©brer son travail, mais laisser les autres le faire pour lui. Il doit raconter les exploits des autres avant lui pour leur donner la renommĂ©e qu’ils mĂ©ritent. Franchement les chevaliers doivent parler aussi sincĂšrement que possible. Quelles sont les qualitĂ©s d’un bon chevalier ? Le chevalier respectait une certaine morale et mode de vie, il devait avoir un comportement chevaleresque. Ce mot se qualifie dans le vocabulaire courant de quelqu’un qui fait preuve de courage, de bienveillance, de gĂ©nĂ©rositĂ©. Quels sont les 5 accords toltĂšques ? Le quatriĂšme accord toltĂšque est le suivant faites toujours de votre mieux ». Quels sont les quatre accords toltĂšques sur la voie de la libertĂ© personnelle ? 1- Que vos paroles soient parfaites ; 2- Ne crĂ©ez pas de problĂšmes personnels ; 3- Ne faites pas de suppositions; 4- Faites toujours de votre mieux. Pourquoi 5 accords toltĂšques ? 5 Accords ToltĂšques Cinq Accords ToltĂšques en guise de codes de dĂ©ontologie » qui permettent d’apprĂ©hender le monde sereinement, et de façon plus saine. Ce sont des sortilĂšges pleins de bon sens, mais surtout d’une grande puissance. Quels sont les les 4 accords toltĂšques ? Accord 1 Que votre discours soit 2 Ne jamais prendre les choses 3 Ne jamais faire de 4 Faites toujours de votre mieux. Comment avoir une parole impeccable ? Que signifie la parole parfaite ? C’est un mot qui n’attaque pas, qui ne critique pas et qui ne punit pas. Un mot qui ne s’adresse pas Ă  moi-mĂȘme ni aux autres. Comment lire les 4 accords toltĂšques ? Les quatre traitĂ©s toltĂšques un livre indispensable Ă  lire pour une annĂ©e 2021 rĂ©ussie 1er accord a une prononciation parfaite ».2Ăšme accord Ne prenez jamais personnellement l’attaque de quelqu’un d’ accord ne faites pas de de 4e faites toujours de votre mieux. Quel est le deuxiĂšme accord toltĂšque ? Le deuxiĂšme accord toltĂšque est Quoi qu’il arrive, ne le rendez pas personnel. Pour prendre un exemple simple, si quelqu’un vous insulte, ne prenez pas ce qui est dit par cette personne. Quelqu’un qui vous insulte vous envoie du poison. Comment lire les 4 traitĂ©s toltĂšques ? Les quatre traitĂ©s toltĂšques un livre indispensable Ă  lire pour une annĂ©e 2021 rĂ©ussie 1er accord a une prononciation parfaite ».2Ăšme accord Ne prenez jamais personnellement l’attaque de quelqu’un d’ accord ne faites pas de de 4e faites toujours de votre mieux. Quels sont les 4 accords toltĂšque ? Le premier accord concerne la parole, le second la performance, le troisiĂšme la rĂ©flexion et le quatriĂšme la rĂ©alisation. La cinquiĂšme seconde tempĂšre qui peut nous sĂ©parer des autres. Comment faire une supposition ? Quand quelqu’un dit quelque chose que nous ne comprenons pas, nous faisons des suppositions sur ce que cela signifie et finalement, sans nous en rendre compte, nous le prenons alors pour sĂ»r Un tel a dit ceci » si c’est juste ce que nous comprenons. d’aprĂšs ce que Telel a dit. Comment ne pas faire d’hypothĂšses ? Poser des questions. Il n’y a rien de mieux Ă  la fin de ne pas faire d’hypothĂšses que de poser des questions. Au lieu de faire un remue-mĂ©ninges sur les actions, les pensĂ©es, les paroles ou le silence d’une personne, demandez-lui. Comment faire des suppositions ? Nous risquons de faire des hypothĂšses de problĂšmes personnels voir deuxiĂšme traitĂ© toltĂšque. Nous risquons de les transformer en toxines Ă©motionnelles puis en souffrance. Nous croyons que nos suppositions sont la vĂ©ritĂ©. Nous supposons mĂȘme que les autres savent ce que nous pensons, quels sont nos besoins. Quels sont les 5 accords toltĂšques ? Le premier accord concerne la parole, le second la performance, le troisiĂšme la rĂ©flexion et le quatriĂšme la rĂ©alisation. La cinquiĂšme seconde tempĂšre qui peut nous sĂ©parer des autres. Je vous propose 5 exercices pour pratiquer chacun de ces accords toltĂšques. Comment avoir une parole impeccable ? Que signifie la parole parfaite ? C’est un mot qui n’attaque pas, qui ne critique pas et qui ne punit pas. Un mot qui ne s’adresse pas Ă  moi-mĂȘme ni aux autres. Pourquoi 5 accords toltĂšques ? 5 Accords ToltĂšques Cinq Accords ToltĂšques en guise de codes de dĂ©ontologie » qui permettent d’apprĂ©hender le monde sereinement, et de façon plus saine. Ce sont des sortilĂšges pleins de bon sens, mais surtout d’une grande puissance.
Nimaginez pas que vous ne prendrez plus jamais rien personnellement; faites seulement de votre mieux. Ne croyez pas que vous ne ferez plus jamais la moindre supposition, mais vous pouvez parfaitement faire de votre mieux. Quelles que soient les circonstances faites simplement de votre mieux, ni plus, ni moins. Si vous vous acharnez Ă  vouloir faire davantage que votre Don Miguel propose, en des termes simples, comment se libĂ©rer du conditionnement collectif, basĂ© sur la peur. Retrouver la dimension d’amour inconditionnel qui est Ă  notre origine constitue le fondement des accords toltĂšques. Que votre parole soit impeccable Si elle rĂ©ussit Ă  capter notre attention, une parole peut pĂ©nĂ©trer notre esprit et changer toute une croyance, en mieux ou en pire. Il s’agit de parler avec intĂ©gritĂ©, sincĂ©ritĂ© et authenticitĂ©, au plus prĂšs de votre cƓur. Être impeccable, c’est ne rien faire contre soi-mĂȘme. Lorsque vous ĂȘtes impeccable, vous assumez la responsabilitĂ© de vos actions, mais vous ne vous jugez pas, vous ne vous critiquez pas. Pour que votre parole soit impeccable, il ne faut donc pas l’utiliser contre soi. Si je vous aime, vous m’aimerez. Si je vous insulte, vous m’insulterez. Si j’ai de la gratitude envers vous, vous en aurez envers moi. Si je suis Ă©goĂŻste avec vous, vous le serez avec moi. Si j’utilise ma parole pour vous jetez un sort, vous m’en jetterez un aussi. Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle Non, je ne prends rien de ce qui m’est dit ou de ce qui m’arrive de façon personnelle. Nous faisons des suppositions sur ce que les autres font ou pensent, forts de quoi nous en faisons une affaire personnelle, puis nous leur en voulons et nous leur communiquons du poison Ă©motionnel par nos propos. Ce que vous pensez, ce que vous ressentez c’est votre problĂšme, pas le mien. C’est votre façon de voir le monde. Cela ne me touche pas personnellement, parce que vous n’ĂȘtes confrontĂ© qu’à vous mĂȘme, pas Ă  moi. D’autres auront une opinion diffĂ©rente, selon leur systĂšme de croyance ; donc ce qu’ils pensent de moi ne concerne pas vraiment ma personne, mais eux-mĂȘmes. Je suis votre prĂ©texte pour vous mettre en colĂšre. Celle-ci est provoquĂ©e par votre peur. Si vous n’avez pas peur, il vous est impossible d’ĂȘtre irritĂ© contre moi, de me haĂŻr, d’ĂȘtre jaloux ou triste. Il suffit d’avoir confiance en votre capacitĂ© Ă  effectuer des choix responsables. Vous n’ĂȘtes jamais responsable des actions d’autrui. Ne faites pas de suppositions Il vaut toujours mieux poser des questions que de faire des suppositions ; parce que celles-ci nous programment Ă  souffrir. Nous supposons que tout le monde voit la vie comme nous la voyons, que les autres pensent comme nous pensons, qu’ils ressentent les choses comme nous les ressentons, qu’ils jugent comme nous les jugeons. Oeuvre de Rodriguez Salvador C’est la raison pour laquelle nous craignons d’ĂȘtre nous mĂȘme avec les autres, car nous pensons qu’ils vont nous juger, nous maltraiter et nous critiquer comme nous le faisons nous-mĂȘmes. C’est pourquoi, avant mĂȘme que les autres puissent nous rejeter, nous nous sommes dĂ©jĂ  rejetĂ© nous –mĂȘmes. Si les autres se transforment, c’est parce qu’ils veulent changer et non parce que vous en avez le pouvoir. Puis un incident se produit, vous vous sentez blessĂ©. Vous voyez tout d’un coup ce que vous refusiez de voir avant, dĂ©sormais amplifiĂ© par votre poison Ă©motionnel. Il vous faut maintenant justifier votre douleur Ă©motionnelle en rendant l’autre responsable de vos choix. Voici ce que je veux, voilĂ  ce que vous voulez. Si nous communiquons ainsi, notre parole devient impeccable. Vous n’aurez plus besoin de faire des suppositions car tout deviendra clair. Faites toujours de votre mieux Agir c’est ĂȘtre vivant. C’est prendre le risque de sortir de votre coquille et d’exprimer votre rĂȘve. Ce n’est pas la mĂȘme chose que d’imposer son rĂȘve Ă  autrui, car chacun a le droit d’exprimer son rĂȘve. La meilleure façon de remercier la Vie est de se dĂ©tacher du passĂ© et de vivre l’instant prĂ©sent, ici et maintenant. Vous ĂȘtes nĂ© avec le droit d’ĂȘtre heureux, le droit d’aimer, de vous rĂ©jouir et de partager votre amour. Vous ĂȘtes vivant, alors embrassez votre Vie et apprĂ©ciez la. Ne rĂ©sistez pas Ă  la Vie qui s’exprime en vous, elle prouve l’existence de la Vie et de l’Energie. Si vous faites toujours de votre mieux, continuellement vous deviendrez un Maitre de la Transformation. C’est la pratique qui fait le Maitre. Tout ce que vous savez, vous l’avez appris par la rĂ©pĂ©tition. Vous avez appris Ă  Ă©crire, Ă  conduire et mĂȘme Ă  marcher par la rĂ©pĂ©tition. Vous ĂȘtes maĂźtre dans l’art de parler parce que vous vous ĂȘtes exercĂ©. Agir, mettre en pratique, voilĂ  ce qui fait la diffĂ©rence. Respectez votre corps, apprĂ©ciez-le, aimez-le, nourrissez-le, lavez-le et soignez-le. Faites de l’exercice et adonnez vous Ă  des activitĂ©s qui font du bien Ă  votre corps. C’est un plaisir pour votre corps et une communion entre vous et l’Énergie. Chaque pensĂ©e devient alors une communion et vous vivez un rĂȘve exempt de jugements, de sentiments de victime et du besoin de mĂ©dire ou de vous faire du tort. Ne vous souciez pas du futur ; gardez votre attention concentrĂ©e sur aujourd’hui et demeurez dans l’instant prĂ©sent. Vivez simplement un jour Ă  la fois. Brisez les vieux accords Nous recherchons la libertĂ© d’ĂȘtre nous mĂȘme, d’exprimer ce que nous sommes. Mais en observant notre vie, nous voyons que la plupart du temps nous agissons simplement pour faire plaisir Ă  autrui, pour ĂȘtre acceptĂ© par les autres, plutĂŽt que de vivre notre vie pour nous faire plaisir Ă  nous mĂȘme. Tout comme l’enfer, le paradis est un lieu qui existe dans notre esprit. Il y rĂšgne la joie, on y est heureux, libre d’aimer et d’ĂȘtre qui on est vraiment. On peut atteindre le paradis en Ă©tant encore en vie, pas besoin d’attendre d’ĂȘtre mort. On doit se libĂ©rer du parasite. L’étape suivante consiste donc Ă  dĂ©velopper la conscience de toutes les croyances limitatrices, fondĂ©es sur la peur, qui vous rendent malheureux. Vous devenez un Maitre de la Transformation en modifiant les accords basĂ©s sur la peur qui vous font souffrir et en reprogrammant votre esprit Ă  votre maniĂšre. Plus vous serez fort, plus vous romprez d’anciens accords jusqu’à ce que vous atteigniez le noyau de tous les accords. Atteindre ce noyau central, c’est aller dans le dĂ©sert, se retrouver face Ă  vos dĂ©mons intĂ©rieurs. Une fois ressortis du dĂ©sert, tous ces dĂ©mons deviennent des anges. Les humains souffrent d’une maladie mentale la peur. Les symptĂŽmes de cette maladie colĂšre, haine, tristesse, envie et trahison. On doit pardonner Ă  tout ceux qui nous nous ont fait du tort, non pas parce qu’ils mĂ©ritent d’ĂȘtre pardonnĂ©s, mais parce qu’on s’aime tellement soi-mĂȘme qu’on ne veut plus continuer Ă  payer pour les injustices passĂ©es. Il vous faut tout d’abord pardonner Ă  vos parents, frĂšres, sƓurs, amis et Ă  Dieu. Lorsque vous avez pardonnĂ© Ă  Dieu, vous pouvez finalement vous pardonner vous-mĂȘme. Vous saurez que vous avez pardonnĂ© Ă  quelqu’un lorsque vous serez capable de le voir sans rĂ©agir Ă©motionnellement. Lorsqu’on perd le contrĂŽle, on dit des paroles qu’on ne voulait pas dire, on fait des choses qu’on ne voulait pas faire, on rĂ©prime ses Ă©motions. La diffĂ©rence entre guerrier et victime la victime rĂ©prime ses Ă©motions tandis que le guerrier les rĂ©frĂšne. La victime rĂ©prime parce qu’elle a peur d’exprimer ses Ă©motions. Le guerrier rĂ©frĂšne il contient ses Ă©motions pour les exprimer au bon moment ni avant, ni aprĂšs. VoilĂ  pourquoi les guerriers sont impeccables. Source Don Miguel RUIZ. Les quatre accords toltĂšques. Jouvence. 2005.

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Comprendre le deuxiĂšme accord toltĂšque
 Quand nous prenons quelque chose personnellement, nous nous sentons directement concernĂ©s, visĂ©s. Si, face Ă  ce que quelqu’un a fait ou a manquĂ© de faire, a dit ou n’a pas dit, nous nous sentons blessĂ©s, Ă©nervĂ©s, humiliĂ©s ; si nous ressentons le besoin de nous justifier – nous ou notre point de vue- d’avoir raison
, c’est que nous venons de le prendre personnellement. Ce deuxiĂšme accord toltĂšque est assez difficile Ă  mettre en place parce que nous avons souvent du mal Ă  voir comment nous pouvons faire autrement que de prendre ce qui nous arrive de façon personnelle. Pourtant, ce que l’autre dit ou fait ne nous concerne pas. Pour faire autrement nous devons changer notre vision 1. Prendre conscience que les autres sont dans un monde, un rĂȘve diffĂ©rent du nĂŽtre Du point de vue toltĂšque nous rĂȘvons en permanence. Cela veut dire que ce que nous appelons rĂ©alitĂ© n’est qu’une interprĂ©tation de celle-ci, et cette interprĂ©tation nous la faisons Ă  partir du filtre de nos sens, de notre histoire, de ce que nous avons vĂ©cu, du sens que nous y avons donnĂ© et des croyances que nous y avons mises en place. Le filtre est diffĂ©rent pour chacun de nous, c’est pour cela que nous vivons tous dans des rĂȘves diffĂ©rents car l’interprĂ©tation que nous faisons de la rĂ©alitĂ© n’est pas la mĂȘme. Si nous arrivons Ă  prendre vraiment conscience que nous vivons chacun dans un monde diffĂ©rent, que la rĂ©alitĂ© de l’autre n’est pas la nĂŽtre, alors nous allons commencer trĂšs facilement Ă  ne pas prendre personnellement ce que l’autre fait ou ne fait pas, dit ou ne dit pas. Nous ne sommes pas responsables et nus n’avons aucun pouvoir sur ce que les autres pensent, disent ou font. Ce qu’ils pensent, disent ou font dĂ©pend de leur systĂšme de croyances. En en faisant une affaire personnelle on donne notre pouvoir Ă  l’autre. 2. Sortir de la dĂ©pendance du regard de l’autre Une autre difficultĂ© quand nous essayons de mettre en place cet accord dans nos vies vient du fait que nous nous efforçons de ne pas prendre personnellement ce qui nous blesse, mais que nous ne faisons pas attention Ă  ne pas prendre personnellement ce qui nous fait plaisir ou nous met en valeur
 Il est important d’avoir conscience que les compliments viennent autant que les critiques de la rĂ©alitĂ© de l’autre, donc qu’ils concernent l’autre et non nous. Tenir compte de cela nous aide Ă  sortir de la dĂ©pendance du regard de l’autre. C’est Ă  travers l’autre que nous avons tendance Ă  chercher l’amour, la reconnaissance, notre valeur, nous avons peur que l’autre nous rejette, qu’il ne nous trouve pas bien, pas Ă  la hauteur
 Nous cherchons cette approbation chez l’autre parce que nous nous jugeons nous-mĂȘmes pas assez bien. Cette façon de faire crĂ©e une faille chez nous qui va nous faire rĂ©agir personnellement Ă  ce que l’autre va dire ou faire. Tant que nous avons besoin que l’autre nous aime, reconnaisse notre valeur, ait une bonne image de nous
, nous allons avoir beaucoup du mal Ă  ne pas prendre personnellement ce qu’il dit ou fait. 3. Comprendre que personne n’a de pouvoir sur nos Ă©motions Souvent nous rendons l’autre responsable de nos Ă©motions, tu m’énerves » tu me fais souffrir », etc. si nous rĂ©agissons Ă©motionnellement, ce n’est pas Ă  cause de l’autre, nous rĂ©agissons parce que les mots ou les actes de l’autre ont touchĂ© quelque chose qui Ă©tait dĂ©jĂ  blessĂ© en nous. LĂ  vous pourriez me dire oui, mais ce qu’il a dit ou fait n’était pas juste. Peut ĂȘtre que c’est ne pas juste, mais si nous n’avons pas de blessure, mĂȘme en n’étant pas justes, les mots ou actions de l’autre ne peuvent pas nous blesser. C’est bien parce que nous avons des point sensibles qu’ils nous blessent. Aussi longtemps que nous croirons que nous souffrons Ă  cause des autres, nous leur donnons le pouvoir sur notre vie. Si nous prenons la responsabilitĂ© de nos Ă©motions et identifions nos blessures, nous pouvons agir sur elles et nous en libĂ©rer. Personne ne peut faire cela pour nous, personne ne peut guĂ©rir nos blessures, personne ne peut nous libĂ©rer de nos limites, c’est notre responsabilitĂ© et notre choix. Si nous faisons le choix de regarder nos blessures et de nous en occuper, nous reprenons notre pouvoir et nous pouvons ainsi changer notre vie. Si nous attendons que ce soit l’autre qui prend la responsabilitĂ© de nos Ă©motions en ne touchant pas nos blessures, nous lui donnons notre pouvoir et le pouvoir sur notre vie. Quel est donc l’intĂ©rĂȘt de ne rien prendre personnellement? Être libre d’ĂȘtre complĂštement soi-mĂȘme, sortir de la dĂ©pendance Ă  l’autre et entrer dans le vrai amour de soi. Être heureux. Coral Jardon Paru dans Strada la vie d’ici n°22 Coach en dĂ©veloppement personnel en Haute-Loire, Accompagnement thĂ©rapeutique, MarinaDel Rey Hotel, Marina del Rey dĂšs 265€ sur Tripadvisor: Consultez les 1 199 avis de voyageurs, 708 photos, et les meilleures offres pour Marina Del Rey Hotel, classĂ© n°1 sur 10 hĂŽtels Ă  Marina del Rey et notĂ© 4,5 sur 5 sur Tripadvisor. Vous avez dĂ©jĂ  entendu parler des 4 ou 5 accords ToltĂšques ? Ce livre, qui est un best-seller mondial, demande vraiment Ă  ĂȘtre lu par chacun. Dans cet article je vais vous informer sur D’oĂč viennent ces fameux accords ToltĂšques ? Les 4 accords ToltĂšques qu’est ce que c’est ? Qu’est ce que le 5Ăšme accord ToltĂšque ? Mon avis Peut-ĂȘtre que mes infos vous donneront envie d’en lire plus 😉 Allons y 
 Voie de la libertĂ© personnelle et de la maĂźtrise de soi, ces deux livres sont dans la catĂ©gorie DĂ©veloppement personnel. Et on a tous besoin de dĂ©veloppement personnel, surtout dans l’ùre dans laquelle on vit ! Voyons un peu
 D’oĂč viennent ces fameux accords ToltĂšques ? L’origine de la traditions ToltĂšque, qui est une gardienne des connaissances de Quetzacoatl Serpent Ă  plumes », viennent des Chamans du Mexique. L’auteur de ces best-seller se nomme Don Miguel, il rĂ©vĂšle la source des croyances limitatrices et aussi comment le processus Ă©ducatif nous fait oublier la sagesse inhĂ©rente avec laquelle nous venons au monde. Qui n’a jamais rĂȘvĂ© de casser toutes les croyances qu’on nous a infligĂ© et de recommencer Ă  zĂ©ro en crĂ©ant nos propres croyances ? Les croyances limitatrices nous privent souvent de bonheur personnel et de joie. Elles crĂ©ent des souffrances inutiles tout au long de notre vie. Vous arrive-t’il de vous prendre la tĂȘte » pour des choses dĂ©risoires ? Don Miguel montre comment on peut se libĂ©rer du conditionnement afin de retrouver la dimension d’amour inconditionnel qui fait partie de notre origine. La peur, l’envie, la colĂšre, la dĂ©ception ; toutes ces Ă©motions n’ont pas lieu d’ĂȘtre si on ne nous conditionne pas pour les ressentir. Don Miguel nĂ© au Mexique et Ă©levĂ© par une mĂšre curendera guĂ©risseuse et un grand-pĂšre nagual Chaman. Il Ă  fait des Ă©tudes de mĂ©decine pour devenir chirurgien. Une rencontre avec la mort dans les annĂ©es 70 a changĂ© sa vie. DĂšs lors il s’est consacrĂ© Ă  la maĂźtrise de la sagesse ancestrale. Il est devenu un nagual de la lignĂ©e des chevaliers de l’Aigle, vouĂ© au partage de sa connaissance des enseignements ToltĂšques. Allons voir la suite
 Les 4 accords ToltĂšques qu’est ce que c’est ? Ces 4 accords sont un puissant code de conduite capable de transformer notre vie en une aventure et expĂ©rience de libertĂ©, de bonheur absolu et d’amour. Ils ont Ă©tĂ© publiĂ©e il y a de nombreuses annĂ©es. Ces accords sont en mesure de transformer la vie de chacun, de façon positive, Ă©videmment 😉 Sans plus attendre, je vais vous expliquer en rĂ©sumĂ©, oui parce que vous expliquer tout le livre c’est un peu long -, les 4 accords ToltĂšques
 Le premier accord ToltĂšque Que votre parole soit impeccable Ce premier accord est tout ce que vous avez forger une vie magnifique. C’est l’accord le plus important et aussi le plus difficile Ă  honorer lorsqu’on commence une transformation de soi. Pourquoi faire attention Ă  notre parole ? La parole est une force, c’est par elle que l’on manifeste nos intentions. Avoir une parole impeccable, avec intĂ©gritĂ©, c’est respecter les autres et aussi se respecter sois-mĂȘme. Elle a un grand pouvoir, vous l’avez certainement remarquĂ© ? Le mauvais usage de la parole, quand celle-ci est destructrice, engendre votre enfer personnel. Tout revient Ă  nous, toujours
 Le bon usage de la parole fait d’elle un pouvoir magique, de bons sentiments, de la positivitĂ©, une force. Le deuxiĂšme accord ToltĂšque Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle Chaque personne de notre entourage voit son propre monde Ă  sa maniĂšre. Votre mĂšre, par exemple, verra votre frĂšre de sa propre maniĂšre, alors que vous, suivant ce que vous avez vĂ©cu avec votre frĂšre, vous le verrez de votre propre maniĂšre. Chacun Ă  sa propre vision de sa propre crĂ©ation de son propre monde ! Ce que les autres disent ou font n’est qu’une projection de leur propre rĂ©alitĂ©, de leur monde intĂ©rieur. Du coup, quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle. Le point de vue de chacun divergera toujours
 Le troisiĂšme accord ToltĂšque Ne faites pas de suppositions On peut dire que tous les conflits sont le rĂ©sultats de mensonges, puisque la vĂ©ritĂ© est exempt de tout conflit. Les mensonges ne sont pas rĂ©els – c’est nous qui les crĂ©ons -, mais nous leur donnons vie et nous les rendons rĂ©els. Faire des suppositions, c’est chercher des ennuis, puisque la plupart d’entre elles ne sont pas vraies 😉 Au lieu de poser des questions, quand nous ignorons quelque chose, nous faisons toutes sorte de suppositions. Quand on pose des questions, et que l’on communique clairement avec les autres, on Ă©limine tout besoin de faire des suppositions, et par consĂ©quent, on Ă©vite tristesse, malentendus et drames. Ne faites pas de suppositions
 Le quatriĂšme accord ToltĂšque Faites toujours de votre mieux Une fois que vous ĂȘtes prĂȘts Ă  changer de vie et Ă  modifier vos accords, ce qu’il y a de plus important, c’est la conscience. En effet, comment on peut modifier quoi que ce soit, si on ne sait pas ce qu’on aimerait changer ? Avec de la pratique et de l’entraĂźnement, on arrive Ă  changer et Ă©viter le jugement de sois, la culpabilitĂ© et aussi d’avoir des regrets. Le changement est la consĂ©quence de l’ACTION. C’est la pratique qui conduit Ă  la maĂźtrise ! En conclusion, votre mode de vie actuel est le rĂ©sultat de nombreuses annĂ©es d’entraĂźnements 😉 Faites toujours de votre mieux
 Qu’est ce que le 5Ăšme accord ToltĂšque ? Le premier accord ToltĂšque, Que votre parole soit impeccable, est tout ce dont vous avez besoin pour vous forger une vie magnifique. Quand quoi qu’il arrive, vous n’en faites pas une affaire personnelle, quand vous ne faites pas de suppositions, vous imaginez bien qu’il est plus facile d’avoir une parole impeccable. Quand vous ne faites pas de suppositions, il est plus facile de ne rien prendre personnellement, et vice versa 🙂 Les 3 premiers accords sont difficiles Ă  tenir mais pas impossible. C’est le quatriĂšme accord, faites toujours de votre mieux, qui rend tout le reste possible. Ni plus, ni moins ! Faites simplement de votre mieux, faites le, passez Ă  l’ACTION. Le cinquiĂšme accord ToltĂšque Soyez sceptique, mais apprenez Ă  Ă©couter Soyez sceptique, car la majeure partie de ce que vous entendez n’est pas vrai 😀 Ils peuvent ĂȘtre vrai uniquement parce que nous nous sommes mit d’accord Ă  leur sujet ! Apprenez Ă  Ă©couter
 Si vous apprenez Ă  Ă©couter, vous comprendrez la signification des symboles qu’utilisent les gens, vous comprendrez leur histoire et dĂšs lors la communication s’amĂ©liorera beaucoup. Et arrive la clarté  Soyez sceptique » est un outil magistral, puisqu’il fait appel au pouvoir du doute pour discerner la vĂ©ritĂ© ! Est-ce la vĂ©ritĂ© ou non ? S’agit-il d’une rĂ©alitĂ© ou d’une rĂ©alitĂ© virtuelle ? En vous montrant sceptique vous ne goberez et croirez pas systĂ©matiquement chaque message venant Ă  vous. Mon avis Ces 5 accords m’ont appris beaucoup sur moi-mĂȘme et sur les autres. Je vous conseil de les lire, vous risquez bien de vous sentir Ă©voluĂ© et super bien dans votre peau et aussi dans votre Ăąme ! Les gens ont des croyances qui font office de miroir et celles-ci leurs montrent que ce qu’ils croient, or ce n’est pas du tout la vĂ©ritĂ©, c’est juste leur vĂ©ritĂ© qui est dans leur monde. De ce fait, ils projettent ce qu’ils croient sur vous, et vous percevez ces projections, mais vous n’en faits pas une affaire personnelle, puisque vous ne faites pas la supposition que ce qu’ils projettent est vrai. Vous savez que leurs projection correspondent Ă  ce qu’ils croient Ă  leur propos, et si vous le savez, c’est tout simplement parce que vous agissiez comme eux, autrefois. » Voila un texte qui me parle Ă©normĂ©ment en cet instant prĂ©sent. On peut dire que j’en suis la 😉 Ma premiĂšre lecture des accords ToltĂšque Ă  commencĂ© il y a 3 ans. Je vous encourage Ă  les lire, cela risque de vous changer pour obtenir une meilleur version de vous ! Vous me tenez au courant ? Amicalement, StĂ©phanie Cet article sur Les accords ToltĂšques prĂ©sentation et mon avis » vous a plu ? Merci de me laisser un commentaire et aussi de le partager, j’en serais ravie 😉
AccordtoltÚque #2 Ne prends rien personnellement! Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur réalité
Les Quatre Accords ToltĂšques, de Don Miguel Ruiz Je viens vous parler d’un livre que je viens de dĂ©couvrir et qui est vraiment fascinant
 Il s’agit du cĂ©lĂšbre livre des 4 accords ToltĂšques, de Don Miguel Ruiz, dont je connaissais juste les grands principes mais sans jamais avoir Ă©tĂ© creusĂ© plus profondĂ©ment
 Cet auteur mexicain, propose quelques rĂšgles de vie Ă  appliquer au quotidien, pour poursuivre son cheminement personnel, pour changer, amĂ©liorer sa vie, Ă©voluer, se transformer, pour ainsi vivre dans un monde rempli de sĂ©rĂ©nitĂ©, de joie et de Bonheur!!! Bref devenir plus heureux!!! ***** 1- Que votre parole soit impeccable La parole est un outil trĂšs puissant Un seul mot peut changer une vie ! Une parole impeccable est une parole positive, respectueuse des autres et surtout de soi-mĂȘme. Le but est de parler et communiquer avec sincĂ©ritĂ© et bienveillance, en ne disant que ce que vous ressentez et pensez rĂ©ellement. N’utilisez pas la parole contre vous-mĂȘme en vous dĂ©valorisant, ni pour mĂ©dire, ou critiquer les autres. Il s’agit ainsi d’apprendre Ă  s’exprimer de façon consciente, c’est Ă  dire en veillant Ă  exprimer des choses qui vous appartiennent, de façon positive et constructive. Il est Ă©galement utile de surveiller vos pensĂ©es et d’apprendre Ă  ne plus vous juger sĂ©vĂšrement “je suis nul”, “je suis moins bien que 
”. Ce qui par consĂ©quent n’est pas des paroles impeccables sont les critiques, mensonges, les dĂ©valorisations ou jugements,,, Une parole impeccable va vous immuniser contre le poison d’autrui, car, en soignant votre parole, vous soignez votre esprit qui deviendra fertile Ă  recevoir des paroles impeccables et stĂ©riles au reste. ***** 2- Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle Quoi qu’il arrive, ne prenez pas les choses de façon personnelle vous n’ĂȘtes responsable des actes et des paroles d’autrui. “Le jugement des autres ne concerne que celui qui juge, pas celui qui est jugĂ©â€. On a tendance Ă  se dire que tout ce qui arrive nous concerne. L’idĂ©e est de vous dĂ©tacher de tout ça pour Ă©viter la souffrance. Si vous avez conscience que chacun a sa propre vision du monde, et que quoique que vous fassiez, les autres continueront de vous juger, alors vous comprendrez que cela ne vous sers Ă  rien de prendre personnellement les critiques des autres. Et grĂące Ă  cela, vous vous dĂ©tacherez du jugement des autres et tous les Ă©vĂ©nements qui vous arriveront au quotidien n’auront plus d’emprise sur vous. Vous allez gagner Ă©normĂ©ment en libertĂ© quand le regard extĂ©rieur vous importera peu. Quand le jugement des autres ne vous atteint plus, vous pouvez prendre vos propres dĂ©cisions sans avoir peur d’ĂȘtre ridicule, ou de ne pas ĂȘtre acceptĂ©. Chacun est responsable de ses dĂ©cisions, mais pas de celles des autres. Il faut donc prendre confiance en soi et en ses dĂ©cisions, pour ne plus ĂȘtre dĂ©pendant des autres. ***** 3- Ne faites pas de suppositions Lorsqu’on fait des suppositions sur une personne, on ne peut que se tromper, puisque celle-ci n’est pas nous, et qu’elle vit dans sa bulle, dans sa propre rĂ©alitĂ©. On a aussi tendance Ă  interprĂ©ter des Ă©vĂšnements en leur donnant le sens que nous pensons qu’ils ont. Le problĂšme ensuite c’est que nous finissons par croire ces interprĂ©tations comme rĂ©elles alors qu’elles sont erronĂ©es. “On croit souvent que les autres pensent, ressentent et fonctionnent comme nous“. PlutĂŽt que de supposer, c’est vraiment indispensable d’oser poser des questions, et d’écouter attentivement les rĂ©ponses jusqu’à ĂȘtre sĂ»r de leurs intentions. Communiquez aussi clairement que possible avec les autres pour Ă©viter des malentendus, de la tristesse, voir des drames. ***** 4- Faites toujours de votre mieux L’idĂ©e est de faire chaque tĂąche en donnant le meilleur de toi-mĂȘme. Par contre votre mieux » est variable d’un instant Ă  un autre
 par exemple si vous ĂȘtes fatiguĂ©, malade ou au top, en pleine forme, votre “mieux” ne sera pas le mĂȘme
 Mais quelle que soient les circonstances, faites de vous mieux, ni trop, ni moins. Lorsque que vous en faites trop, vous vous videz de toute votre Ă©nergie, et si vous en faites moins, vous vous exposez Ă  la frustration, Ă  la culpabilitĂ© et au regret. L’idĂ©e est d’arriver Ă  trouver le juste Ă©quilibre, pour ne pas vous juger. Faire de son mieux nous pousse Ă  agir sans s’attacher Ă  un rĂ©sultat immĂ©diat. L’action est primordiale pour progresser et accomplir les choses qui sont importantes Ă  vos yeux. Chaque action que vous rĂ©alisez est Ă  entreprendre pour le plaisir. Le plaisir d’agir sans attendre quelque chose en retour vous fera apprĂ©cier chacune de vos expĂ©riences. Et si vous passez Ă  l’action par plaisir, alors il vous sera bien plus simple de faire de votre mieux. Cette attitude vous permet de profiter pleinement de la vie, sans aucun regret. ***** En appliquant ces quatre accords ToltĂšques, cela permettra de mieux gĂ©rer sa vie, d’évoluer positivement, et de vivre dans un monde plus serein et plus heureux. IntĂ©ressant, non? Pour cela, quelques efforts vous seront demandĂ©s car on n’ intĂšgre pas ces accords en une seule journĂ©e, cela demande un peu d’entrainement, d’exercices, de mises en applications progressives
 Vous pouvez, par exemple, commencer par appliquer un accord par jour, et Ă  la fin des 4 jours, vous recommencez, et au bout de quelques temps, cela vous paraĂźtra plus simple, et votre vie en sera transformĂ©e. ***** Le BONHEUR ne tient qu’à nous. Il consiste Ă  SOURIRE Ă  la VIE, Ă  EXPLORER sans peur, Ă  S’EXPRIMER ouvertement, Ă  VIVRE dans le MOMENT PRÉSENT, sans tout baser sur le passĂ© et/ou le futur, Ă  AIMER sans crainte, Ă  VIVRE NATURELLEMENT. ***** Et pour vous aider Ă  les mettre en application, je vous propose de tĂ©lĂ©charger maintenant et gratuitement un rĂ©sumĂ© des 4 accords ToltĂšques Ă  afficher sur votre frigo ou ailleurs 😉 ***** Et pour en Savoir plus Et vous, par quel accord allez vous commencer Ă  appliquer??? ParOlivier Clerc. " Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ", Ă©nonce le deuxiĂšme accord. " Rien qu’en appliquant ce deuxiĂšme accord " dit don Miguel, " vous commencerez Ă  “C’est l’histoire d’un homme. Comme beaucoup, il se sent unique, quelques fois heureux, parfois triste
 et bien souvent en train de courir aprĂšs la vie de ses rĂȘves sans savoir quand il l’atteindra enfin ! Un soir pluvieux, un dealer lui propose une expĂ©rience hors du commun une drogue venue d’AmĂ©rique Latine. Une drogue censĂ©e lui procurer libertĂ©, bonheur et amour ! Rien que ça ! Dubitatif, mais en mal de sensations fortes, notre hĂ©ros se laisse tenter sans se douter un instant de l’expĂ©rience dans laquelle il s’engage
” Et si cette drogue menant au bonheur n’était pas une substance illicite mais une nouvelle façon de penser, voir, sentir, parler ? C’est ainsi que je considĂšre les 4 accords ToltĂšques de Don Miguel Ruiz. IntriguĂ©e ? Je vous invite Ă  continuer votre lecture pour dĂ©couvrir ces 4 rĂšgles de vie aux effets impressionnants
 A la recherche du bonheur perdu “SitĂŽt le cachet avalĂ©, notre hĂ©ros sentit rapidement sa tĂȘte tourner, s’engourdir
 Et il eut alors une rĂ©vĂ©lation
” Une dĂ©finition de la sagesse PlutĂŽt que de dĂ©finir le bonheur, je vous propose de nous intĂ©resser Ă  la dĂ©finition de la sagesse car la sagesse mĂšne tout simplement au bonheur ! La sagesse peut ĂȘtre dĂ©finie comme l’application du bon sens dans deux directions complĂ©mentaires distinguer dans nos expĂ©riences de tous les jours ce qui fait souffrir de ce qui apaise se dĂ©tacher des choses qui font souffrir et renforcer celles qui apaisent ÉnoncĂ© ainsi, cela semble simple, n’est-ce pas ? Tentons alors de trouver ce qui nous fait le plus souffrir
 Le livre de la loi C’est ici qu’intervient Don Miguel Ruiz, l’auteur de ces 4 fameux accords
 “Combien de fois paie-t-on pour une seule erreur ? RĂ©ponse des milliers. L’ĂȘtre humain est le seul animal sur terre qui paie des milliers de fois pour chacune de ses erreurs. [
] Nous commettons une erreur, nous nous jugeons, nous nous dĂ©clarons coupables et nous nous punissons. [
] Et chaque fois que nous y repensons, nous nous jugeons Ă  nouveau, puis encore une fois, et ainsi de suite.” Et si la source de nos plus grands tourments Ă©tait
 nous-mĂȘme ? Ou plus prĂ©cisĂ©ment cette petite voix de notre juge intĂ©rieur qui Ă©nonce ces critiques incessantes
 “Tu es gros”, “Tu es nul”, en se basant sur son recueil de lois exprimant la “bonne façon d’ĂȘtre, de faire”. Ce livre de la Loi est constituĂ© par l’ensemble des croyances et rĂšgles que nous nous sommes forgĂ©es par Ă©ducation ou expĂ©rience. Cela va de “il ne faut pas arriver en retard” Ă  “je suis un trĂšs mauvais danseur” en passant par “Il faut mettre de la crĂšme solaire en Ă©tĂ©â€. Des accords limitants Ces rĂšgles que nous avons progressivement acceptĂ©es sont nos accords ». Nous y croyons dur comme fer ! Et pourtant certains sont faux depuis le dĂ©but et nous limitent. En effet, on ne nait pas mauvais danseur
 par contre, quelqu’un peut nous le rĂ©pĂ©ter jusqu’à ce que nous y croyions ! Pourtant, il y a fort Ă  parier qu’avec de l’entrainement, ces 2-3 passes de rock qui nous paralysent ne soient plus si impressionnantes ! 4 nouveaux accords pour tout changer “
Du fond de son coeur, il savait dĂ©sormais que la plupart de ses dĂ©mons, de ses peurs Ă©taient dĂ»s Ă  ces accords implicites dont il n’avait jamais eu conscience mais qui rĂ©gissaient pourtant sa vie. L’illumination lui vint alors il lui fallait les remplacer par quelque chose de plus fort
” Et pour ça, les ToltĂšques – peuple antique d’AmĂ©rique du Sud – proposent une solution. Passer avec nous-mĂȘme 4 nouveaux accords. 4 accords sages pour limiter notre malheur. 4 accords Ă  travailler tous les jours, Ă  renforcer, jusqu’à ce qu’ils dĂ©passent nos accords limitants et les dissipent
 Et en pratique ? “L’effet Ă©tourdissant de la drogue s’estompa et laissa notre ami avec ces 4 nouveaux accords
 Leur simplicitĂ© et leur puissance l’avaient marquĂ© Ă  jamais. Il se jura de les appliquer dĂ©sormais
” Le kiff* * effet grisant ressenti pendant l’usage de drogue Les effets de ces accords sont rĂ©ellement impressionnants dĂšs lors que nous les mettons en place. Prise de recul dans les situations oĂč notre Ă©go est mis Ă  mal, fin des ruminations infinies dues aux suppositions
 La “premiĂšre fois” procure un effet grisant ! MĂȘme si tout n’est pas pour autant sous contrĂŽle. La parole impeccable a en effet un coĂ»t aprĂšs toutes ces annĂ©es d’habitudes nĂ©fastes ! La descente* * retour dĂ©sagrĂ©able Ă  l’état prĂ©-kiff Les 2 premiers accords sont sans doute les plus difficiles Ă  maĂźtriser. Sous leur apparence simple se cache une longue gymnastique mentale en vue de parvenir Ă  les appliquer au “moment juste”. C’est-Ă -dire avant de mĂ©dire ou de prendre personnellement une remarque dont notre Ă©go a peur. Si nous n’y parvenons pas, ne nous laissons pas abattre ! Le plus dommage serait de se dĂ©courager en jugeant l’exercice trop difficile, ou en laissant notre juge intĂ©rieur nous en qualifier d’incapable. Se rendre compte Ă  posteriori que nous n’avons pas appliquĂ© un accord n’est pas mal ! Au contraire, ça fait partie de l’entrainement de rĂ©aliser que nous aurions pu rĂ©pondre diffĂ©remment Ă  une situation. C’est ici que le 4e accord fait d’ailleurs son office ne pas nous juger et nous efforcer de faire de notre mieux. La prochaine prise de conscience sera encore plus rapide
 jusqu’à ce qu’elle finisse par prĂ©cĂ©der notre pensĂ©e ! Les fix* * doses de drogue pour rĂ©atteindre l’état de kiff Pour ancrer les 4 accords ToltĂšques, rien ne vaut un entraĂźnement rĂ©gulier ! L’important est de pratiquer rĂ©guliĂšrement pour crĂ©er une habitude. Vous pouvez par exemple choisir de travailler un accord par jour pendant 3 semaines le lundi la parole impeccable, le mardi ne pas en faire une affaire personnelle, etc.. Une fois habituĂ© aux accords, le plus dur reste Ă  faire continuer Ă  pratiquer pour ne pas laisser les anciens accords reprendre le dessus. Pour cela rien ne vaut des petits rappels/ancrages visuels. Vous pouvez par exemple programmer une notification de temps-en-temps sur votre smartphone, Ă©crire et encadrer les accords dans vos toilettes
 ou bien utiliser un des fonds d’écrans pour tĂ©lĂ©phone ci-dessous ! Cliquez sur les images pour les tĂ©lĂ©charger en grandeur nature Pour conclure “Au fil des mois, notre hĂ©ros se dĂ©tacha parfois de ses nouveaux accords, mais les renoua Ă  chaque fois, encore et encore. Et Ă  chaque fois il gagna une dose de libertĂ© et de sĂ©rĂ©nité  Aujourd’hui c’est un homme, qui comme beaucoup, se sent unique. Souvent, il est heureux car il sait se rĂ©jouir des petites et grandes choses
 Mais par dessus tout, il ne court plus aprĂšs ses rĂȘves il Ă©crit les accords qui lui permettent de les vivre !” Et vous ? Qu’aimeriez-vous faire de ces 4 accords ? Je suis convaincu que la communication est la base de tout succĂšs ou Ă©chec dans nos vies. Et bien souvent, elle est le fruit d’une histoire, d’un environnement et du cadre qu’il impose
 C’est l’origine de ma passion pour les 3 sujets de ce blog communication, psychologie, sociologie. Le3Ăšme accord ToltĂšque c’est: « ne fais pas de suppositions ». Les suppositions nous conduisent vers la mĂ©disance et le conflit. Don Miguel Ruiz, dans son livre, nous dit que « la mĂ©disance, c’ est notre maniĂšre de communiquer dans le rĂȘve de l’enfer en Ă©changeant du poison Ă©motionnel les uns avec les autres ». Comment ne pas prendre les critiques
Don Miguel Ruiz AprĂšs avoir lu les livres de Don Miguel Ruiz et eu l’occasion de le rencontrer au Mexique, voici dix ans, j’ai continuĂ© d’utiliser les principes exposĂ©s dans Les Quatre Accords ToltĂšques. J’ai d’ailleurs Ă©crit Ă  l’époque une sĂ©rie d’articles sur les outils toltĂšques que propose Don Miguel, qui sont parus dans divers mĂ©dias français et suisses. C’est avec les deuxiĂšme et troisiĂšme accords toltĂšques que j’ai rencontrĂ© le plus de difficultĂ©s Quoi qu’il arrive, n’en fais pas une affaire personnelle » et Ne fais pas de suppositions ». Cela tient sans doute Ă  leur formulation nĂ©gative, en ne
 pas ». On sait en effet aujourd’hui que le cerveau, et plus particuliĂšrement le subconscient, a du mal Ă  comprendre les ordres nĂ©gatifs, voire – pire – qu’il fait exactement ce qu’on lui intime de ne pas faire. Dites par exemple Ă  un enfant sur son vĂ©lo, Ne t’approche pas trop de ce trou ! », et – devinez quoi ? – il se dirigera droit dessus et tombera dedans. TrĂšs tĂŽt, dans la vie, j’ai pris l’habitude de prendre le contre-pied de mes propres pensĂ©es, d’inverser et de retourner mon point de vue. Je faisais cela au dĂ©but par jeu et par simple curiositĂ©, mais, par la suite, j’ai compris qu’un point de vue unique ne permet jamais d’avoir une vision complĂšte de ce qu’on observe, de mĂȘme qu’un seul spot lumineux produira immanquablement une ombre de l’autre cĂŽtĂ© de l’objet qu’on Ă©claire. Il faut au minimum deux spots – idĂ©alement plusieurs – pour Ă©viter les ombres. DĂšs lors, chaque fois que j’avais du mal Ă  appliquer les deuxiĂšme et troisiĂšme accords toltĂšques, je faisais ce qu’il m’était naturel de faire je les inversais. Les rĂ©sultats se rĂ©vĂ©lĂšrent si intĂ©ressants que j’ai fini par en faire deux Renversements d’Accord ToltĂšques, comme j’aime Ă  les appeler, et que j’ai Ă©laborĂ© au fil des ans une maniĂšre de travailler avec eux que d’autres ont Ă©galement trouvĂ© utile. À titre de complĂ©ment au Don du Pardon, je vous offre donc ces deux Renversements d’Accord ToltĂšques ci-dessous, tirĂ©s des deuxiĂšme et troisiĂšme accords de Don Miguel Prenez tout personnellement » et Faites de nombreuses suppositions » ! Le premier Renversement d’Accord ToltĂšque Prenez tout personnellement » Quand j’ai commencĂ© Ă  mettre en pratique Les Quatre Accords ToltĂšques, j’avais du mal Ă  appliquer le deuxiĂšme, Quoi qu’il arrive n’en faites pas une affaire personnelle » ou, en abrĂ©gĂ©, Ne prenez rien personnellement ». C’est vrai comment s’y prend-on ? Bien sĂ»r, j’ai suivi les instructions de Don Miguel qui explique que ce que les autres disent de moi n’a en rĂ©alitĂ© rien Ă  voir avec moi. Mais Ă  mes yeux, cette approche comporte un danger cachĂ©, surtout quand on l’applique de maniĂšre simpliste elle peut pousser les gens – comme on le voit parfois dans le milieu du dĂ©veloppement personnel – Ă  s’enfermer dans une bulle. DĂšs lors, Ă©videmment, tout ce que dit autrui cesse de les affecter, de les faire rĂ©agir. Mais le risque est de se retrouver ainsi complĂštement coupĂ© des autres ! Quoi que disent les gens, ces personnes-lĂ  rĂ©pondent, C’est ton affaire », C’est ton problĂšme », C’est ton point de vue », C’est toi qui vois cela comme ça », etc. L’échange n’est plus vraiment possible, tout glisse sur elles comme l’eau sur les plumes d’un canard. Or, ne pas prendre les choses personnellement » ne signifie pas ne pas les prendre du tout ! Le but n’est pas de devenir impermĂ©able, insensible, isolĂ©. Par ailleurs, je m’étais rendu compte que, lorsque je prends les choses personnellement, c’est toujours parce que les jugements et les remarques nĂ©gatives d’autrui sont venus faire Ă©cho Ă  toutes les critiques que je m’adresse Ă  moi-mĂȘme. C’est comme lorsqu’on gratte la corde de rĂ© d’une guitare et que, par rĂ©sonance, la mĂȘme corde d’autres instruments se trouvant Ă  proximitĂ© – guitare, violon ou piano – se met Ă  vibrer Ă  son tour. Mes rĂ©actions Ă  ce qu’autrui dit ou fait m’indiquent donc quels sont les jugements que je continue d’avoir sur moi-mĂȘme. Par consĂ©quent, en les utilisant de maniĂšre judicieuse, ces rĂ©actions peuvent en rĂ©alitĂ© m’aider Ă  les identifier et Ă  m’en dĂ©faire. J’ai donc dĂ©cidĂ© de Tout prendre personnellement », de dĂ©libĂ©rĂ©ment laisser les autres appuyer sur mes boutons, d’observer ce que cela dĂ©clenchait en moi, sans essayer de m’y soustraire ou de l’éviter. DĂšs que je me suis mis Ă  fonctionner ainsi, j’ai dĂ©veloppĂ© une conscience encore plus aigĂŒe de ce qu’autrui dĂ©clenchait chez moi. SitĂŽt que j’identifiais un jugement intĂ©rieur en moi – c’est-Ă -dire la raison interne de ma rĂ©action Ă  des dĂ©clencheurs externes – j’utilisais les outils que dĂ©crit Don Miguel dans Pratique de la Voie ToltĂšque et d’autres que j’ai dĂ©couverts au fil des ans pour me libĂ©rer de ce jugement contre moi-mĂȘme. Je commençais gĂ©nĂ©ralement par identifier l’origine de ce jugement. On a en effet tendance Ă  se juger de la mĂȘme maniĂšre que nous jugeaient nos parents, nos professeurs et autres figures d’autoritĂ©, quand nous Ă©tions enfants. Petit, je n’avais pas d’autre choix que d’accepter les Ă©tiquettes que me collaient les adultes, mais devenu grand Ă  mon tour, je me rends bien compte – si je prends le temps de les remettre en question – que ces jugements sont biaisĂ©s, partiels et inexacts. L’opinion d’autrui l’est toujours, d’ailleurs personne n’est 100 % objectif Ă  notre sujet. En prenant conscience de cela, pas seulement globalement, mais jugement par jugement, opinion par opinion, j’ai progressivement retirĂ© Ă  autrui le pouvoir de me juger et de me dĂ©finir, ou – plus exactement – le pouvoir de laisser ces jugements et dĂ©finitions avoir le moindre impact sur moi. Olivier Clerc J’ai constatĂ© que chaque fois que je parvenais Ă  identifier et Ă  me libĂ©rer de l’un des jugements que je portais sur moi-mĂȘme, je me libĂ©rais du mĂȘme coup des critiques de mĂȘme nature Ă©manant des autres, qui cessaient de m’affecter
 sans pour autant que j’aie Ă  me couper de ces personnes ou Ă  ne pas Ă©couter et recevoir ce qu’elles disaient. Comme le dit le cinquiĂšme accord toltĂšque Soyez sceptique, mais apprenez Ă  Ă©couter ». Or, plus je me libĂšre de mon propre juge intĂ©rieur, plus je suis libre des jugements d’autrui, moins j’ai la moindre chose Ă  craindre ou Ă  dĂ©fendre, ce qui me permet d’ĂȘtre tout Ă  fait ouvert et rĂ©ceptif Ă  ce que disent les autres. Le Renversement d’Accord Prenez tout personnellement » est donc un bon moyen d’identifier la façon dont les rĂ©flĂ©chissent dans notre direction notre propre nĂ©gativitĂ© envers nous-mĂȘmes. L’opinion et les jugements d’autrui n’ont de pouvoir que dans la mesure oĂč ils ont cet effet miroir. Musicalement parlant, c’est nous qui donnons aux autres le pouvoir de nous faire rĂ©agir, en conservant en nous des cordes dissonantes, susceptibles d’entrer en rĂ©sonance avec les propos dĂ©sagrĂ©ables qu’ils peuvent tenir. SitĂŽt que nous avons Ă©liminĂ© cette corde dissonante de notre registre ou – image plus pertinente ici – que nous l’avons rĂ©-accordĂ©e sur ce qu’il y a de meilleur en nous, nous ne rĂ©sonnons plus de la mĂȘme maniĂšre. Les vibrations nĂ©gatives de notre entourage ne dĂ©clenchent plus rien chez nous elles nous traversent librement, sans nous affecter le moins du monde. Nous restons tout Ă  fait capables d’entendre ce qui nous est dit, d’en apprendre mĂȘme quelque chose ne serait-ce que le point de vue de notre interlocuteur, ce qu’il projette sur nous, mais nous n’avons plus de rĂ©actions personnelles nĂ©gatives, puisque nous ne portons plus ces jugements-lĂ  contre nous-mĂȘmes. Il y a, je trouve, quelque chose de jubilatoire Ă  pouvoir passer de la crainte de prendre les choses d’une maniĂšre personnelle – et de l’effort d’éviter Ă  tout prix de telles rĂ©actions – Ă  l’acceptation de rĂ©agir personnellement Ă  ce que les gens peuvent dire ou faire. On finit mĂȘme par inviter consciemment des rĂ©actions de ce genre, afin de mieux se connaĂźtre et d’avoir de prĂ©cieux indices sur ce qu’il reste Ă  transformer en soi, pour progresser vers la libertĂ© intĂ©rieure. On aborde alors chaque journĂ©e en se disant, Qu’est-ce que je vais apprendre sur moi aujourd’hui de mes interactions avec mon conjoint, ma famille, mes voisins et mes collĂšgues ? Quelles rĂ©actions vont-ils Ă©ventuellement dĂ©clencher en moi ? ». Quand on les accueille avec cette attitude-lĂ , nos rĂ©actions ne nous font plus peur, nous ne les fuyons plus, nous ne craignons plus qu’elles soient le signe que nous ne sommes pas assez spirituels ou Ă©voluĂ©s ». Nous les interprĂ©tons au contraire comme les symptĂŽmes rĂ©vĂ©lateurs de ce qui cherche Ă  se rĂ©soudre et Ă  guĂ©rir en nous. Et rien n’empĂȘche d’en faire un jeu ! Cette approche n’est pas forcĂ©ment destinĂ©e Ă  tout le monde y en a-t-il une qui le soit ?. À vous de voir si elle vous convient ou non. Mais, rappelez-vous les vĂ©ritĂ©s et les outils spirituels sont pareils Ă  des fruits dĂ©licieux, gorgĂ©s de vie. Si quelqu’un vous offre une mangue parfumĂ©e et juteuse, vous n’allez pas l’encadrer pour la mettre au mur de votre chambre, ni la disposer religieusement sur un petit autel privĂ© pour brĂ»ler de l’encens devant, en priant. Non. Vous allez mordre joyeusement dedans, y planter les crocs, en savourer le jus et l’arĂŽme, la rĂ©duire en bouillie dans votre bouche avant de l’avaler. Puis, votre systĂšme digestif en triera mĂ©ticuleusement les composants, de sorte que vous finirez par en assimiler tous les nutriments essentiels dont vous avez besoin vitamines, sucres, oligoĂ©lĂ©ments, etc. avant de rejeter dans vos urines et vos selles tout ce qui ne vous sert pas. Les vĂ©ritĂ©s spirituelles qui nous sont offertes sont appelĂ©es Ă  subir le mĂȘme sort. Nous devons joyeusement les dĂ©guster, en extraire les Ă©nergies et la vie qu’elles contiennent, puis faire un tri en fonction de notre propre structure et de nos besoins. Il nous reste alors Ă  intĂ©grer ce qui nous est utile, puis Ă  Ă©liminer les parties que notre organisme, notre ĂȘtre intĂ©rieur, ne peut assimiler. VoilĂ  ce que tout maĂźtre spirituel authentique attend de ses apprentis ou de ses disciples. Une telle attitude est d’ailleurs un excellent antidote aux attitudes sectaires que dĂ©veloppent certains, qui nuisent autant au guide spirituel qu’à ses dĂ©vots fanatiques. Il faut parfois savoir trahir la forme, ou tout au moins la changer, pour rester fidĂšle au fond. Le second Renversement d’Accord ToltĂšque Faites de nombreuses suppositions » Le troisiĂšme accord toltĂšque – Ne faites pas de suppositions » – Ă©tait encore plus difficile Ă  appliquer pour moi que le second. Moi, ne pas faire de suppositions ? La bonne blague ! Autant demander Ă  un singe de ne pas faire de grimaces. Je fais des suppositions tout le temps ! Bien sĂ»r, il y a de nombreuses situations oĂč je peux facilement arrĂȘter d’en faire, et le troisiĂšme accord toltĂšque m’a Ă©tĂ© bien utile pour cela. Par exemple, au lieu d’essayer de deviner ce que pense quelqu’un, ce qu’il a l’intention de faire, je peux parfaitement le lui demander ! Chaque fois que c’est possible, cette attitude permet d’éviter tous les problĂšmes et conflits qui voient le jour simplement parce qu’on s’imagine ce que les autres ont en tĂȘte ou dans le cƓur, qu’on leur prĂȘte des intentions, au lieu de vĂ©rifier directement auprĂšs d’eux ce qu’il en est. Mais il y a aussi de multiples situations oĂč on l’on ne peut pas demander ce qui motive les actes, propos ou dĂ©cisions d’autrui. Je ne peux pas demander au conducteur qui me double dans un virage ce qui le pousse Ă  rouler aussi dangereusement. Je ne peux pas demander Ă  un ami qui est en retard et injoignable par tĂ©lĂ©phone, pourquoi il n’est pas Ă  l’heure. Je ne peux pas demander Ă  un leader politique pourquoi il a pris telle dĂ©cision qui a sur ma vie un impact que je dĂ©plore. Et ainsi de suite. De toute Ă©vidence, nous sommes tous confrontĂ©s Ă  des Ă©vĂ©nements au sujet desquels il nous est impossible de savoir ce qui se passe vraiment, d’en connaĂźtre les tenants et aboutissants, de sorte que nous tentons naturellement de deviner ce que nous ignorons, faisant spontanĂ©ment des suppositions quant aux causes et aux intentions en jeu dans ce que nous observons. Mais, quand on y regarde de plus prĂšs, le problĂšme n’est pas que nous fassions des suppositions. Le vrai problĂšme, me suis-je rendu compte, n’est pas de faire des suppositions, au pluriel ; c’est de faire une supposition, au singulier, puis de croire qu’elle est vraie. En effet, si nous n’y prĂȘtons pas attention, notre premiĂšre supposition dĂ©coule le plus souvent des intentions nĂ©gatives que nous prĂȘtons – ce qui implique clairement que ce sont les nĂŽtres – aux autres. DĂšs lors, Ă  travers le comportement d’autrui, nous rĂ©agissons personnellement Ă  nos propres intentions, aprĂšs les avoir projetĂ©es sur lui ! Pour Ă©viter cela, et au lieu de ne faire aucune supposition – ce qui est trop demandĂ© Ă  un mental comme le mien – j’ai rĂ©solu de m’astreindre Ă  faire au moins deux suppositions contraires, dans toute situation, voire davantage trois, quatre, cinq ! Par exemple un conducteur me fait une queue de poisson dans le trafic. Ma premiĂšre supposition est peut-ĂȘtre que ce n’est qu’un chauffard de plus, quelqu’un qui se fiche des autres et ne pense qu’à lui. AussitĂŽt, au lieu de croire cette premiĂšre supposition automatique, presque inconsciente, j’élabore immĂ©diatement et consciemment deux autres suppositions totalement diffĂ©rentes si ça se trouve, sa femme est en train d’accoucher sur la banquette arriĂšre et il fonce Ă  l’hĂŽpital ; ou alors, il est en pleine crise d’asthme et doit trouver une pharmacie au plus vite pour avoir sa Ventoline. Vous comprenez le principe. Le plus important, c’est qu’en multipliant les suppositions, je prends clairement conscience que je n’ai aucune idĂ©e de ce qui motive vĂ©ritablement le comportement qui me dĂ©range. Bien sĂ»r, je continuerai de trouver ce comportement dĂ©plaisant, mais je ne me laisserai pas aller Ă  cultiver du ressentiment, Ă  Ă©mettre des jugements et Ă  ruminer des pensĂ©es nĂ©gatives. Je ne fais pas un problĂšme mental d’une contrariĂ©tĂ© concrĂšte. Quand nous ne faisons qu’une seule supposition, notre mental projette une intention nĂ©gative sur les actes d’autrui et, de la sorte, justifie les sentiments peu reluisants que ceux-ci Ă©veillent en nous. La tĂȘte devient alors le valet de l’ego, et notre cƓur se laisse submerger par les voix de la colĂšre et du ressentiment qui l’empressent de se refermer. Au lieu d’utiliser toutes ses capacitĂ©s de rĂ©flexion, le mental en est ainsi rĂ©duit Ă  ĂȘtre l’esclave de nos Ă©motions les plus sombres. À l’inverse, quand nous cultivons dĂ©libĂ©rĂ©ment plusieurs suppositions trĂšs diffĂ©rentes, l’intellect dĂ©ploie toute son aptitude Ă  penser – si la pensĂ©e Ă  des ailes, ce n’est pas pour rester derriĂšre les barreaux de nos peurs –, ce qui lui permet d’envisager la mĂȘme situation sous plusieurs angles, afin de garder le cƓur ouvert et de ne pas se fermer Ă  la premiĂšre contrariĂ©tĂ©. Le mental projette alors de multiples Ă©clairages sur une mĂȘme situation, Ă©vitant ainsi de crĂ©er des ombres uniques. Il empĂȘche de la sorte le cƓur de mariner dans des eaux froides, sombres et marĂ©cageuses, le maintenant au contraire dans une lumiĂšre chaleureuse. À ce propos, certains exĂ©gĂštes de la Bible suggĂšrent que l’invitation de JĂ©sus Ă  tendre l’autre joue », quand quelqu’un nous frappe, fait rĂ©fĂ©rence Ă  cette polaritĂ© intĂ©rieure que nous possĂ©dons tous l’intellect les pensĂ©es, les idĂ©es et le cƓur les sentiments, les Ă©motions. Quand quelqu’un vous frappe sur la joue gauche – le cƓur – et que vous ĂȘtes submergĂ© de sentiments nĂ©gatifs, tendez la droite, utilisez votre intellect pensez, rĂ©flĂ©chissez, activez vos mĂ©ninges, pour vous sortir au plus vite du marais boueux de vos Ă©motions. Inversement, quand on vous frappe sur la joue droite – l’intellect – quand vous n’arrivez plus Ă  penser clairement et que votre mental rumine les mĂȘmes idĂ©es noires, branchez-vous sur votre cƓur et vos sentiments cultivez des sentiments chaleureux, exprimez de l’affection autour de vous fĂ»t-ce Ă  un animal de compagnie, laissez l’eau de l’amour rĂ©hydrater le sol de votre vie qu’ont dessĂ©chĂ© les vents du mental. Dans la GrĂšce antique, les sophistes apprenaient Ă  leurs Ă©tudiants Ă  dĂ©fendre une idĂ©e de la maniĂšre la plus convaincante possible, avec les meilleurs arguments, avant d’adopter le point de vue totalement opposé  et de le dĂ©fendre avec autant de vigueur et de talent. Ce genre de compĂ©tences fait malheureusement cruellement dĂ©faut dans l’éducation moderne. Par consĂ©quent, nous sommes souvent des cyclopes de la pensĂ©e, limitĂ©s Ă  un seul point de vue et Ă  une seule supposition sur chaque chose, prisonniers de rĂ©actions limitĂ©es et privĂ©s d’une vĂ©ritable libertĂ© de pensĂ©e. Qui plus est, la majeure partie de notre systĂšme Ă©ducatif se concentre exclusivement sur les facultĂ©s intellectuelles, au dĂ©triment du cƓur, de l’affectif. Nous ne recevons donc pratiquement ni information, ni formation sur les interactions qui se produisent entre ces deux polaritĂ©s fondamentales de notre ĂȘtre la tĂȘte et le cƓur. Comment mes sentiments influencent-ils et parfois dĂ©forment-ils mes pensĂ©es ? Comment mes pensĂ©es dĂ©clenchent-elles, justifient-elles ou contrent-elles mes sentiments ? Qu’est-ce qui prĂ©domine en moi ? Suis-je libre de mes pensĂ©es et de mes sentiments ? Ou suis-je l’esclave de peurs, de croyances, d’émotions dont j’ignore totalement l’origine et les consĂ©quences ?
 Dans la tradition toltĂšque, la premiĂšre maĂźtrise est la MaĂźtrise de la Conscience. Et, effectivement, si nous voulons devenir libres, nous devons tout d’abord prendre conscience de ce qui se passe en nous. Apprendre Ă  multiplier les suppositions, sitĂŽt qu’arrive quelque chose qui dĂ©clenche en nous un a priori nĂ©gatif, est une maniĂšre Ă  la fois simple et puissante de recouvrer toute notre libertĂ© intellectuelle et mentale. Cela nous permet d’ĂȘtre moins victimes des Ă©motions et sentiments nĂ©gatifs qui nous submergent par moment. Si vous avez un intellect vif et bien dĂ©veloppĂ©, qui dĂ©marre au quart de tour, toujours prompt Ă  faire des suppositions et Ă  rĂ©flĂ©chir, ce second Renversement d’Accord ToltĂšque peut se rĂ©vĂ©ler particuliĂšrement efficace. Ce qu’il y a de merveilleux, dans cette façon de faire, c’est que plus vous multipliez les suppositions les plus contradictoires, moins vous croirez automatiquement l’une ou l’autre d’entre elles vous renforcerez ainsi votre capacitĂ© Ă  accorder la mĂȘme valeur Ă  plusieurs idĂ©es conflictuelles. Les bĂ©nĂ©fices potentiels sont Ă©normes vous accĂ©derez Ă  une vraie libertĂ© de pensĂ©e et, conjointement, vous deviendrez de plus en plus capable de choisir les sentiments que vous voulez cultiver dans votre cƓur. Ça, c’est une vĂ©ritable libĂ©ration ! Ces deux Renversements d’Accord apportent simplement un autre Ă©clairage sur les enseignements toltĂšques de Don Miguel Ruiz. Ils concordent d’ailleurs avec ceux de diverses autres traditions. Le contraire d’une vĂ©ritĂ© est aussi une vĂ©ritĂ©, affirment de nombreux sages. Qui plus est, vous n’avez pas Ă  choisir entre les accords toltĂšques originaux ou leur version inversĂ©e vous pouvez librement utiliser les uns ou les autres, en fonction de vos prĂ©fĂ©rences, et varier d’un jour Ă  l’autre d’aprĂšs vos besoins. Je n’ai pas jugĂ© utile d’inventer des contre-accords au premier accord toltĂšque Que ta parole soit impeccable », ni au quatriĂšme Fais toujours de ton mieux ». Cela ne m’a pas paru nĂ©cessaire, ayant du plaisir Ă  les pratiquer tels quels. Avoir une parole impeccable – aussi difficile que cela puisse ĂȘtre par moment – est une injonction que l’on retrouve dans de nombreuses voies spirituelles. JĂ©sus, par exemple, disait Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui rend l’homme impur. Mais ce qui sort de la bouche, voilĂ  ce qui rend l’homme impur. » Et MaĂźtre Philippe de Lyon, l’un des plus grands guĂ©risseurs du 20Ăšme siĂšcle, parfois appelĂ© le maĂźtre inconnu », demandait comme seul “paiement” Ă  ses guĂ©risons souvent miraculeuses Ne dites pas de mal d’autrui durant [selon la personne concernĂ©e] une heure
 un jour
 un mois
 [ou davantage] ». VoilĂ , je trouve, qui en dit trĂšs long sur la puissance du premier accord toltĂšque, dont Miguel Ruiz souligne qu’à lui seul il peut totalement transformer toute notre vie. De maniĂšre analogue, j’utilise le quatriĂšme accord toltĂšque tel qu’il est. Faire de son mieux » une injonction toute simple en apparence, que certains jugeront hĂątivement un peu boy-scout, mais dont la portĂ©e est autrement plus grande qu’il n’y paraĂźt de prime abord. Je me rappelle avoir entendu Marshall Rosenberg, fondateur de la communication non-violente CNV, faire un renversement trĂšs intĂ©ressant du dicton, Ce qui mĂ©rite d’ĂȘtre fait, mĂ©rite d’ĂȘtre bien fait ». Il disait plutĂŽt Ce qui mĂ©rite d’ĂȘtre fait, mĂ©rite mĂȘme d’ĂȘtre fait de maniĂšre approximative ». Que voulait-il dire par lĂ  ? Que si quelque chose mĂ©rite vraiment d’ĂȘtre fait, cela vaut la peine de le tenter, mĂȘme si l’on n’y parvient pas trĂšs bien. Qu’il vaut mieux faire de son mieux », fĂ»t-ce imparfaitement, que de ne rien faire du tout, sous prĂ©texte que ce ne sera pas parfait. En rĂ©sumĂ©, les renversements, les inversions peuvent parfois nous ouvrir des perspectives insoupçonnĂ©es, quand on se sent coincĂ©, quand tel outil, telle idĂ©e ou solution ne semble plus donner de rĂ©sultat, quand ce que nous croyons vrai nous fait ruminer des pensĂ©es et des sentiments nĂ©gatifs. Et si on allait voir de l’autre cĂŽtĂ© ? Et si on prenait tout cela par l’autre bout ? Et si on faisait tout le contraire ? Ça donnerait quoi ?
 Le merveilleux symbole du Tao nous rappelle que, dans la nature, l’harmonie rĂ©sulte des interactions entre Ă©nergies diffĂ©rentes de mĂȘme valeur. Les tigres et les Ă©lĂ©phants, par exemple, jouissent d’une force qui les place au sommet de la chaĂźne alimentaire
 Ă  l’autre extrĂ©mitĂ© de laquelle on trouve les virus et les microbes qui, en dĂ©pit de leur taille infinitĂ©simale, possĂšdent eux aussi un pouvoir considĂ©rable et peuvent affaiblir ou mĂȘme tuer des crĂ©atures considĂ©rablement plus grandes qu’eux. Le pouvoir se rĂ©partit ainsi Ă©quitablement entre polaritĂ©s opposĂ©es. DĂšs lors, quand nous nous sentons impuissants, dĂ©munis, dĂ©semparĂ©s, c’est peut-ĂȘtre le signe qu’il est temps d’essayer le contraire de ce qu’on a fait jusque-lĂ , d’aller vers la polaritĂ© opposĂ©e. La vie ne cesse de nous inviter Ă  ne pas nous limiter, Ă  explorer plus loin, Ă  continuer d’avancer et de progresser. Cette progression est sans fin, de sorte que sitĂŽt que nous croyons que nous y sommes », que nous avons atteint notre destination, une nouvelle route s’ouvre dĂ©jĂ  devant nous. N’est-ce pas merveilleux ? Je vous souhaite tout le meilleur sur votre propre chemin ! Olivier Clerc .
Scandaleux! Je prends rdv pour changer une batterie, je donne la plaque, le modĂšle etcon commande la batterie avec la pose, horaire compliquĂ©e donc obligĂ© de s’organiser bref quand j’arrive « ben non la batterie est placĂ©e Ă  l’intĂ©rieur du vĂ©hicule donc on ne pose pas » Mais vous aviez les caractĂ©ristiques du vĂ©hicule non ? 0 professionnalisme !
Les cinq accords toltĂšques pour maĂźtriser sa libertĂ© personnelleLa sagesse des anciens est intemporelle et s’applique partoutTemps de lecture estimĂ© 5–6 minutesVous rappelez-vous avoir Ă©tĂ© victime de conditionnements culturels et Ă©ducatifs ?On a pu vous dire que ceci Ă©tait vrai ou faux, bon ou mauvais, beau ou suivent des projections personnelles qui ont achevĂ© de mettre fin Ă  l’innocence de votre enfance il faut ĂȘtre gentil, il faut rĂ©ussir, il faut se soumettre Ă  l’autoritĂ©, le chantait IAM dans leur morceau LibĂšre mon imagination, Le conditionnement est si parfait, tellement acceptĂ©, que certains attendent qu’on leur dise de penser. »Nous avons dĂ©veloppĂ© des croyances limitantes qui distordent la rĂ©alitĂ© et nous maintiennent dans la les Quatre Accords ToltĂšques puis le CinquiĂšme Accord ToltĂšque, Miguel Ruiz nous dĂ©voile la source des pensĂ©es limitantes pour se dĂ©barrasser des chaĂźnes qui nous empĂȘchent de rĂ©aliser notre plein potentiel, de jouir d’une libertĂ© personnelle et de faire la paix avec premier accord Que votre parole soit impeccable Parlez avec intĂ©gritĂ©, ne dites que ce que vous pensez. N’utilisez pas la parole contre vous ni pour mĂ©dire d’autrui. » — Miguel RuizLes mots dĂ©tiennent un pouvoir puissant sur le n’a pas gardĂ© en mĂ©moire une phrase blessante d’un parent ? La critique rĂ©sonne encore une fois parole est un outil qui peut construire, dĂ©truire, libĂ©rer ou lancer des sorts Ă  d’autres personnes. Les mots exercent une influence insoupçonnĂ©e, ils agissent sur la rĂ©alitĂ©. Dites Ă  un enfant qu’il ne sait pas chanter, et il n’osera plus entretenant la modĂ©ration dans ses propos, nous pouvons prĂȘter attention Ă  notre discours intĂ©rieur. Les critiques et les jugements cultivĂ©s sur autrui, les dĂ©clarations comme je suis nul », je suis moche », je suis bĂȘte » ne font que polluer notre ne sont que des projections qui ne reflĂštent pas ce que nous sommes, mais des images faussĂ©es en rĂ©ponse Ă  ce que nous croyons que l’autre ou le monde attend de ne pas mettre l’accent sur vos qualitĂ©s et vos talents ? Nous avons tous une particularitĂ© qui nous distingue d’autrui ou un accomplissement pour lequel nous Ă©prouvons une certaine mots que vous employez livrent quelques indices sur votre façon de penser. Bien maniĂ©, vous pouvez formuler de bonnes idĂ©es, modeler votre sens de la rĂ©alitĂ© et affecter les opinions des autres. Employer les mots de façon impeccable » signifie les utiliser Ă  votre avantage et ne pas souiller votre vie par des autojugements destructeurs. Si vous parvenez Ă  parler avec intĂ©gritĂ©, sans calomnier, ni mentir, vos craintes d’ĂȘtre jugĂ©s ou rejetĂ©s disparaĂźtront second accord Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre rĂ©alitĂ©. Lorsque vous ĂȘtes immunisĂ© contre cela, vous n’ĂȘtes plus victime de souffrances inutiles. » — Miguel RuizPourquoi nous nous soucions plus du nĂ©gatif que du positif ? Les compliments s’oublient dans la minute qui suit, lĂ  ou une insulte peut envahir nos pensĂ©es jusqu’à nous empĂȘcher de lors que vous commencez Ă  interprĂ©ter les choses personnellement, vous prenez le risque de l’accepter, d’éprouver regrets et culpabilitĂ© alors qu’il n’en est tombez pas dans l’illusion de croire que vous ĂȘtes la source de mĂ©contentement dans les actes d’autrui. Ce que les autres disent et font n’est qu’une l’expression de leur propre rĂ©alitĂ© et de leurs mĂȘme, les Ă©vĂ©nements qui surviennent ne sont pas toujours des rĂ©ponses Ă  notre comportement. Selon Miguel Ruiz, nous devons sortir de cet Ă©gocentrisme qui nous fait croire que tout ce qui arrive autour de nous est une consĂ©quence de notre attitude. Le moi je » nous maintiens dans l’illusion. Donc dans la personne rĂ©guliĂšrement en colĂšre siĂšge dans une dĂ©tresse. Ses sauts d’humeurs et ses insultes reflĂštent de son malheur alimentĂ© par des problĂšmes, opinions et croyances avec lesquelles elle essaie de gĂ©rer la situation prĂȘter une telle attention Ă  ce que d’autres pourraient penser de vous ? Pourquoi prendre cela au sĂ©rieux ? Sachez qui vous ĂȘtes et vous n’aurez pas besoin de rechercher cette validation auprĂšs d’autrui. La critique ou le compliment reçu est une projection qu’autrui se fait de vous. Ce n’est pas ne peut affecter quelqu’un qui se sait Ă  l’abri du jugement impeccable et loin de tout troisiĂšme accord Ne faites pas de suppositions Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais dĂ©sirs. Communiquez clairement avec les autres pour Ă©viter tristesse, malentendus et drames. » — Miguel RuizLa plupart des gens formulent des hypothĂšses qui se rĂ©vĂšlent fausses ce qui provoque des inquiĂ©tudes tant qu’humains, nous avons besoin de prĂ©dire, d’expliquer et de justifier les Ă©vĂ©nements qui se produisent dans nos vies, et quand nous ne savons pas quelque chose, nous comblons les lacunes en imaginant ce que les gens pensent, font et hypothĂšses se rĂ©vĂšlent frĂ©quemment comme des mensonges que nous nous racontons, et si nous y croyons cela peut gĂ©nĂ©rer malentendus et que vous avez un enfant adolescent et qu’il n’est pas rentrĂ© Ă  l’heure de sa soirĂ©e. Vous allez commencer Ă  vous inquiĂ©ter en inventant un scĂ©nario digne d’un film d’horreur. Votre enfant revient tout sourire. Fin de l’ remĂ©dier aux hypothĂšses, posez des questions prĂ©cises, exprimez vos vrais dĂ©sirs et besoins. Communiquez clairement avec les autres pour Ă©viter tristesses, malentendus et supposez pas qu’une personne vous soit hostile en raison de ses croyances diffĂ©rentes de la vĂŽtre, ne dĂ©formez pas la vĂ©ritĂ© en jetant le voile de l’hypothĂšse. C’est souvent une perte de quatriĂšme accord Faites toujours de votre mieux Votre “mieux” change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous Ă©viterez de vous juger. » — Miguel RuizFaire de son mieux consiste Ă  mettre en pratique les trois premiers accords dĂšs que l’occasion se prĂ©sente pour les intĂ©grer dans votre vie. Cela rĂ©clame une pratique rĂ©pĂ©titive et de la vous en faites trop, vous risquez de vider votre Ă©nergie et cela finira par agir contre vous. Si vous en faites peu, vous vous exposez Ă  la frustration, Ă  la culpabilitĂ© et au qui est bon pour vous ne dĂ©pend d’aucune plus grand piĂšge est la course de la perfection. Remplacer ses je dois faire ceci » par des je peux faire ceci » permet de s’approprier pleinement de l’objectif Ă  atteindre sans se soucier des attentes et du regard des l’adversitĂ©, l’essentiel est de faire de son cinquiĂšme accord Soyez sceptique, mais apprenez Ă  Ă©couter Ne vous croyez pas vous-mĂȘme, ni personne d’autre. Utilisez la force du doute pour remettre en question tout ce que vous entendez est-ce vraiment la vĂ©ritĂ© ? Écoutez l’intention qui sous-tend les mots et vous comprendrez le vĂ©ritable message. » — Miguel RuizÊtre sceptique signifie remettre en doute les croyances et les vĂ©ritĂ©s couramment admises. Refuser de se prononcer hĂątivement et rĂ©server son jugement avec recul est une posture qui vous prĂ©serve de tout quelqu’un vous communique un message, demandez-vous si c’est vraiment la vĂ©ritĂ©, ou une vĂ©ritĂ© relative. Il ne s’agit pas de rejeter tout ce qu’on peut vous dire, mais de lire entre les lignes pour dĂ©couvrir le vĂ©ritable une personne vous juge nĂ©gativement, elle ne fait que communiquer une vĂ©ritĂ© relative, Ă  savoir la sienne, qui ne correspond pas Ă  la une posture sceptique, aiguise l’esprit critique et vous offre de nouvelles perspectives pour ne pas rĂ©agir naĂŻvement et Minute Essentielle vous aide Ă  maĂźtriser le meilleur de ce que les autres ont dĂ©jĂ  comprisRejoignez plus de 5 000 personnes qui reçoivent La Minute Essentielle, ma newsletter personnelle pour vous aider Ă  changer vos habitudes, prendre de meilleures dĂ©cisions et atteindre vos votre inscription, vous recevrez Un extrait de mon livre Petites Habitudes, Grandes RĂ©ussites 51 pratiques inspirantes pour devenir la meilleure version de soi-mĂȘmeUn guide pratique PDF de 96 pages 87 petites habitudes pour libĂ©rer son potentielLe guide PDF Les 59 livres les plus recommandĂ©s par les milliardaires, les icĂŽnes et les leadersCliquez sur l’image pour vous abonner Ă  ma sur l’image pour dĂ©couvrir mon recommandĂ©e
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Des4 accords toltĂšque, celui-ci est mon prĂ©fĂ©rĂ© : Ne prend rien personnellement. L’opinion des autres est le reflet de leurs croyances et de leurs projections. Un jour, un tel te trouves
De Don Miguel Ruiz chaman et mĂ©decin au Mexique. Mais qu’est ce que c’est ? Ce sont des rĂšgles de vie Ă  appliquer pour accĂ©der au chemin du bonheur et de l’alignement avec soi. QUE VOTRE PAROLE SOIT IMPECCABLENE REAGISSEZ PAS DE FAÇON PERSONNELLENE FAITES AUCUNES SUPPOSITIONSFAITES TOUJOURS DE VOTRE MIEUX 4 accords ToltĂšque en pratique Accord 1 Que votre parole soit impeccable L’idĂ©e Pour l’auteur, il s’agit d’un prĂ©cepte primordial. Il est si important qu’à lui seul il vous permettra de transcender votre vie actuelle pour parvenir Ă  ce niveau que j’appelle le paradis sur Terre », dit-il. Par impeccable », Miguel Ruiz entend qu’il faut parler sans pĂȘchĂ© », selon les racines latines du mot. C’est-Ă -dire qu’il ne faut pas juger autrui, dire ce que nous pensons, ou colporter des rumeurs car en faisant cela, nous agissons contre nous-mĂȘme. En supprimant ces pensĂ©es et ces paroles de notre esprit et dans nos relations, on adoucit notre rapport aux autres et nous nous en portons mieux. Comment le mettre en pratique au quotidien ? Au dĂ©but, cela risque d’ĂȘtre un peu difficile, surtout si nous n’ĂȘtes pas dans des dispositions optimales, mais pourquoi ne pas essayer. Au quotidien, il faudra essayer de supprimer les paroles mĂ©chantes ou dĂ©valorisantes qui visent nos collĂšgues de travail, nos connaissances et nous-mĂȘme. En gros, si vous avez cassĂ© votre tĂ©lĂ©phone ou si quelqu’un s’est trompĂ© dans une mission, Ă©vitez de vous dire quel idiot » ou quelle nulle ». En revanche, dites-vous que ce sont des choses qui arrivent et discutez des difficultĂ©s avec votre entourage professionnel, cela devrait vous permettre d’apprĂ©hender les choses d’un autre Ɠil, avec un recul trĂšs certainement plus sain. Accord 2 Ne jamais prendre les choses personnellement LidĂ©e Selon Miguel Ruiz, il ne faut jamais prendre aucune situation personnellement. Lorsqu’on fait de tout une affaire personnelle, on part du principe que l’autre sait ce qu’il y a dans notre monde, et on essaie d’opposer notre monde au sien », Ă©crit-il. Poussant son raisonnement encore plus loin, il explique mĂȘme que si nous sommes insultĂ©s par quelqu’un dans la rue, ça n’a certainement rien Ă  voir avec nous car cette personne est conditionnĂ©e et programmĂ©e depuis son enfance. S’accorder de l’importance, se prendre au sĂ©rieux, ou faire de tout une affaire personnelle, voilĂ  la plus grande manifestation d’égoĂŻsme, puisque nous partons du principe que tout ce qui arrive nous concerne », analyse le chaman. Se rĂ©soudre Ă  ne pas ĂȘtre le centre d’attention nous aiderait Ă  nous Ă©loigner de bien des conflits. Comment le mettre en pratique au quotidien ? Vous les avez bien vus, Antoine et Marjorie, vers 11h du matin, aprĂšs la rĂ©union. Ils discutaient ensemble Ă  voix basse et vous en ĂȘtes certain ils parlaient de vous ou de votre travail. Comment en ĂȘtes-vous sĂ»r ? Une intuition, comme ça. Quelques heures plus tard, vous apprenez qu’on vous dĂ©charge d’un dossier Ă  leur profit et vous prenez cela comme une agression personnelle. Mais si on veut mettre en application cet accord toltĂšque, il faut prendre un peu de hauteur sur la situation et ĂȘtre capable de se dire que finalement Antoine a peut-ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ© votre dossier car votre supĂ©rieur a jugĂ© que vous aviez dĂ©jĂ  bien assez de travail comme ça, ou qu’il est plus expert que vous sur le sujet. Dites-vous, mĂȘme si ce n’est pas si facile, que vous n’ĂȘtes pas la cause des faits et gestes de vos collĂšgues ou ceux qui vous entourent. Accord 3 Ne jamais faire de suppositions L’idĂ©e Le problĂšme des suppositions est que nous croyons que ce sont des vĂ©ritĂ©s. Chaque fois qu’on fait des suppositions, qu’on prĂȘte des intentions Ă  autrui, on crĂ©e des problĂšmes », indique Miguel Ruiz. Selon lui, supposer quelque chose que nous ne savons pas peut nous mettre dans une situation trĂšs inconfortable car nous imaginons quant aux raisons d’agir d’autrui, nous les interprĂ©tons de travers, nous en faisons une affaire personnelle, et nous finissons par crĂ©er tout un drame pour rien du tout ». Comment le mettre en pratique au quotidien ? Vous avez croisĂ© l’un de vos collĂšgues dans le couloir et il ne vous a pas dit bonjour. InĂ©vitablement, vous pensez qu’il vous fait la tĂȘte ou qu’un mauvais coup se trame dans votre dos. Bref, vous ĂȘtes un peu parano, mais rassurez-vous, ça se soigne. Et trĂšs bien. Et si Ă  la place de vous dire qu’il mijote un mauvais coup ou qu’il vous ignore, vous lui demandiez plutĂŽt s’il y a un problĂšme entre vous et s’il va bien ? Place Ă  la clartĂ© et Ă  la communication. De fait, vos suppositions seront balayĂ©es par des vĂ©ritĂ©s, peut-ĂȘtre pas toujours bonnes Ă  entendre mais au moins, les choses seront claires dans vos relations. Accord 4 Faites toujours de votre mieux L’idĂ©e Il ne reste plus qu’un seul accord, mais c’est celui qui transforme progressivement les trois autres en habitudes solidement ancrĂ©es en nous. Le quatriĂšme accord concerne l’application des trois premiers faites toujours de votre mieux », dit l’auteur. Pour Miguel Ruiz, il faut s’appliquer dans tout ce que l’on entreprend afin de ne pas avoir de regret, de culpabilitĂ©, de frustration
 Donnez-vous Ă  fond dans ce que vous entreprenez, au moins, vous n’aurez pas la trĂšs dĂ©sagrĂ©able sensation du j’aurais dĂ» ». De mĂȘme, Ruiz indique qu’il faut agir simplement pour le plaisir d’agir » Si on aime ce qu’on fait, si on fait constamment de son mieux, alors on jouit pleinement de la vie. On s’amuse, on ne s’ennuie pas, on n’est pas frustrĂ©. » Dont acte. Comment le mettre en pratique au quotidien ? Vous cumulez les missions et les casquettes. Vous travaillez dans une start-up, ĂȘtes mariĂ©e, avez deux enfants
 Bref, vous avez parfois l’impression d’en faire toujours plus mais vous ĂȘtes Ă©puisĂ©e. LĂ  l’idĂ©e est de ne pas en faire plus mais de faire mieux. Faire mieux pour soi. Alors pourquoi ne pas prendre quelques minutes pour faire le point sur ce qui vous use ? Est-ce le rythme ? Sont-ce les transports en commun ? Vos enfants ou votre conjointe voire vos collaborateurs vous en demandent Ă©normĂ©ment et vous culpabilisez peut-ĂȘtre de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur
 Faites le point, mettez des mots dessus et priorisez vos charges. Dites-vous surtout que vous devez ĂȘtre bienveillant avec vous-mĂȘme, que vous ne devez pas prendre les choses personnellement, mĂȘme si on vous le reproche et que vous faites de votre mieux pour ceux que vous aimez ou pour la bonne marche de votre entreprise. Finalement, mettez les trois premiers accords en route et vous verrez que le quatriĂšme coulera de source. Enfin ça, c’est Miguel Ruiz qui le dit. Lorsque vous prendrez l’habitude de mettre en pratique ces nouveaux accords, votre mieux deviendra encore meilleur qu’il n’était. »
Maisvu que le chamanisme toltÚque dit de ne rien prendre personnellement, j'en déduis qu'il ne faut rien prendre permanentellement, ni satisfaisanellement. Antonyme permanent : fragile Antonyme
Les 4 accords toltĂšques » est un recueil de dĂ©veloppement personnel distribuĂ© aux quatre coins du globe et considĂ©rĂ© comme une vĂ©ritable bible du mieux-ĂȘtre. Il est inspirĂ© de la culture mĂ©so-amĂ©ricaine. En publiant son livre en 1997, le chaman mexicain Miguel Ruiz ne se doutait pas de l’ampleur qu’allait prendre le phĂ©nomĂšne. En recensant et en explicitant clairement 4 accords Ă  passer avec soi, Miguel Ruiz aide son lecteur Ă  mieux gĂ©rer ses Ă©motions et ses rĂ©actions au monde qui l’entoure. DĂ©cryptage
 Un livre qui dĂ©construit nos conditionnements Les 4 accords toltĂšques, c’est quatre millions d’exemplaires vendus
 On peut dire que le chaman Miguel Ruiz n’a pas fait les choses Ă  moitiĂ©. Quel est le secret de ce livre de dĂ©veloppement personnel et comment tirer profit de ces 4 grands accords toltĂšques ? Si l’on en croit ses adeptes, son contenu permettrait une indispensable et salvatrice prise de recul sur la vie. Suivre Ă  la lettre ces 4 accords aiderait Ă  dĂ©passer certains conditionnements qui nous bloquent depuis l’enfance. Parce que la promesse est allĂ©chante, dĂ©cortiquons-la
 Accord n°1 modĂ©rer sa parole Le premier accord est essentiel Ă  tout Ă©quilibre social et Ă©motionnel. Il concerne notre arme la plus puissante l’expression. Miguel Ruiz parle de la puissance magique de la parole, que l’on peut utiliser pour le bien ou pour le mal. Voici l’un des conseils qu’il donne Ă  ses lecteurs Parlez avec intĂ©gritĂ©. Ne dites que ce que vous pensez. Évitez d’utiliser des mots qui vont Ă  l’encontre de vous-mĂȘme ou de commĂ©rer sur les autres. Utilisez le pouvoir de vos mots avec vĂ©ritĂ© et amour. ». Il nous incite donc Ă  rĂ©flĂ©chir avant de parler et Ă  penser aux consĂ©quences. Il ne s’agit pas de perdre en spontanĂ©itĂ© mais de simplement se poser les bonnes questions pour prendre de bonnes habitudes. Accord n°2 ne jamais en faire une affaire personnelle MĂȘme si cela parait Ă©vident, il est important de vous rappeler que vous n’ĂȘtes pas responsable des actions d’autrui. Selon Miguel Ruiz, il faut savoir ĂȘtre indiffĂ©rent aux opinions d’autrui et ne jamais en faire une affaire personnelle, quoiqu’il arrive. Se respecter et se connaĂźtre profondĂ©ment permettrait de ne pas ĂȘtre touchĂ© par ce que peuvent dire et penser les autres. D’ailleurs, Miguel Ruiz insiste bien sur le fait que nous interprĂ©tons comme Ă©tant des attaques des paroles qui le sont rarement ou qui ne nous visent mĂȘme pas. Le fait de ne pas prendre personnellement les choses aiderait Ă  se libĂ©rer d’une vĂ©ritable et profonde souffrance. Accord n°3 ne pas trop interprĂ©ter Mieux communiquer pour Ă©claircir les choses et Ă©viter de tout interprĂ©ter subjectivement ? Tel est le 3Ăšme accord toltĂšque Ă©noncĂ© par Miguel Ruiz. Selon lui, les suppositions que nous faisons rĂ©guliĂšrement s’imposent Ă  nous comme d’implacables vĂ©ritĂ©s. Pourtant, rien ne nous permet aujourd’hui de lire dans l’esprit des gens et de penser Ă  leur place. Il est donc important de ne rien supposer mais de mettre les choses au clair dĂšs le dĂ©part. A l’inverse, n’attendons pas des gens qu’ils comprennent comme nous et lisent nos attentes. Il faut au contraire poser des vraies questions et apporter de vraies rĂ©ponses. Etre pleinement soi et accepter l’autre tel qu’il est aide Ă  se sortir de cette mauvaise habitude. Accord n°4 ne pas ĂȘtre trop dur avec soi-mĂȘme Le dernier accord toltĂšque est sans doute l’un des plus importants. Pour Miguel Ruiz, Votre mieux peut changer d’instant en instant ; il sera diffĂ©rent selon que vous ĂȘtes en bonne santĂ© ou malade. ». Il estime qu’il faut toujours faire le maximum mais ne pas se fixer un objectif trop ambitieux. Chacun doit trouver un Ă©quilibre en faisant de son mieux sans avoir de regrets ou de frustrations. L’énergie que nous avons Ă  consacrer Ă  un objectif n’est pas au mĂȘme niveau selon le moment de la journĂ©e, la pĂ©riode, l’état physique et psychique. Alors, prĂȘts Ă  relever le dĂ©fi ?
\n\n \n \naccord tolteque ne rien prendre personnellement
Lesquatre accords toltÚquesŸ sont: 1 - Que votre parole soit impeccable. Les accords toltÚques sont au nombre de 4 (+1) : Que votre parole soit impeccable. N'en faites jamais une affaire personnelle. Ne faites aucune supposition. Faites toujours de votre mieux. + Soyez sceptique mais apprenez à écouter. how to use pdanet. proactive sports
Temps de lecture 13 minutesIl y a peu, je partageais ma critique du livre de Lise Bourbeau, les 5 blessures qui empĂȘchent d’ĂȘtre c’est sur un autre gĂ©ant du dĂ©veloppement personnel que je me concentre, j’ai nommĂ©, les 4 accords ToltĂšques 4AT. TrĂŽnant fiĂšrement Ă  cĂŽtĂ© de son insĂ©parable binĂŽme sur une Ă©tagĂšre Ă  la fnac, son bandeau affirme fiĂšrement que le secret ancestral retranscrit sur ces quelques 120 pages a changĂ© la vie de 4 millions de lecteurs. Logique ; aprĂšs ĂȘtre devenu soi-mĂȘme en faisant table rase de toutes les blessures du passĂ©, il ne nous reste plus qu’à reprogrammer notre esprit sur la sagesse de Don Miguel Ruiz DMR, chaman proclamĂ© de la lignĂ©e des Chevaliers de l’Aigle », de quoi vivre pour le mieux dans le meilleur des mondes. Cette critique sera prĂ©sentĂ©e en deux temps. La partie une s’articulera autour des quatre accords, qu’elle dĂ©taillera. La seconde sera centrĂ©e sur mon avis personnel. Sommaire1 Le rĂ©sumĂ© des Quatre accords de ToltĂšques2 Critique accords par 1. Que votre parole soit a L’extrapolation du pouvoir des 2 La confusion fond/ Concluons Disons que le seul bon sens de cet accord, c’est son titre ! Tournons notre langue sept fois dans notre bouche avant de parler, comme le dit ce bon vieil adage, qui, au passage, nous prouve que DMR n’a rien inventĂ©. Soigner sa parole relĂšve d’un bon sens commun que nous avons tous, sorte de loi morale qui nous enjoint Ă  faire preuve, envers les autres, du mĂȘme Ă©gard que l’on aimerait qu’ils eussent pour nous, comme le disait dĂ©jĂ  JĂ©sus, par exemple, 2 000 ans avant DMR. Mais soit, un ouvrage bimillĂ©naire nommĂ© Bible est beaucoup moins exotique et marketing qu’un petit livre de 120 pages qui se revendique l’hĂ©ritage d’une civilisation ancestrale. Quant au dĂ©veloppement de cet accord, et bien, ce ne sont que fumisteries basĂ©es sur une version fantasmĂ©e du rĂ©el, comme expliquĂ© plus haut. 2. N’en faites jamais une affaire Concluons Disons que rien, et surtout pas son titre, n’est Ă  retenir dans ce deuxiĂšme accord ! Nous prenons les choses personnellement et le ferons toujours, car nous vivons en sociĂ©tĂ©, et l’interaction avec autrui, conjuguĂ©e Ă  la loi morale entre autres, implique que nous Ă©mettions des avis les uns sur les autres. Si Don Miguel Ruiz avait voulu ĂȘtre utile Ă  ses lecteurs, il leur aurait plutĂŽt expliquĂ© comment discerner la critique Ă  accueillir, et celle Ă  rejeter. Car, de fait, toutes les critiques ne se valent pas ; certaines nous font grandir, d’autres nous rabaissent. Certaines sont Ă©mises par des gens bien intentionnĂ©s qui optent pour une correction fraternelle, d’autres par des individus qui veulent nous dĂ©courager. Prenons des choses personnellement, oui, mais apprenons Ă  savoir lesquelles celles qui nous font grandir, celles qui nous poussent au bout de De plus, nous soulignerons comme ces accords issus de la sagesse ancestrale de DMR sont incohĂ©rents le premier enjoint Ă  avoir une parole impeccable », tandis que le second invite Ă  ne rien prendre personnellement ». Alors, je m’interroge dans le monde idĂ©al de DMR oĂč tout le monde aurait lu les 4AT et les appliquerait, quelle serait l’utilitĂ© d’avoir une parole impeccable, si, de toute façon, personne ne la prendrait personnellement ? Vous avez 4h 3. Ne faites pas de Concluons Disons qu’il ne nous faut pas suivre cet accord sans user de notre AprĂšs deux chapitres nous laissant supposer qu’autrui est un mĂ©chant qui cherche Ă  nous empoisonner par ses mots, DMR nous invite maintenant Ă  ne pas faire de procĂšs d’intention. Or, des suppositions, le cerveau humain passe son temps Ă  en faire ! Le tout est de communiquer avec autrui pourvu qu’il ne rejette pas notre parole qu’il jugerait subjectivement reprochable, et accepte d’en faire son affaire personnelle !. J’en profite pour souligner que la contradiction semble ĂȘtre l’essence mĂȘme du bouquin de DMR ; celui qui nous invite Ă  ne pas faire de suppositions, ne nous livre-t-il pas un bouquin qui en regorge ? 4. Faites toujours de votre Concluons Comme Ă  son habitude, DMR fait de l’individu et de son bien-ĂȘtre Ă©goiste et narcissique l’alpha et l’omĂ©ga de tout. Il ne faut agir que si ça nous procure du plaisir, jamais sous la contrainte ; DMR oublie-t-il que l’individu n’est pas seul sur terre et que la vie en sociĂ©tĂ© implique des contraintes avec lesquelles il faut savoir composer ? Tout n’est pas source de plaisir, et notre bien-ĂȘtre individuel n’est pas le curseur du bien et du mal, de l’acceptable ou Quand l’auteur affirme au lecteur qu’il a le droit d’ĂȘtre lui-mĂȘme », sans jamais s’encombrer de morale, tient-il compte que le plaisir de certain et leur personnalitĂ© profonde consiste au viol de petits enfants ? Quand l’auteur justifie cette injonction Ă  ĂȘtre soi-mĂȘme » au motif que nous sommes nĂ©s avec le droit d’ĂȘtre heureux », Ă  quoi s’en rĂ©fĂšre-t-il ? OĂč est-il Ă©crit que nous naissons avec le droit d’ĂȘtre heureux ? Et Ă  quelle conception du bonheur doit-on se rattacher ? Bref, que dire ? Qu’ajouter Ă  tout ce qui a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dit ? ImprĂ©cisions, subjectivitĂ©, effet Barnum et compagnie, DMR bullshit pour vendre, et ça marche. Le rĂ©sumĂ© des Quatre accords de ToltĂšques Le livre des 4AT s’ouvre sur une prĂ©face annonçant d’emblĂ©e le mysticisme dans lequel il s’ancre. Lors d’une courte introduction, DMR, l’auteur, explique que ses propos s’appuient sur la tradition d’une civilisation lointaine qui aurait trouvĂ© les clĂ©s du bonheur tant et si bien qu’elle n’existe plus !. Toutefois, comme son ami LB, il ne citera aucune source ni ne proposera aucun ouvrage de rĂ©fĂ©rence concernant ladite civilisation ayant inspirĂ© ses propos rĂ©volutionnaires. Justification faite de sa lĂ©gitimitĂ© Ă  Ă©crire, DMR expose une thĂ©orie qui tisse la toile de fond des 4AT qu’il dĂ©veloppera plus tard. Dans l’enfance, nos parents, la sociĂ©tĂ©, les religions et autres marqueurs environnementaux et culturels, nous assujettiraient Ă  une domestication. Ce processus, reposant sur un systĂšme de sanctions/rĂ©compenses, nous conduirait Ă  passer des accords tacites avec les autres afin d’obtenir leur reconnaissance et leur amour. AttachĂ©s Ă  ce fonctionnement, nous nous maintiendrons, Ă  l’ñge adulte, dans un processus d’auto-domestication, ignorant que ces accords qui rĂ©gissent nos vies ne reposeraient, en rĂ©alitĂ©, que sur nos peurs. Ces accords, donc, seraient nocifs et devraient urgemment ĂȘtre remplacĂ©s par 4 nouveaux accords ou plutĂŽt, 5 puisque DMR a sorti un nouveau livre abordant le cinquiĂšme – et, non, ça n’a rien Ă  voir avec le succĂšs financier gĂ©nĂ©rĂ© par le premier bouquin, voyons ! qui nous libĂ©reraient de ces schĂ©mas vampirisants. Lesdits accords Ă©tant 1- Que votre parole soit impeccable ; 2- Ne jamais en faire une affaire personnelle ; 3- Ne pas faire de suppositions ; 4- Faire toujours de votre mieux. 1. Que votre parole soit impeccable. Il s’agirait, ici, de ne parler qu’en positif de soi-mĂȘme et des autres, fond et forme. Pour DMR, impeccable » = gentil », et il suffirait de parler gentil » pour crĂ©er un monde gentil ». Effectivement, c’est du bon sens que de dire qu’il faut soigner ses mots. Ils ont un poids, une charge Ă©motionnelle. La parole joue un rĂŽle central dans les relations humaines, elle permet d’exprimer notre pensĂ©e et, se faisant, de crĂ©er un lien entre notre monde intĂ©rieur et le monde extĂ©rieur. Mais ma critique de ce premier accord porte sur deux points l’extrapolation du pouvoir des mots, et une confusion entre le fond et la forme de la parole ». Le premier point gĂȘnant, donc, Ă  mon sens, est que DMR attribue aux mots un pouvoir crĂ©ateur objectivement faux. Tout commence lorsqu’il cite la Bible ; pourquoi, d’ailleurs ? Serait-ce Ă  des fins marketing ? Je ne saurais le supposer, de peur d’enfreindre le troisiĂšme accord ! Votre parole est votre pouvoir crĂ©ateur. C’est un cadeau qui vous vient directement de Dieu. Le prologue de l’évangile de Jean, parlant de la CrĂ©ation de l Univers, dit “Au commencement Ă©tait la parole*, et la parole Ă©tait avec Dieu, et la parole Ă©tait Dieu.” ». Bon, tout d’abord, choisir une telle citation prouve le peu d’égard qu’il a pour son lecteur. Si celui-ci est athĂ©e, il y voit un argument parfaitement obsolĂšte ; s’il est chrĂ©tien, il y voit un argument parfaitement faux de fait, un chrĂ©tien un tant soit peu instruit, sait que la parole » Ă©voquĂ©e dans l’Évangile ne se rapporte pas Ă  un pouvoir universel de crĂ©er ex-nihilo, comme DMR aimerait le faire croire, mais s’en rĂ©fĂšre Ă  la Seule Personne de JĂ©sus-Christ, appelĂ© verbe de Dieu ». Quitte Ă  se la jouer religieux en citant la Bible, il aurait pu choisir un verset qui parle rĂ©ellement du pouvoir de la parole, comme celui du Livre des Proverbes qui dit que La langue a pouvoir de vie et de mort. » un pouvoir non pas crĂ©ateur mais exĂ©cutif qui s’exerce sur ce qui est dĂ©jĂ  créé car pour choisir du sort d’un homme, encore faut-il que celui-ci existe ! Ainsi, son choix de verset n’est pas anodin il atteste que l’idĂ©e dĂ©fendue par DMR est que la parole peut crĂ©er ex-nihilo Ă  partir de rien. Or, je n’ai nul besoin de le prouver le rĂ©el et la vĂ©ritĂ© nous prouvent que la parole existe comme membre d’un tout et n’a d’impact qu’en ce qu’elle engendre l’action. La parole construit. Elle ne crĂ©e pas. DMR continue d’appuyer sa pensĂ©e dĂ©viante et fantaisiste en disant que chaque ĂȘtre humain est un magicien qui peut jeter un sort par ses mots ». Il multiplie les analogies entre la parole et la magie, un refrain incessant qu’il saupoudre d’exemples toujours plus grotesques et inappropriĂ©s. La parole est si puissante qu’un seul mot peut changer une vie ou dĂ©truire l’existence de millions de personnes. Il y a quelques dĂ©cennies, la parole d’un seul homme en Allemagne a manipulĂ© toute une nation peuplĂ©e de gens intelligents. Il les a conduits Ă  la guerre, par la seule puissance de sa parole. Il a rĂ©ussi Ă  convaincre certains de commettre les actes de violence les plus atroces qui soient. Sa parole a rĂ©veillĂ© les peurs des gens et, comme une immense explosion, les tueries et la guerre ont ravagĂ© le monde entier. » Oui, il a osĂ©. DMR, celui qui prĂ©tend rĂ©volutionner votre vie, ose braver des milliers d’historiens, bafouer leurs recherches en affirmant que la Seconde Guerre mondiale et l’holocauste n’auraient pour coupable que la parole d’un dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©. Non, ce ne sont pas des facteurs Ă©conomiques et sociaux, historiques et j’en passe qui ont contribuĂ© Ă  la barbarie nazie, NON ! C’est uniquement la parole crĂ©atrice et magique d’Adolphe Hitler qui a ouvrĂ©e, seule. DMR continue sur sa lignĂ©e d’exemples simplifiĂ©s Ă  l’extrĂȘme et caricaturaux, comme ce passage oĂč il Ă©voque que dire Ă  un ami Tiens ! La couleur de ton visage est celle des gens qui vont avoir le cancer. » suffit Ă  ce qu’il dĂ©veloppe un cancer en moins d’un an. Comme si un cancer pouvait se dĂ©velopper par seul effet nocebo, la prĂ©cision temporelle en plus ! C’est non seulement absurde, mais totalement faux, comme le dĂ©montre le rĂ©el, Ă  travers les personnes atteintes d’hypocondrie, par exemple. 2 La confusion fond/forme Mon second point de critique est que, lorsque DMR Ă©voque une parole impeccable », il s’attache aussi bien Ă  la forme qu’au fond ; nous conviendrons tous que soigner la forme est essentiel, nul besoin d’épiloguer lĂ -dessus. Mais il est trĂšs gĂȘnant que DMR affirme que le fond lui-mĂȘme doit ĂȘtre impeccable », c’est-Ă -dire gentil » ; ça laisse libre cours Ă  de nombreux excĂšs. Par exemple, selon lui, gronder son enfant bruyant reviendrait Ă  le condamner Ă  devenir timide et rĂ©primer ses Ă©motions pour ĂȘtre acceptĂ©. Mais quel dĂ©ni du rĂ©el ! Et surtout, quel dĂ©ni des autres ! L’auteur semble oublier qu’il y a un bien commun ; qu’en sociĂ©tĂ©, celui-ci surpasse le bien-ĂȘtre individuel. Si un enfant bruyant gĂȘne ses voisins, le bon sens est de se montrer ferme pour qu’il cesse d’importuner les autres. Aimer son enfant, lui rendre service, c’est lui donner des clĂ©s pour savoir vivre avec autrui dans un monde duquel il n’est ni le centre, ni le roi ! DMR, qui dit que la parole impeccable doit s’ancrer dans la vĂ©ritĂ© et dans l’amour, sait-il que la vĂ©ritĂ© est le rapport au rĂ©el ? Ignore-t-il que ce rĂ©el atteste que les paroles fermes font grandir, que les mots durs secouent ? Ignore-t-il, ce grand chaman, que nos Ă©motions nous constituent, et qu’il est naturel de les exprimer ? Qu’il est naturel d’employer des mots rudes lorsque l’on est en colĂšre, d’utiliser un vocabulaire larmoyant et dĂ©faitiste lorsque l’on est triste ? Ignore-t-il que dans un monde et une vie faite d’adversitĂ©s et d’épreuves, ne penser que positivement serait un dĂ©ni du rĂ©el, conduisant Ă  la folie ? Concluons Disons que le seul bon sens de cet accord, c’est son titre ! Tournons notre langue sept fois dans notre bouche avant de parler, comme le dit ce bon vieil adage, qui, au passage, nous prouve que DMR n’a rien inventĂ©. Soigner sa parole relĂšve d’un bon sens commun que nous avons tous, sorte de loi morale qui nous enjoint Ă  faire preuve, envers les autres, du mĂȘme Ă©gard que l’on aimerait qu’ils eussent pour nous, comme le disait dĂ©jĂ  JĂ©sus, par exemple, 2 000 ans avant DMR. Mais soit, un ouvrage bimillĂ©naire nommĂ© Bible est beaucoup moins exotique et marketing qu’un petit livre de 120 pages qui se revendique l’hĂ©ritage d’une civilisation ancestrale. Quant au dĂ©veloppement de cet accord, et bien, ce ne sont que fumisteries basĂ©es sur une version fantasmĂ©e du rĂ©el, comme expliquĂ© plus haut. 2. N’en faites jamais une affaire personnelle Ce deuxiĂšme accord explique qu’il ne faut pas se laisser atteindre par les propos que les autres peuvent tenir sur nous. Si, Ă  priori, celui-ci paraĂźt juste et plein de bon sens, lĂ  encore, DMR enlĂšve les murs porteurs de la vĂ©ritĂ© il ĂŽte d’un concept plutĂŽt vrai les principes qui en font les nuances, de sorte que son rĂ©cit devient non seulement faux, mais dangereux ! OUI ! Personne ne peut nous connaĂźtre parfaitement. Nous sommes une sorte d’image floue que les autres clarifient en y apposant leurs expĂ©riences et leur personnalitĂ©. Oui ! Parfois, les apprĂ©ciations des autres relĂšvent plus de la projection ou du fantasme que du constat factuel ! Mais s’en tenir Ă  ça est une simplification extrĂȘme ; baser tout son second accord dessus est imprudent ! À commencer par une vĂ©ritĂ© simple l’image de nous n’est pas floue pour tout le monde. Oui, certains peuvent nous aborder avec subjectivitĂ©. NĂ©anmoins, suivant l’intimitĂ© qui nous lie aux individus, ils savent des choses de nous, des Ă©lĂ©ments objectifs qui ne relĂšvent pas de leur grille de lecture personnelle, mais de l’observation d’actes rĂ©pĂ©tĂ©s que nous avons posĂ©s et qui disent quelque chose de nous. Si je prenais frĂ©quemment la parole pour dire des choses volontairement fausses, je serais une menteuse ; si je me rendais chez des amis et prenais, en cachette, un objet qui leur appartient pour l’apporter chez moi, je serais une voleuse. Tout ça tĂ©moigne d’une chose l’accord de DMR n’est pas applicable, car il existe un bien et de mal absolu dont les actions, visibles et observables, tĂ©moignent. Nous ne pourrons jamais mesurer le degrĂ© de monstruositĂ© d’Hitler, car nous ne pourrons jamais connaĂźtre la rĂ©alitĂ© de sa vie intĂ©rieure ; toutefois, qu’il ait commanditĂ© l’assassinat de 6 millions de personnes sur la base de leurs croyances religieuse, ethnie ou orientation sexuelle, nous donne une indication sur l’individu qu’il Ă©tait. Volontairement et rĂ©pĂ©titivement, il a posĂ© des actes moralement inadmissibles, objectivement mauvais, qui disent quelque chose de lui. Hitler eut pu en faire une affaire personnelle qu’on lui dise que c’est un monstre ses actes en tĂ©moignent. Un pĂ©dophile peut le prendre personnellement qu’on lui dise que c’est un dĂ©traquĂ© ses actes en tĂ©moignent. Un menteur peut en faire une affaire personnelle qu’on le dise indigne de confiance ses actes en tĂ©moignent. De mĂȘme que ces exemples, extrĂȘmes, je l’avoue, nous aussi devons parfois faire notre la critique qui nous est faite. Car c’est moralement entendable, d’une part, mais Ă©galement souhaitable de l’autre prendre les choses personnellement nous permet parfois de nous corriger. Si tous les mots des autres glissaient sur nous comme luge sur neige, quelles perspectives d’évolution aurions-nous ? Quels encouragements nous pousseraient ? De plus, DMR passe au-delĂ  de deux composantes essentielles de l’humain. Ses Ă©motions, d’abord. Nous prenons les choses personnellement, car nous avons des sentiments, des Ă©motions, et que nous sommes faits pour interagir avec le monde extĂ©rieur. Nous ne pouvons rester impassibles devant les dires d’autrui, car nous sommes constituĂ©s pour vivre avec lui. Ce qu’il pense de nous nous importe, ce qu’il en dit Ă©galement. Par la parole, les hommes s’encouragent, se soutiennent, se corrigent ; l’ĂȘtre humain est un animal social et intelligent, intelligence qui se manifeste en premier lieu par la parole ! Nous sommes liĂ©s les uns aux autres notamment par ce que nous nous disons ! Quelle sociĂ©tĂ© individualiste et impassible DMR veut-il contribuer Ă  crĂ©er en nous encourageant de cultiver l’indiffĂ©rence aux autres ? Notre capacitĂ© de jugement, ensuite. De fait, Dieu ou/ou l’évolution nous ont dotĂ©s d’un panel de mĂ©canismes nous permettant d’émettre des jugements. Nous raisonnons, nous manipulons des concepts, et nous vivons en sociĂ©tĂ©. L’équation est simple. Concluons Disons que rien, et surtout pas son titre, n’est Ă  retenir dans ce deuxiĂšme accord ! Nous prenons les choses personnellement et le ferons toujours, car nous vivons en sociĂ©tĂ©, et l’interaction avec autrui, conjuguĂ©e Ă  la loi morale entre autres, implique que nous Ă©mettions des avis les uns sur les autres. Si Don Miguel Ruiz avait voulu ĂȘtre utile Ă  ses lecteurs, il leur aurait plutĂŽt expliquĂ© comment discerner la critique Ă  accueillir, et celle Ă  rejeter. Car, de fait, toutes les critiques ne se valent pas ; certaines nous font grandir, d’autres nous rabaissent. Certaines sont Ă©mises par des gens bien intentionnĂ©s qui optent pour une correction fraternelle, d’autres par des individus qui veulent nous dĂ©courager. Prenons des choses personnellement, oui, mais apprenons Ă  savoir lesquelles celles qui nous font grandir, celles qui nous poussent au bout de nous-mĂȘmes. De plus, nous soulignerons comme ces accords issus de la sagesse ancestrale de DMR sont incohĂ©rents le premier enjoint Ă  avoir une parole impeccable », tandis que le second invite Ă  ne rien prendre personnellement ». Alors, je m’interroge dans le monde idĂ©al de DMR oĂč tout le monde aurait lu les 4AT et les appliquerait, quelle serait l’utilitĂ© d’avoir une parole impeccable, si, de toute façon, personne ne la prendrait personnellement ? Vous avez 4h 3. Ne faites pas de suppositions Cet accord explique qu’il faut prĂ©fĂ©rer le dialogue aux supputations ; lĂ  encore, un conseil plein de bon sens en apparence. Et pourtant ! Une fois n’est pas coutume, DMR oublie que l’ĂȘtre humain existe avec des prĂ©rogatives et caractĂ©ristiques intrinsĂšques. Nous sommes biologiquement conçus pour supposer ; nous disposons d’un panel d’outils nous permettant de dĂ©coder notre environnement, dont les autres font partie. Nous sommes programmĂ©s pour dĂ©crypter la peur, la joie, la tristesse ou la colĂšre sur le visage d’autrui ; programmĂ©s pour supposer qu’un ciel gris annonce une pluie prochaine, qu’un effet a sa cause, et que toute cause a sa consĂ©quence. En bref, nous analysons naturellement et inconsciemment les Ă©motions des autres, leur langage non-verbal ou les Ă©lĂ©ments naturels, et en tirons des conclusions qui sont des suppositions. DMR manque encore de nuance supposer n’est pas le problĂšme. Supposer est naturel. Le vĂ©ritable souci est lorsque nous faisons de nos suppositions une vĂ©ritĂ© absolue et intangible. Tout comme l’accord prĂ©cĂ©dent nous invitait Ă  rejeter en bloc tout propos d’autrui nous concernant, sans discerner la pertinence de ses propos, celui-ci nous invite Ă  rejeter toute forme de supposition. Pour rĂ©ajuster l’accord prĂ©cĂ©dent, nous avons dit que l’enjeu Ă©tait plutĂŽt d’apprendre Ă  discerner la pertinence des critiques ; pour rĂ©ajuster celui-ci, disons qu’il s’agit encore de sĂ©parer le bon grain et l’ivraie. Nuance, toujours ! Nous pouvons supposer quelque chose, mais nous ne devons pas en rester lĂ . Nous devons voir la supposition comme une invitation Ă  communiquer. Il nous faut poser des questions franches et ĂȘtre nous-mĂȘmes transparents quant Ă  ce que nous pensons, de sorte que nous Ă©vitons ce que la PNL nomme la lecture de pensĂ©e ». Concluons Disons qu’il ne nous faut pas suivre cet accord sans user de notre discernement. AprĂšs deux chapitres nous laissant supposer qu’autrui est un mĂ©chant qui cherche Ă  nous empoisonner par ses mots, DMR nous invite maintenant Ă  ne pas faire de procĂšs d’intention. Or, des suppositions, le cerveau humain passe son temps Ă  en faire ! Le tout est de communiquer avec autrui pourvu qu’il ne rejette pas notre parole qu’il jugerait subjectivement reprochable, et accepte d’en faire son affaire personnelle !. J’en profite pour souligner que la contradiction semble ĂȘtre l’essence mĂȘme du bouquin de DMR ; celui qui nous invite Ă  ne pas faire de suppositions, ne nous livre-t-il pas un bouquin qui en regorge ? 4. Faites toujours de votre mieux C’est accord me fait penser Ă  une situation que tous avons dĂ©jĂ  connue. Être en examen, devoir justifier notre rĂ©ponse en un nombre de mots donnĂ©s, et se rĂ©pĂ©ter Ă  l’infini, paraphraser ses paraphrases sans cesse histoire de faire du remplissage et atteindre les quotas. Ce quatriĂšme accord est exposĂ© en 8 pages. Huit pages oĂč DMR rĂ©pĂšte inlassablement la mĂȘme chose, et cherche Ă  dĂ©velopper une phrase si simple qu’elle se suffit Ă  elle-mĂȘme et se passe d’explication. Fort de son envie de donner une illusion de consistance Ă  ses Ă©crits, l’auteur dĂ©veloppe autour de la question du mieux » et de l’action de faire. Alors, qu’est-ce que notre mieux, selon DMR ? Simple notre mieux, c’est ce qui ne nous fatigue pas, ne sollicite pas nos efforts, nous procure du plaisir. Comme dans ses chapitres prĂ©cĂ©dents, l’auteur dĂ©courage son lecteur dans toute forme de surpassement quotidien en l’invitant Ă  ne pas s’acharner davantage que son mieux », mieux nĂ©buleux, au risque de se vider de son Ă©nergie et d’agir contre lui-mĂȘme ». Il ne dit rien sur les limites » de ce mieux ». Il n’explique pas Ă  quel moment la persĂ©vĂ©rance, nĂ©cessaire Ă  la croissance humaine, devient nĂ©faste. Il ne nous dit pas pourquoi il faut prĂ©server son Ă©nergie et ne pas l’investir dans ce qui peut nous Ă©lever. Qui a-t-il de plus important que ça ? Nous ne le saurons jamais. Il fait mine d’ignorer que pour faire grandir l’homme, il faut le pousser Ă  sortir de sa zone de confort. Et, dites, DMR, j’ai une question les choses ne mĂ©ritent-elles qu’on les fasse que lorsqu’on sait dĂ©jĂ  les faire ? De contre-sens en absurditĂ©s, DMR enjoint Ă  faire de son mieux » et ne pas se juger oubliant que notre mieux » Ă©tant subjectif, ne peut qu’ĂȘtre soumis Ă  notre Ă©valuation personnelle ; rĂ©pĂ©tant plusieurs fois que nous devons faire de notre mieux, ni plus, ni moins » tandis que, par dĂ©finition, notre mieux ne peut ĂȘtre moins, et que s’il pouvait ĂȘtre plus, alors ce plus serait notre mieux. De flous artistiques en nĂ©buleuses, ce quatriĂšme accord continue de jeter de la poussiĂšre dorĂ©e au lecteur, lui disant que tout ce qui compte, c’est qu’il soit heureux », qu’il soit lui-mĂȘme », qu’il ne se juge pas », bref, qu’il vive pour lui, par lui, en lui, faisant abstraction totale des autres, de la sociĂ©tĂ© et des rĂšgles, morales et lĂ©gislatives, qui la rĂ©gissent. Qu’ajouter ? DMR enfonce des portes ouvertes ; plusieurs lignes pour nous expliquer que quand tu as bien dormi, tu fais mieux de ton mieux que quand tu as mal dormi ». Merci pour cette information lumineuse. Concluons Comme Ă  son habitude, DMR fait de l’individu et de son bien-ĂȘtre Ă©goiste et narcissique l’alpha et l’omĂ©ga de tout. Il ne faut agir que si ça nous procure du plaisir, jamais sous la contrainte ; DMR oublie-t-il que l’individu n’est pas seul sur terre et que la vie en sociĂ©tĂ© implique des contraintes avec lesquelles il faut savoir composer ? Tout n’est pas source de plaisir, et notre bien-ĂȘtre individuel n’est pas le curseur du bien et du mal, de l’acceptable ou non. Quand l’auteur affirme au lecteur qu’il a le droit d’ĂȘtre lui-mĂȘme », sans jamais s’encombrer de morale, tient-il compte que le plaisir de certain et leur personnalitĂ© profonde consiste au viol de petits enfants ? Quand l’auteur justifie cette injonction Ă  ĂȘtre soi-mĂȘme » au motif que nous sommes nĂ©s avec le droit d’ĂȘtre heureux », Ă  quoi s’en rĂ©fĂšre-t-il ? OĂč est-il Ă©crit que nous naissons avec le droit d’ĂȘtre heureux ? Et Ă  quelle conception du bonheur doit-on se rattacher ? Bref, que dire ? Qu’ajouter Ă  tout ce qui a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dit ? ImprĂ©cisions, subjectivitĂ©, effet Barnum et compagnie, DMR bullshit pour vendre, et ça marche.
VidĂ©oTikTok de Ezhara Ayam (@ezharaayam) : « Accord n°2 dans le livre de Miguel Ruiz.. les accords tolteques : NE RIEN PRENDRE PERSONNELLEMENT. En voici un extrait.. A mĂ©diter : " Quoi qu’il arrive autour de vous, ne le prenez pas personnellement Rien des autres n’est Ă  cause de vous. C’est Ă  cause d’eux-mĂȘmes. Tous les gens vivent dans leur propre rĂȘve, dans
Les quatre accords ToltĂšques proposent un puissant code de conduite capable de transformer rapidement notre vie en une expĂ©rience de libertĂ©, de vrai bonheur et d’amour. Le monde fascinant de la Connaissance vĂ©ritable et incarnĂ©e est enfin Ă  la portĂ©e de chacun. » Don Miguel Ruiz Voici les 4 accords ToltĂšque Que ta parole soit impeccable Parlez avec intĂ©gritĂ©, ne dites que ce que vous pensez. N'utilisez pas la parole contre vous-mĂȘme, ni pour mĂ©dire sur autrui. Ne prends rien personnellement Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre rĂ©alitĂ©, de leur rĂȘve. Lorsque vous ĂȘtes immunisĂ© contre cela, vous n'ĂȘtes plus victime de souffrances inutiles. Ne fais pas de supposition Ayez le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais dĂ©sirs. Communiquez clairement avec les autres pour Ă©viter tristesse, malentendus et drames. Fais toujours de ton mieux Votre mieux change d'instant en instant, quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous Ă©viterez de vous juger, de vous culpabiliser et d'avoir des regrets. Une promesse de libertĂ©, de bonheur et d’amour est promise pour qui s’applique ses quatre rĂšgles de vie trĂšs simples. Les quatre accords toltĂšques nous viennent d’un ancien neurochirurgien mexicain, Miguel Ruiz, devenu chaman suite Ă  une expĂ©rience de mort imminente qui transforma sa vie. C’est un code de conduite » qui permet d’apprĂ©hender le monde sereinement, et de façon plus saine. Ce sont des mantras pleins de bon sens, mais surtout d’une trĂšs grande puissance. La culture ToltĂšque est une culture mĂ©soamĂ©ricaine qui s’est dĂ©veloppĂ©e autour de Tula, leur capitale situĂ©e prĂšs de Teotihuacan au Mexique. Elle se situe au dĂ©but de la pĂ©riode post-classique de la chronologie mĂ©so-amĂ©ricaine entre 900 et 1200 de notre Ăšre. Le terme ToltĂšques provient du nahuatl et dĂ©signe les maĂźtres bĂątisseurs ». Dans les lĂ©gendes nahuatl, les ToltĂšques sont censĂ©s ĂȘtre Ă  l'origine de toute civilisation. Les AztĂšques, pour affirmer leur supĂ©rioritĂ©, se sont donc prĂ©tendus leurs descendants. Nous avons reçu depuis notre plus tendre enfance une multitude d’informations, de devoirs, de rĂšgles, d’interdits, de rĂ©compenses, de punitions
 et nous en avons fait, ce que j’appelle, notre modĂšle, celui qui va nous servir toute notre vie. Ce modĂšle se construit autour de l’ñge de 8 ans et c’est le meilleur modĂšle qui soit avec notre dĂ©veloppement Ă  cet Ăąge ce qui va nous poser des difficultĂ©s Ă  l’ñge adulte. En d’autres termes, il s’agit de notre propre livre de loi comme un code civil qui se rapporte Ă  nous-mĂȘmes et il y a Ă  l’intĂ©rieur tout ce que nous avons acceptĂ© comme vrai. Il s’agit donc d’une acceptation, autrement dit d’un accord avec ce livre de loi. Et voilĂ  le terme Accord ToltĂšque » expliquĂ© et ceci est trĂšs important Ă  comprendre pour pouvoir se servir de ce legs ToltĂšque. Voici un exemple un ami me dit Tu as la tĂȘte de quelqu’un qui va avoir un cancer ! ». Si j’écoute cette parole et que je suis en accord avec alors il y a de grande chance que j’attrape un cancer dans moins d’un an. VoilĂ  la puissance de la parole en rĂ©fĂ©rence au premier accord. Cet exemple est tirĂ© du livre de Don Miguel Ruiz. Il faut donc bien comprendre le terme accord en tant qu’acceptation. Le fait de croire que cela peut arriver, engendre la possibilitĂ© que cela arrive. C’est ce que nous avons dĂ©jĂ  beaucoup vu dans plusieurs autres chapitres de ce livre, la pensĂ©e est crĂ©atrice et la parole Ă©galement, effectivement tout se rejoint. Accord 1 Que ta parole soit impeccable Vous pouvez Ă©valuer le degrĂ© auquel votre parole est impeccable Ă  l’aulne de l’amour que vous avez pour vous-mĂȘme. L’intensitĂ© de votre amour-propre et les sentiments que vous nourrissez envers vous sont directement proportionnels Ă  la qualitĂ© et Ă  l’intĂ©gritĂ© de votre parole. Lorsque celle-ci est impeccable, vous vous sentez bien ; vous ĂȘtes heureux et en paix. » Don Miguel Ruiz La parole est comme une graine que nous semons dans la pensĂ©e de l'homme. Chaque critique que nous faisons, chaque jugement que nous portons Ă  l'Ă©gard d'autrui est comme un sort que nous jetons. Combien d'estimes de soi dĂ©truites avec des phrases assassines, tu es bĂȘte, tu ne comprends rien », tu n’y arriveras jamais », tu n’es pas intelligente », tu n’es pas capable », tu n’es pas normale »  En ayant conscience de cela et en faisant attention Ă  nos paroles nous pouvons distiller du bonheur et de l'amour dans notre vie et dans la vie des autres... Sans y faire attention nous jugeons constamment les autres, sans mĂȘme parfois les connaĂźtre. Nous jugeons mĂȘme les personnes qui nous sont les plus chĂšre. Mais finalement, juger quelqu’un n’est pas seulement nĂ©faste pour la personne rĂ©ceptrice, cela l’est surtout pour la personne qui Ă©mettrice. En effet, en jugeant et en comparant sans cesse, c’est finalement notre propre mental qui est sous le joug de la nĂ©gativitĂ©. La parole que nous entretenons avec nous-mĂȘmes est trĂšs importante, c’est mĂȘme le plus important ! Car si nous pouvons ĂȘtre nĂ©gatifs avec les autres, c’est souvent envers nous-mĂȘmes que nous sommes les pires juges. Je suis maladroit », je ne suis pas Ă  la hauteur »  sont autant de paroles qui ont un effet dĂ©vastateur sur l’estime de soi. Il devient donc Ă©vident de faire attention Ă  notre dialogue interne et aux idĂ©es qu’il en ressort. Pourquoi vouloir continuer Ă  mal utiliser son mental ? Ne soyons pas dans le jugement, soyons indulgent envers nous-mĂȘmes et envers les autres ! Juger c’est en quelque sorte agir contre soi-mĂȘme. Ayons une parole impeccable ! Le premier accord est le plus important. Il est si important qu’à lui seul il vous permettra de transcender votre vie actuelle. » Don Miguel Luiz. Si vous le respectez, vous aurez dĂ©jĂ  fait la moitiĂ© du chemin. Les trois autres accords sont en quelque sorte des prĂ©cisions du premier. Accord 2 Ne prends rien personnellement Ce que vous pensez, ce que vous ressentez, c’est votre problĂšme, pas le mien. C’est votre façon de voir le monde. Cela ne me touche pas personnellement, parce que vous n’ĂȘtes confrontĂ© qu’à vous-mĂȘmes, pas Ă  moi. D’autres auront une opinion diffĂ©rente, selon leur systĂšme de croyances.» Don Miguel Luiz Nous faisons une affaire personnelle de ce qui nous est dit parce que nous acceptons ce qu’on dit de nous nous donnons notre accord. Nous sommes aucunement responsable de ce que les autres disent, cela dĂ©pend seulement de leur livre de loi personnel pas du nĂŽtre. Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle. Comme nous l’avons dĂ©jĂ  vu, Ă  plusieurs reprises, dans cet ouvrage, nous avons tous des reprĂ©sentations mentales diffĂ©rentes, nous percevons le monde de diffĂ©rentes maniĂšres notre carte du monde. Cela vient de notre Ă©ducation, de nos expĂ©riences, de nos croyances
 Si bien que, quand une personne vous dit quelque chose de mal, elle vous transmet ses propres croyances, ses propres insĂ©curitĂ©s. Ce que AmĂąna pense de Pierre en dit plus sur AmĂąna que sur Pierre
 ». GrĂące Ă  cet accord, tous les Ă©vĂ©nements qui nous arrivent au quotidien n’auront plus d’emprise sur nous. Nous gagnons Ă©normĂ©ment en libertĂ© quand le regard extĂ©rieur nous importe peu. Si nous avons conscience que chacun a ses propres filtres pour percevoir le monde, alors nous comprendrons que prendre personnellement tout ce qui nous arrive est une grave erreur. Chacun est responsable de ses dĂ©cisions et de ses choix. Il est prĂ©fĂ©rable de prendre confiance en soi et s’estimer, pour ne plus ĂȘtre dĂ©pendant du jugement des autres. Accord 3 Ne fais pas de supposition VoilĂ  donc quel est le troisiĂšme accord toltĂšque ne faites aucune supposition. FormulĂ© ainsi, cela semble facile, mais je suis conscient combien c’est difficile Ă  mettre en Ɠuvre. La difficultĂ© provient de ce qu’on fait gĂ©nĂ©ralement l’inverse. On a tous des habitudes dont on n’est mĂȘme pas conscient. Les amener Ă  la conscience et comprendre l’importance de cet accord est donc le premier pas Ă  franchir. Mais la comprĂ©hension n’est pas suffisante. Une information ou une idĂ©e ne sont que des graines dans notre esprit. Ce qui va vraiment faire la diffĂ©rence, c’est l’action. Le fait de mettre une chose en pratique, jour aprĂšs jour, renforce votre volontĂ©, nourrit la graine et Ă©tablit des fondements solides pour que se dĂ©veloppe une nouvelle habitude. » Don Miguel Ruiz Lors de mon premier contact avec une personne qui souhaite prendre RDV, je dis toujours Je travaille seulement avec le prĂ©sent ». Mes outils fonctionnent uniquement en partant des faits de la vie quotidienne. C’est ce quotidien qui attirera mon attention sur ce que je dois savoir du passĂ© pour faire un nettoyage. Je ne m’attache pas aux Ă©vĂšnements passĂ©s, parce que cela met un lien d’implication de causes Ă  effets entre le passĂ© et la vie quotidienne. Cela revient Ă  mettre un couvercle sur une marmite alors que nous cherchons Ă  savoir ce qu’il y a dedans. De la mĂȘme façon, j’indique que je ne me prĂ©occupe pas de l’avenir puisque ce n’est que supposition. Le seul moment rĂ©el oĂč nous avons le pouvoir est maintenant, le moment prĂ©sent. Par exemple, en ce moment-mĂȘme oĂč j’écris ce chapitre, quel est l’intĂ©rĂȘt de me prĂ©occuper si le livre va avoir du succĂšs ou non, si il va me permettre de dĂ©velopper une activitĂ© collective en crĂ©ant des stages et des ateliers sur les sujets traitĂ©s dans le livre Aucun ! Cela servira simplement Ă  me mettre le doute, et peut-ĂȘtre mĂȘme Ă  ne pas terminer cet ouvrage. Je vous rassure, j’irai jusqu’au bout sans faire ce genre de supposition. Je ne peux pas vous parler des accords ToltĂšque sans les avoir intĂ©grĂ© dans mon mode de pensĂ©es et dans ma vie. En prenant conscience que nos suppositions sont des crĂ©ations de notre esprit, nous allons naturellement arrĂȘter d’émettre des hypothĂšses hasardeuses, auxquelles nous finirions irrĂ©mĂ©diablement Ă  croire. Pour cela, nous allons chercher coĂ»te que coĂ»te Ă  clarifier nos propos et s’appliquer Ă  comprendre l’autre, en lui posant autant de questions que nĂ©cessaire. Et cela s’applique, de la mĂȘme maniĂšre Ă  soi-mĂȘme. En faisant des suppositions nous interprĂ©tons des Ă©vĂšnements en leur donnant le sens que nous pensons qu’ils ont. Ensuite, nous nous convainquons que ces interprĂ©tations sont le reflet de la rĂ©alitĂ©. Au final, nous prĂȘtons des intentions aux autres sur la seule base de suppositions, souvent erronĂ©es, auxquels nous nous sommes convaincu de croire. Cela s’applique encore une fois Ă  soi-mĂȘme. Une des suppositions les plus communes est de croire que les autres pensent de la mĂȘme maniĂšre que nous Voir La carte n’est pas le territoire » dans le chapitre les sept principes de base de la PNL ». Nous oublions souvent que chacun Ă  sa propre perception du monde, que chacun rĂ©agit diffĂ©remment Ă  des situations semblables. Nous en arrivons Ă  croire que tout le monde juge, pense et agit de la mĂȘme façon que nous. Et cela n’est absolument pas le cas ! C’est incroyable le nombre important de personnes qui passent Ă  mon cabinet avec cette idĂ©e, ce qui créé de grandes distorsions mentales. Elles vivent une grande libĂ©ration quand je leur explique ce principe que la carte n’est pas le territoire et que chacun ne pense pas, ne ressent pas, n’interprĂšte pas la mĂȘme chose. Ce qui est intĂ©ressant c’est la divergence enrichissante des points de vue. Prenons un exemple concret A la suite d’une rupture, c’est probablement un des moments oĂč nous faisons le plus de suppositions. Avec les rĂ©seaux sociaux, nous pouvons suivre notre Ex » facilement, voir ce qu’elle devient et nous croyons trouver des sous-entendus dans toutes les publications faites. Nous en dĂ©duisons elle vient de publier cette photo, ou d’écrire ce mot que nous disions souvent ensemble », cela veut dire qu’elle tient encore Ă  moi, qu’elle regrette. Nous reprenons espoir et nous nous sentons bien tout le reste de la journĂ©e. Ce ne sont pourtant que des suppositions. Le jour oĂč nous voyons une photo sur laquelle elle est accompagnĂ©e d’un homme, c’est la descente aux enfers, nous perdons espoir et nous sommes malheureux tout le reste de la journĂ©e. C’est aussi vrai quand nous dĂ©couvrons une nouvelle photo d’elle et que nous nous posons cette question qui a pris cette photo ? Avec une multitude d’autres questions et suppositions qui nous enferment dans notre dĂ©sespoir. Le paradoxe avec les suppositions c’est que souvent nous en voulons aux autres pour des choses qu’ils n’ont pas faites. Accord 4 Fais toujours de ton mieux Ne vous attendez pas Ă  vous exprimer toujours avec une parole impeccable. Vos habitudes sont trop fortes et trop bien ancrĂ©es dans votre esprit. Mais vous pouvez faire de votre mieux. [
] En faisant de votre mieux, l’habitude de mal utiliser votre parole, celle de faire une affaire personnelle de tout ce qui vous arrive et celle de faire des suppositions vont s’affaiblir et se manifester de moins en moins souvent. Vous n’avez pas Ă  vous juger, Ă  vous sentir coupable ou Ă  vous punir, si vous n’arrivez pas Ă  respecter ces quatre accords toltĂšques. Si vous faites de votre mieux, vous vous sentirez bien mĂȘme en faisant encore des suppositions, mĂȘme s’il vous arrive encore de rĂ©agir de façon personnelle, mĂȘme si votre parole n’est pas tout le temps impeccable. » Don Miguel Ruiz Ce quatriĂšme accord toltĂšque est la consĂ©quence logique des trois premiers. C’est le pilier de notre changement. C’est celui qui nous permettra d’agir de façon durable en respectant les trois autres accords. Donner le meilleur de soi, ne pas en faire trop, ni trop peu. C’est ainsi que nous Ă©vitons la frustration de ne pas avoir Ă©tĂ© jusqu’au bout, qui engendre regrets et culpabilitĂ©. C’est aussi ainsi que nous nous prĂ©servons, car Ă  trop donner, nous nous Ă©puisons en dĂ©pensant toute notre Ă©nergie. À terme, il faut trouver le bon Ă©quilibre. Le plus grand danger est la recherche de la perfection, qui, comme chacun le sait, n’existe pas sur terre. À coup sĂ»r c’est l’épuisement. Lorsque nous en faisons trop, nous nous vidons de notre Ă©nergie et nous agissons contre nous-mĂȘmes. Nous devons faire baisser la pression que nous nous imposons souvent Ă  nous-mĂȘmes en remplaçant le je dois » par je peux », par exemple. C’est ainsi que nous pouvons atteindre notre objectif sans s’encombrer du jugement des autres ni Ă©mettre de jugement envers soi-mĂȘme. Faire de son mieux c’est faire que chaque tĂąche que nous rĂ©alisons, nous la rĂ©alisions en donnant le meilleur de nous-mĂȘmes. C’est ĂȘtre concentrĂ© sur le prĂ©sent, notre mieux » est variable d’un jour Ă  l’autre, d’une minute Ă  l’autre selon notre Ă©tat. Pour conclure Pour Ă©voluer, exercez-vous Ă  changer la perception que vous avez de votre environnement en vous rĂ©fĂ©rant Ă  ces quatre accords. Prenez par exemple un jour par semaine pour chaque accord toltĂšque, disons le lundi pour le premier, le mardi pour le deuxiĂšme, etc
 et lors de ce jour vous devrez faire trĂšs attention Ă  appliquer le plus possible cet accord en toute bienveillance, il faut savoir ĂȘtre indulgent avec soi-mĂȘme. Avec le temps et la rĂ©pĂ©tition vous changerez votre façon de percevoir le monde et ces accords deviendront une seconde nature. ATTENDEZ, ce n’est pas encore fini ! Il existe aujourd’hui un 5Ăšme accord ToltĂšque Dans ce cinquiĂšme accord il y a deux parties, la premiĂšre nous dit d’ĂȘtre sceptiques. Etre sceptique veut dire que nous ne croyons pas systĂ©matiquement ce que nous entendons, ce que les autres nous racontent mais pas non plus ce que nous nous disons Ă  nous mĂȘmes
 Pour quelle raison nous devrions ĂȘtre sceptiques ? Nous entrons en contact avec la rĂ©alitĂ© Ă  travers le filtre de notre perception, et celui-ci est diffĂ©rent d’une personne Ă  une autre il est constituĂ© par nos sens, notre histoire personnelle, nos croyances, le langage que nous utilisons, tout ce que nous avons appris
 donc la rĂ©alitĂ© que nous percevons est aussi diffĂ©rente pour chacun d’entre nous. Nous vivons donc tous dans un monde plus ou moins diffĂ©rent de celui de l’autre, et pour chacun d’entre nous notre monde est vrai, mais est-il plus vrai que celui de quelqu’un d’autre ? Comment faire ? Ici nous arrivons Ă  un autre sujet important en lien avec la rĂ©alitĂ© les croyances. Les croyances crĂ©ent notre rĂ©alitĂ©, si nous voulons transformer notre rĂ©alitĂ© nous devons changer nos croyances. Le fait de douter va introduire une distance entre nous et les situations que nous vivons, ce que les autres nous disent, ce que nous nous racontons Ă  nous-mĂȘmes Ă  travers notre dialogue interne
 Le dialogue interne nous aide Ă  maintenir notre cadre de rĂ©fĂ©rence, et nos croyances sur nous, sur la rĂ©alitĂ© en font partie. Si nous doutons de ce que nous nous racontons, de ce que nous avons appris, nous allons petit Ă  petit nous libĂ©rer des croyances qui nous limitent, des jugements envers nous-mĂȘmes, des jugements envers les autres. Si nous ne croyons pas ce que les autres disent cela va nous libĂ©rer de l’emprise que leurs jugements ont sur nous. Le doute va aussi crĂ©er une distance par rapport aux situations qui arrivent dans notre vie et le sens que nous leurs donnons et ainsi nous permettre d’envisager d’autres sens possibles. Tout cela va nous permettre de nous rĂ©approprier notre pouvoir personnel nous rendant ainsi plus libres et capables de sortir du rĂȘve des autres et construire le rĂȘve que nous choisissons pour nous-mĂȘmes. La deuxiĂšme partie de cet accord nous dit apprenez Ă  Ă©couter Cela va nous permettre d’entrer en interaction avec le monde des autres d’une façon harmonieuse, respectueuse et plus riche, car nous amĂ©liorons la communication. Ce qui pour moi est vrai dans mon monde ne l’est pas forcement dans celui de quelqu’un d’autre, mais ce l’est pour moi, c’est pourquoi si j’ai conscience de cela je ne vais pas chercher Ă  convaincre quelqu’un que j’ai raison car je sais que la rĂ©alitĂ© de l’autre n’est pas la mĂȘme que la mienne et que la mienne ne lui conviendrait pas forcement. Mais je peux Ă©couter, si j’écoute vraiment je vais pouvoir comprendre l’autre, sa rĂ©alitĂ©, ce qu’il vit, ce qu’il ressent. Quand je parle je le fais Ă  partir de mon monde et l’autre en face va interprĂ©ter ce qu’il entend en fonction de son monde, en sachant ceci nous pouvons vĂ©rifier par des questions et la reformulation que nous nous comprenons. Si nous voulons vraiment communiquer avec les autres c’est absolument nĂ©cessaire d’apprendre Ă  Ă©couter, sinon nous ne pouvons pas rentrer dans leur rĂȘve. Nous n’avons pas besoin de croire ce que l’autre nous dit le prendre comme une vĂ©ritĂ© pour crĂ©er un vrai lien avec lui. Le vrai lien, le vrai partage va venir de notre capacitĂ© Ă  Ă©couter, Ă  nous intĂ©resser, Ă  comprendre et Ă  respecter ce qu’il vit dans son monde, puis Ă  partager si nous le souhaitons ce que nous vivons dans le notre. PLUS D INFORMATIONS LES 4 ACCORDS TOLTEQUES ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER Partager la publication "L’Enseignement des 4 Accords ToltĂšques" FacebookTwitter Ajouter un nouveau commentaire PubliĂ© dans ActualitĂ© bien-ĂȘtre, Bien-ĂȘtre et mĂ©decine douce, DĂ©veloppement personnel, Livre de dĂ©veloppement personnel, SantĂ© & Bien-ĂȘtre, ThĂ©rapeutes et professionnels du bien-ĂȘtre Tags atelier, bien-ĂȘtre, bonheur, dĂ©veloppement personnel, Livre de dĂ©veloppement personnel, mĂ©decine alternative, mĂ©decine douce, professionnel du bien-ĂȘtre, santĂ©, stage, stage bien-ĂȘtre, stage dĂ©veloppement personnel, thĂ©rapeute
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Commentne pas prendre les choses personnellement au travail? N’hĂ©sitez pas Ă  faire le travail nĂ©cessaire sur vous pour ne plus prendre personnellement et souffrir de ce qui se dit autour de vous. premier accord: avoir la parole impeccable. deuxiĂšme accord: ne pas faire de supposition. troisiĂšme accord : ne pas faire de suppositions.
Les Quatre Accords toltĂšques le livre incontournable Ă  lire pour rĂ©ussir son annĂ©e 2021 1er accord avoir une parole impeccable » 2e accord Ne jamais prendre les attaques des autres personnellement. 3e accord ne pas faire de suppositions. Le 4e accord toujours faire de son mieux. mais encore, Comment avoir une parole impeccable ? Comment arrĂȘter les suppositions ? Posez des questions. Rien de mieux finalement pour ne pas faire de suppositions que de poser des questions. Au lieu de vous faire tout un tas d’idĂ©es, sur les agissements, les pensĂ©es, les mots ou les silences d’une personne, posez-lui des questions. Comment ne pas en faire une affaire personnelle ? Ne plus faire une affaire personnelle, c’est ne plus prendre la critique pour soi. C’est porter un autre regard sur ce que l’on vous dit. DĂ©placer le centre d’attention vers la personne et non sur soi, ne plus rĂ©agir par rapport Ă  soi, mais par rapport Ă  l’autre. Les accords toltĂšques sont au nombre de 4 +1 Que votre parole soit impeccable. N’en faites jamais une affaire personnelle. Ne faites aucune supposition. Faites toujours de votre mieux. + Soyez sceptique mais apprenez Ă  Ă©couter. de plus Pourquoi Faisons-nous des suppositions ? La supposition est une invention personnelle issue de notre expĂ©rience de la vie et supportĂ©e par notre systĂšme de croyance. Bien souvent, nous transformons quasi instantanĂ©ment cette supposition en certitude sans mĂȘme en avoir conscience. Pourquoi Fait-on des suppositions ? Les suppositions nous conduisent vers la mĂ©disance et le conflit. Don Miguel Ruiz, dans son livre, nous dit que la mĂ©disance, c’est notre maniĂšre de communiquer dans le rĂȘve de l’enfer en Ă©changeant du poison Ă©motionnel les uns avec les autres ». Pourquoi ne pas supposer ? Supposer peut ruiner la rĂ©putation d’une personne, car mĂȘme si vous insistez sur le fait que ce n’est que ton opinion personnelle et que tu n’es pas sĂ»r Ă  100%, il est fort probable que personne n’en tienne compte et que la rumeur se rĂ©pande. Qui prend tout personnel ? Celui qui prend tout personnellement ne considĂšre pas les innombrables facteurs qui ont pu conduire Ă  cet Ă©vĂ©nement ; sans raisonner, il se considĂšre lui-mĂȘme comme la cause de cet Ă©vĂ©nement nĂ©gatif. Pourquoi ne rien prendre personnellement ? Ne plus prendre les choses personnellement, c’est retirer Ă  autrui le pouvoir qu’on lui a donnĂ© de nous juger, de nous critiquer, de nous nuire. 
 Et ainsi dĂ©passer le regard d’autrui ! Pourquoi il ne faut pas faire de supposition ? Lorsque vous Ă©laborez une supposition sur une personne, vous crĂ©ez une rĂ©alitĂ© dans votre tĂȘte qui peut trĂšs vite vous amener Ă  vous sentir blessĂ© et Ă  en faire une affaire personnelle. Si vous prenez les choses trĂšs Ă  cƓur, il se peut mĂȘme que votre parole ne reste pas impeccable avec cette personne. Quel est le 5 accord toltĂšque ? Avant de partir sachez qu’il existe un 5Ăšme accord toltĂšque
 Soyez sceptique mais apprenez Ă  Ă©couter » Ne vous croyez pas vous mĂȘme, ni personne d’autre. Utilisez la force du doute pour remettre en question tout ce que vous entendez est ce vraiment la vĂ©ritĂ©? Qui a Ă©crit les 4 accords toltĂšques ? Miguel Ángel Ruiz ou Don Miguel Ruiz est un auteur mexicain, chamane se disant nagual et enseignant, nĂ© en 1952. Son ouvrage Les Quatre Accords ToltĂšques est un best-seller de la littĂ©rature sur le dĂ©veloppement personnel. Quel est le troisiĂšme accord toltĂšque ? Nous faisons continuellement des suppositions Ă  propos de tout de la vie, de nous-mĂȘmes, des autres
 Nous interprĂ©tons les gestes, les regards, les actes
 et nous n’avons pas conscience que ce n’est qu’une interprĂ©tation. Comment Appelle-t-on une personne qui prend tout mal ? DĂ©finitions susceptible – Dictionnaire de français Larousse. Comment Appelle-t-on les gens qui prennent tout mal ? La personnalitĂ© sadique est un trouble de la personnalitĂ© qui se caractĂ©rise par un ensemble de comportements destinĂ©s Ă  faire souffrir autrui ou Ă  le dominer. Il est difficile de traiter un tel comportement. Comment Appelle-t-on une personne qui prend tout Ă  cƓur ? C’est ce qu’on appelle les Ă©motifs. L’émotion est la premiĂšre caractĂ©ristique des gens qui se laissent gouverner par leur cƓur. Certaines Ă©tudes suggĂšrent mĂȘme que cet “organe principal” est susceptible d’influencer leur position sur des sujets sensibles, voire leur soutien Ă  des associations caritatives. Comment ne pas prendre les critiques personnellement ? Se prĂ©parer mentalement et changer d’état d’esprit si nĂ©cessaire pour mieux supporter les critiques. Se faire une vision claire des critiques qu’ils reçoivent. Employer de façon proactive des techniques mentales et communicatives pour utiliser Ă  leur avantage les critiques Ă  la place de les subir. Comment utiliser personnellement ? 1. D’une maniĂšre personnelle, en personne Je l’ai rencontrĂ© personnellement. 2. En ce qui me nous, vous concerne Personnellement, je n’approuve pas cette dĂ©cision. Quels sont les 5 accords toltĂšques ? Le premier accord concerne la parole, le deuxiĂšme la reprĂ©sentation, le troisiĂšme la pensĂ©e et le quatriĂšme porte sur l’action. Le cinquiĂšme tempĂšre le deuxiĂšme qui pourrait nous couper des autres. Je vous propose 5 exercices pour pratiquer chacun de ces accords toltĂšques. Comment faire de son mieux ? Si vous faites de votre mieux, cela signifie que vous ĂȘtes dans l’action. C’est ĂȘtre bon et vivre intensĂ©ment, de cette façon on se donne Ă  soi mĂȘme Ă  son entourage un immense bonheur. Faire de son mieux c’est agir parce que l’on en a envie et non pas parce que l’on attend une rĂ©compense. Quand une personne prend tout mal ? C’est une hypersensibilitĂ© narcissique » liĂ©e Ă  l’image de soi » rĂ©pond HervĂ© Magnin, psychothĂ©rapeute comportementaliste et auteur d’un ouvrage sur ce thĂšme. Selon lui, nous le sommes tous plus ou moins, mais tout dĂ©pend de notre sensibilitĂ©. Evidemment, certains sujets sont plus Ă  mĂȘme d’irriter le susceptible. Pourquoi on est susceptible ? Les auteurs BĂ©nĂ©dicte Nadaud et Karine Zagaroli soutiennent que la susceptibilitĂ© peut provenir de difficultĂ©s Ă  surmonter un complexe et notamment un sentiment d’infĂ©rioritĂ© liĂ© par exemple Ă  une expĂ©rience passĂ©e ou une dĂ©ficience physique. Un manque de confiance en soi. C’est quoi une soirĂ©e mondaine ? 1. Qui est relatif Ă  la vie sociale des gens en vue, Ă  leurs divertissements, Ă  leurs rĂ©unions La chronique mondaine. 2. Qui relĂšve des habitudes sociales attribuĂ©es Ă  la bourgeoisie, et dans lesquelles les relations, la conversation se limitent Ă  ce qu’il y a de plus superficiel SoirĂ©e mondaine. N’oubliez pas de partager l’article ! .