đ Choisit On D Ătre Celui Qu On Est
MontaigneopĂšre cette dĂ©monstration en sâappuyant sur lâidĂ©e que la nature est supĂ©rieure Ă la culture. Comme les fruits sauvages sont meilleurs car non-corrompus, les sauvages sont meilleurs car plus proches de la nature. A travers la dĂ©fense de ceux quâon appelle les « sauvages », câest une critique du modĂšle humaniste de la
Choisit-on dâĂȘtre ce que lâon est ? Choisit-on dâĂȘtre ce que lâon est ? Deux termes sont Ă prĂ©cisĂ©s dans cette question, dans un premier temps celui de Choisir » puis celui dâĂȘtre ce que lâon est Choisir nous pose une question sur la libertĂ©, avons nous le choix ? Cependant la libertĂ© peut-ĂȘtre physique, politique, morale. Si, nous avons le choix dâĂȘtre libre avons-nous une possibilitĂ© de faire dâune autre façon ? Mais aussi sommes-nous dĂ©terminĂ©s Ă faire quelque chose, devenir quelquâun ? Et nos choix sont-ils dĂ©terminĂ©s par des choses inconnus, destin , dieu.. Lâexpression dâetre ce que lâon est semble dans u sommes, nous pouv expression fait appel Mais alors, chaque p Ă dire que nous savo Swipe v mmes ce que nous utre. Cette re identitĂ© câest et pouvons ĂȘtre ce que nous sommes. Mais, dans ce cas peut-on choisir ce que nous sommes ? Ce que lâon est ? Cependant, est-on pas dĂ©j? dĂ©terminĂ©s de part notre famille, notre milieux social, notre lieu de naissance⊠? Nous sommes probablement dĂ©jĂ dĂ©terminĂ©s avant toute possibilitĂ© dâavoir un choix. Mais dans ce cas, sommes-nous dĂ©terminer sur tous les points, otre façon dâagir, notre maniĂšre dâĂȘtre ? Alors, si nous sommes dĂ©terminĂ©s, sommes nous responsable de nos actes, de ce que nous faisons, rĂ©alisons ? De plus, si nous avons une identitĂ© t page identitĂ© cela laisse penser que nous sommes des sujets et un sujet possĂšde une libertĂ© de dĂ©cision que se soit par la moral ou autre. Dans un premier temps, nous verrons quâil semble Ă©vident dâĂȘtre ce que lâon est, dĂȘtre sol de part notre façon dâagir, de penser cela nous permet dâĂȘtre des sujets. On se demandera alors, les conditions qui nous permettent de se dire que nous sommes ce ue nous sommes. A/ pour choisir dâĂȘtre ce que lâon est, il faut dâabord dĂ©terminĂ© ce que nous sommes, nos sentiments, nos dĂ©sirs et ce que nous voulons ĂȘtre. Dans un sens, avant tout il faut prendre conscience de de soi-mĂȘme pour cela il faut reconnaĂźtre sa propre existence, de plus il faut ĂȘtre capable de dire je En effet notre identitĂ© se dĂ©termine de part notre maniĂšre dâĂȘtre et notre conscience. Par exemple, nous sommes conscient de notre prĂ©nom, notre nom, dâappartenir Ă une espĂšce et de toutes les choses qui nous propre et dont aucune autre personne, autre sujet ne peut ossĂ©der exactement les mĂȘmes. NĂ©anmoins, il est Ă©vident que si nous nous plaçons sur une durĂ©e de temps comme lâinfini une autre personne aura sĂ»rement quelques caractĂ©ristiques en commun avec nous. Mais il est impossible quâil possĂšde exactement les mĂȘmes alors, lâidentitĂ© dâun sujet, lui est par consĂ©quent propre et unique. Cependant lâidentitĂ© dâun sujet nâest pas le seul moyen de montrer que nous sommes diffĂ©rents des autres, autrement dit singulier. Alors ĂȘtre soi est peut etre une maniĂšre dâĂȘtre diffĂ©rents des autres. 2 singulier. Alors ĂȘtre soi est peut etre une maniĂšre dâĂȘtre iffĂ©rents des autres. En effet nous nous dĂ©finissions comme des suets, ICI jâentends par nous, les hommes. Tout dâabord, un sujet est un ĂȘtre capable de dire je et comme chaque sujet est diffĂ©rent ils possĂšdent chaquâuns une maniĂšre singuliĂšre de percevoir les choses. n sujet est une personne qui existe dans le temps et lâespace. Nous pouvons parler dâune personne pour la dĂ©crire, nous pouvons lui donnĂ© des qualitĂ©s, des dĂ©fauts mais aussi des droits. Un droit essentiel celui de vivre par exemple mais aussi celui de penser. En citant Descartes et sa phrase latine Cogito, ergo sum » utrement dit Je pense donc je suis cela confirme que un sujet peux penser. Nous donnons aussi des devoirs, ceux de respecter la loi et la morale par exemple. Si une personne possĂšde ses caractĂ©ristiques un sujet les possĂšde aussi. De ce fait un sujet possĂšde une morale et des responsabilitĂ©s devant la loi. Il rĂ©pond par consĂ©quent de ses actes devant la loi. Le sujet possĂšde alors des responsabilitĂ©s, il peut ĂȘtre intĂ©ressant de sâinterroger sur le mot responsabilitĂ©. LâĂ©tymologie de ce mot dâorigine latine est respondeo » en français rĂ©pondre et cela peut dans un sens ous ramenĂ© Ă rĂ©pondre devant la loi. Ce qui conforte le fait quâun sujet doit rĂ©pondre de ses actes devant la loi. En rĂ©pondant de nos actes, nous rĂ©pondons de nos actions, de nos paroles autrement dit, de ce que nous faisons. Si Ă cet instant en lisant cette copi 3 paroles autrement dit, de ce que nous faisons. Si Ă cet Instant en lisant cette copie lâenvie de faire une pause vous vient, cette envie vous fera propre. Si ça avait Ă©tait une autre personne peut ĂȘtre que celle-ci ne lâaurait pas eu donc ce que lâon fait nous est propre, alors nos actions dĂ©terminent ce que nous sommes. ?? Etre ce que lâon est » est en quelques sorte une maniĂšre de sâaffirmer en tant que sujet en exprimant ses idĂ©es sur nous, les autres et mĂȘme le monde. Dâune certaine façon nous pouvons dire que ce qui dirige nos idĂ©es, en passant par notre langage et notre morale est la raison, autrement la possibilitĂ© de juger. De ce fait, il semble que la raison dirige les personnes, les sujets et donc les hommes. Donc la raison est propre Ă lâhomme, celle- ci lui permet par exemple de bien juger, de discerner le bien du mal et le vrai du faux. Donc dans un sens en usant de notre raison ous pouvons choisir dâĂȘtre nous mĂȘme, dâĂȘtre ce que lâon est. Pourtant, ĂȘtre ce que lâon est » nâest forcement Ă©vident, on ne choisit pas par exemple ses origines, sa famille. Mais nous pouvons choisir notre parcours, mais mĂȘme peut ĂȘtre que ce parcours est dĂ©terminĂ© par notre Ă©ducation, ou bien mĂȘme imposĂ© par un quelquâun, une religion. Dans ce cas peut-ĂȘtre que nous ne pouvons pas choisir ce que nous sommes. Il semble logique que nous ne choisissons pas oĂč et quand nous naissons, et aussi les origines que nous portons. De plus, chaque sujet est diffĂ©rent, physiquement, physicologquement, inte nous portons. De plus, chaque sujet est diffĂ©rent, physiquement, physicologiquement, intellectuellement cela nous rappel que nous commençons pas tous notre vie de la mĂȘme maniĂšre. De plus, nous ne choisissons pas les lois auxquelles nous sommes soums, que se soit les lois dâun pays, ou bien les lois naturelles. En effet,nous sommes soumis aux lois naturelles, on se reproduit au sein dâune mĂȘme espĂšce, on ne vole pas, on ne marche pas sur lâeau, on ne contrĂŽle pas le temps, etc.. Tous cela non montre que nous nâavons pas toujours le choix dâĂȘtre ce que nous sommes. Mais dâune autre maniĂšre si nous affirmons que lâhomme nâa pas le choix câest que sa libertĂ© nâest pas totale, il ne peut en effet pas choisir son lieu de naissance ou sa famille mais il possĂšde de nombreuses libertĂ©s, libertĂ© physique, libertĂ© politique, libertĂ© morale LâHomme est dit libre car en opposition avec un animal, il ne peut ĂȘtre enfermĂ© ou enchaĂźnĂ© si on prend en compte la morale, cela est en quelques sorte une libertĂ© de mouvement. Quant a la libertĂ© politique, elle, elle permet Ă une personne de choisir, tout en Ă©tant libre, indĂ©pendant dans ses choix, dune certaine aniĂšre il Ă la libertĂ© de faire ses choix quâils soient bon ou mauvais. La libertĂ© morale, elle, elle est la responsabilitĂ© de ses actes, et celle de choisir entre le bien et le mal. Cela laisse pensĂ© que si nous possĂ©dons une libertĂ© morale nous avons lâopportunitĂ© de faire le bon choix, par exemple si nous sommes torturĂ© afin de nous soutirĂ© de aveux no S torturĂ© afin de nous soutirĂ© de aveux nous pouvons choisir de ne rien dire, cela dĂ©pend essentiellement de notre volontĂ©. Donc nous pouvons toujours choisir tout en obĂ©issant aux lois et ? notre volontĂ©. c,â Des un certain sens, nous naissons, puis nous devenons un sujet. Un sujet capable de vivre et dâexister selon ses propres choix, si on y rĂ©flĂ©chit nos choix change au fur et a mesure de notre vie ou bien de notre journĂ©e, nous pouvons dĂ©cidĂ© de prendre un certain chemin pour nous rendre dans un certain lieu pour au final arriver en face de celui-ci et en prendre un autre. Câest notre choix, nous sommes libre de choisir notre chemin, ou bien quelque chose de plus concret comme notre repas, nos vĂȘtements. Nous pouvons choisir ce que nous montrons au monde et ce que faisons. Dâune certaine maniĂšre comme Ă dit Sarte nous sommes condamnĂ© Ă ĂȘtre libre » CONCULUSION Alors nous choisissons dâĂȘtre celui quâon est, de par notre identitĂ© qui nous est propre et singuliĂšre, de par nos choix qui eux sont dĂ©terminĂ©s par notre raison, notre volontĂ© et limitĂ© par les lois naturelles, les lois dâun pays, ou bien les lois morales . Mais aussi la libertĂ© que nous avons et notre morale qui nous est personnel. En sâopposant Ă cela nous refusons dâĂȘtre celui que nous sommes, un simple sujet dans une durĂ©e de temps qui est indĂ©terminĂ©e et qui nâest pas infini
Uneeau est dite dure lorsquâelle est calcaire, câest-Ă -dire riche en sels minĂ©raux dissous, dont les principaux sont le calcium et le magnĂ©sium. La duretĂ© de lâeau â quâon appelle Ă©galement son titre hydrotimĂ©trique â est exprimĂ©e en degrĂ©s français (°f). Lâeau est douce entre 0 et 15 °f, moyennement dure entre 15 et 30 °f, et trĂšs dure au-delĂ de 30 °f.
Souvent, le monde animal nous paraĂźt beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est Ă dire il suit ses instincts, il n'a pas de barriĂšre morale, il a une libertĂ© physique liĂ© Ă son indĂ©pendance dĂ©f. ne dĂ©pendre de personne pour vivre. Tout cela est liĂ© Ă son absence de conscience. Mais Ă y regarder de plus prĂšs, on s'aperçoit que la libertĂ© de l'animal est illusoire. L'animal est totalement esclave de ses instincts, il est programmĂ© biologiquement. Il est en permanence sous la menace des prĂ©dateurs et aussi de ses propres congĂ©nĂšres. Il est dĂ©pendant des lois de la nature. Pouvoir choisir, ne pas ĂȘtre soumis Ă ses instincts, sont les signes les plus Ă©vidents de la libertĂ© humaine. Tout Homme Ă la capacitĂ© de dire oui ou de dire non, c'est Ă dire d'accepter ou de refuser, c'est ce qu'on appelle le libre arbitre de l'Homme, c'est Ă dire la capacitĂ© de choisir par soi-mĂȘme sans ĂȘtre dĂ©terminĂ© par nos choix de l'extĂ©rieur. 1Peut-on ĂȘtre libre en choisissant de ne pas choisir ? En cours de philosophie, Ă priori, choisir de ne pas choisir c'est ĂȘtre libre car Ă la base il y a un choix de notre part. En rĂ©alitĂ©, celui qui agit ainsi est indĂ©terminĂ©, il refuse donc de s'engager, c'est Ă dire de concrĂ©tiser sa libertĂ© par un choix. C'est ce qu'on appelle en philosophie la libertĂ© d'indiffĂ©rence, et Descartes disait c'est le plus bas degrĂ© de la libertĂ© de l'Homme ». L'Homme est effectivement libre, il se dĂ©termine Ă choisir quitte Ă ce que ces choix lĂ se rĂ©vĂšlent ĂȘtre des erreurs. Mais il ne faut pas s'engager pour s'engager. Pour qu'un choix soit un acte libre, il faut avoir rĂ©flĂ©chit pour connaĂźtre les raisons de notre choix. On dit donc que la libertĂ© est impossible Ă l'ignorant. Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est parti2 Peut-on ĂȘtre libre si on laisse les autres choisir Ă notre place ? En cours de philosophie terminale, texte de Kant La libertĂ© fait-elle peur ? » Les deux raisons pour lesquelles les mineurs » se laissent facilement guider par les tuteurs sont la paresse et la lĂąchetĂ©. Paresse les mineurs se complaisent dans leur dĂ©pendance car il est beaucoup plus facile de se laisser guider par d'autre que soit. Donc fuite Ă l'Ă©gard de leurs propres responsabilitĂ©s LĂąchetĂ© la libertĂ© de devoir faire des choix fait peur car cela suppose une prise de risque Ă l'Ă©gard des erreurs possibles liĂ©es Ă nos engagements. Fuite Ă l'Ă©gard de nos propres responsabilitĂ©s Exemples dans les sectes, les adeptes se mettent volontairement sous la tutelle du gourou. Les fanatiques religieux sont sous la tutelle de leurs croyances. Dans les rĂ©gimes totalitaires le peuple est sous la tutelle du pouvoir totalitaire. Dans certains Etats islamiques le pouvoir politique se met sous la tutelle des lois islamiques. Les mineurs » craignent la majoritĂ© », ils ont peur d'affronter les difficultĂ©s de l'existence. Donc ce dont fondamentalement ils craignent c'est leur propre condition humaine. IndĂ©pendance ne dĂ©pendre de personne d'autre que soit pour vivre. Elle est illusoire pour l'Homme qui vit en sociĂ©tĂ©. Autonomie consiste Ă ne pas ĂȘtre dĂ©pendant d'un autre pour conduire ses pensĂ©es ou ses actes. Le mineur est hĂ©tĂ©ronome contraire d'autonome Ă partir du moment oĂč c'est un autre que lui-mĂȘme qui lui dicte sa maniĂšre de vivre. On ne naĂźt pas autonome, cela nĂ©cessite un apprentissage au cours duquel j'apprends Ă penser par moi-mĂȘme. Etre autonome suppose que j'ai conscience d'ĂȘtre l'acteur de mes actes et que mon acte correspond Ă mes intentions. ConsĂ©quence je porte l'entiĂšre responsabilitĂ© de mes actes. Etre libre c'est ĂȘtre dirigĂ© par soi-mĂȘme. 3 Etre libre est-ce surmonter notre propre nature ? Dialectique du maĂźtre et de l'esclave de Hegel. Quand on ne maĂźtrise pas ses instincts, dĂ©sirs, pulsion, on est tous esclave de soi. Quand on maĂźtrise notre propre nature par la force de notre volontĂ© on devient maĂźtre de soi. On est souvent beaucoup plus esclave de soi que des autres. Cette conquĂȘte de soi sur soi est permanente et nul n'en sort totalement victorieux. Jusqu'Ă prĂ©sent, libertĂ© = choix = autonomie = se libĂ©rer de la nature par la connaissance, le travail, la technique se libĂ©rer de notre propre nature, donc ĂȘtre libre c'est la capacitĂ© de tout choisir. L'Homme peut-il tout choisir ? On ne choisit pas de naĂźtre, notre sexe, la famille, notre identitĂ© social, notre physique⊠L'Homme se croit libre car il Ă la prĂ©tention de tout choisir, mais en rĂ©alitĂ© il est prĂ©dĂ©terminĂ©. Que faire par rapport Ă tout ce qu'on ne choisit pas ? RĂ©ponse des stoĂŻciens pour eux, la nature est de nature divine, donc ĂȘtre libre c'est accepter l'ordre providentiel tel qu'il a Ă©tĂ© voulu par les dieux Ex OEdipe. Donc ĂȘtre libre c'est faire un effort de volontĂ© pour accepter la nĂ©cessitĂ©. Le vĂ©ritable esclave ce n'est pas celui qui est soumis aux ordres du maĂźtre mais c'est celui qui est soumis Ă des dĂ©sirs excessifs, impossible, le mieux Ă©tant de se cantonner Ă des dĂ©sirs naturels et nĂ©cessaires, donc la vĂ©ritable libertĂ© n'a rien Ă voir avec la condition sociale puisque l'esclave peut ĂȘtre libre tant qu'il accepte sa propre condition d'esclave. Critique accepter la nĂ©cessitĂ© c'est se rĂ©signer, se refuser Ă agir. Contrairement aux stoĂŻciens, Epicure refuse l'idĂ©e d'une puissance spirituelle gouvernant l'univers. Les hommes se sentent libres car personne ne choisit pour eux. LucrĂšce quant Ă lui, explique la libertĂ© et la volontĂ© de l'homme par la dĂ©clinaison des atomes qui entraĂźne une dĂ©clinaison de l'esprit qui n'est plus soumis Ă une fatalitĂ© interne. Position de Sartre ĂȘtre un Homme libre c'est devoir, en permanence, prendre la responsabilitĂ© de ce dont, au dĂ©part, on n'est pas responsable. DiffĂ©rence entre un Homme et un coupe-papier le coupe papier est un objet technique fabriquĂ© par l'Homme pour l'Homme. Avant mĂȘme d'ĂȘtre produit, un homme en a eut l'idĂ©e, et grĂące Ă cette idĂ©e, il lui a donnĂ© une dĂ©finition. Le coupe papier a une essence avant d'exister. L'Homme a-t-il Ă©tĂ© fabriquĂ© Ă partir d'une idĂ©e ? RĂ©ponse religieuse oui, l'Homme est une crĂ©ature divine. RĂ©ponse de l'athĂ©e l'Homme n'a pas Ă©tĂ© fabriquĂ© Ă partir d'une idĂ©e, il n'est pas prĂ©dĂ©fini d'avance, c'est lui qui va devoir se dĂ©finir en donnant du sens Ă toutes les situations auxquelles il est confrontĂ© en fonctions de ses projets. Texte de Sartre totalement dĂ©terminĂ© et totalement libreâŠÂ» L'Homme rencontre certaines situations qui vont ĂȘtre vĂ©cu comme une fatalitĂ©, c'est Ă dire des destins malheureux indĂ©pendant de notre volontĂ©, quelque chose qui m'a choisit mais que je n'ai pas choisit. D'oĂč une aliĂ©nation de ma libertĂ©. Cette nĂ©cessitĂ© aveugle va ruiner de l'extĂ©rieur la vie que je me constituais. Donc la situation limite mes possibilitĂ©s actuelles. ConsĂ©quence la vie de celui qui subit cette situation bascule. Il ne pourra plus ĂȘtre ce Ă quoi il s'Ă©tait librement dĂ©terminĂ© Ă ĂȘtre. La situation est une contrainte arbitraire qui m'invalide. Elle agit, je la subis. ConsĂ©quence Je ne suis pas responsable de la maladie, donc je n'ai pas Ă en rĂ©pondre. D'oĂč l'expression ĂȘtre diminuĂ©, empruntĂ© au domaine des maths, donc comptablement on est rĂ©duit Ă quelques possibilitĂ©s. La libertĂ© d'un homme se rĂ©duit-elle Ă la quantitĂ© de possibilitĂ©s dont il dispose ? Non, nous subissons tous d'une façon ou d'une autre des contraintes extĂ©rieures. La libertĂ© de l'Homme consiste donc Ă regarder la contrainte en face, Ă lui donner un sens en fonction de mes projets de vie. Je fais face Ă la situation en essayant de la surmonter. D'oĂč, je suis totalement libre du choix et du sens que je vais donner Ă cette situation. Je peux baisser les bras, je lui donne alors un sens insupportable. Je peux la surmonter. Je peux la fuir, me voiler la face⊠Qu'est-ce qui nous dĂ©termine Ă agir, la situation ou nous-mĂȘme ? Ex il pleut et je sors mon parapluie. Ce n'est pas la pluie qui nous pousse Ă sortir le parapluie, on a pas envie d'ĂȘtre mouillĂ©. Je donne comme sens Ă la pluie je peux ĂȘtre malade. Sommes-nous plus ou moins libre en fonction du sens qu'on donne aux situations ? Quelque soit le sens qu'on donne Ă la situation, on est Ă©galement libre. Exister Ex-sister -> sortir de soi-mĂȘme par la pensĂ©e. Etre libre c'est devoir en permanence se libĂ©rer en donnant du sens aux situations, c'est devoir redevenir maĂźtre d'une situation qui au dĂ©part nous Ă©chappait totalement. Nous sommes alors totalement responsable de sens donnĂ©. Ceux qui parmi nous n'assumeraient pas leur nouvelle condition d'existence et jouent Ă ĂȘtre ce que les autres attendent qu'ils soient, font preuve de mauvaise foi. OĂč trouver des cours de philosophie en ligne ? Aucun Homme n'est prĂ©dĂ©fini d'avance, c'est nous qui nous dĂ©finissons en donnant du sens Ă notre existence. La nature humaine n'existe pas car l'homme est en perpĂ©tuel effort d'invention, donc la valeur d'un homme est Ă la mesure de ce qu'il s'est fait, nul ne peut s'inventer d'excuse. Nous sommes condamnĂ©s Ă ĂȘtre libre. La seule chose qu'un homme ne choisit pas c'est de devoir faire des choix. Nous donnons un sens Ă notre existence en fonction de nos progrĂšs de vie. Mais ce sens est-il uniquement dĂ©terminĂ© par la recherche de nos intĂ©rĂȘts Ă©goĂŻstes ? Alors le devoir moral qui implique de devoir en permanence se soucier de l'autre devient une entrave Ă notre libertĂ©.
Choisiton d'ĂȘtre celui qu'on est ? Intro : Si on dĂ©finit le fais de choisir comme avoir de la volontĂ©, dâĂȘtre responsable, de pouvoir ĂȘtre libre, dâĂȘtre origine de ses pensĂ©es et de ses
Les compĂ©titions de philatĂ©lie La pratique de la philatĂ©lie se fait essentiellement chez soi en faisant Ă©voluer ses collections en fonction de ses centres dâintĂ©rĂȘts. Cette pratique est grandement facilitĂ©e par la frĂ©quentation dâune association philatĂ©lique oĂč chacun peut trouver conseils et matiĂšres Ă discussion et Ă Ă©changes. Mais la philatĂ©lie peut amener un philatĂ©liste Ă prĂ©senter ses collections - ou des extraits significatifs de celles-ci - dans des manifestations spĂ©cifiques oĂč elles peuvent ĂȘtre vues et apprĂ©ciĂ©es par le plus grand nombre. Ces expositions constituent un vecteur majeur permettant la diffusion de la philatĂ©lie. Ces expositions philatĂ©liques peuvent ĂȘtre "libres" mais sont le plus souvent compĂ©titives. Dans ce cas, un jury est amenĂ© Ă se prononcer sur la qualitĂ© de la prĂ©sentation en se basant sur divers critĂšres. Ces expositions philatĂ©liques compĂ©titives, ouvertes Ă tous mais oĂč brillent les philatĂ©listes les plus acharnĂ©s, permettent de dĂ©couvrir des trĂ©sors philatĂ©liques amassĂ©s pendant de nombreuses annĂ©es et constituent les joyaux de la philatĂ©lie en permettant Ă tout un chacun de se faire une idĂ©e de la richesse de ce hobby dans toute ses dĂ©clinaisons. En effet, comme il existe plusieurs maniĂšres de pratiquer la philatĂ©lie, il y a plusieurs maniĂšres de prĂ©senter les collections dans diverses catĂ©gories, appelĂ©es "classes", aux rĂšgles compĂ©titives spĂ©cifiques. Les classes de compĂ©tition DĂšs lors quâon souhaite se lancer dans la philatĂ©lie compĂ©titive, en prĂ©sentant ses collections dans des championnats du niveau local jusqu'au niveau international, il faut spĂ©cifier la "classe" dans laquelle on souhaite concourir. Autrefois la pratique de la philatĂ©lie Ă©tait relativement homogĂšne et consistait essentiellement en la collecte de diffĂ©rents timbres, selon ses centres dâintĂ©rĂȘt, et en lâĂ©tude approfondie de ces derniers conditions de fabrications, variĂ©tĂ©s, etc.. Cette maniĂšre de collectionner est aujourdâhui qualifiĂ©e de "traditionnelle". Rapidement la pratique de la philatĂ©lie sâest diversifiĂ©e on a commencĂ© par sâintĂ©resser aux conditions dâacheminement du courrier "histoire postale" puis Ă des cas dâutilisation spĂ©cifiques "aĂ©rophilatĂ©lie" et autres avant, finalement, dâouvrir en grand la pratique philatĂ©lie Ă dâautres maniĂšres de collectionner "philatĂ©lie thĂ©matique", "classe ouverte", .... Aujourdâhui la philatĂ©lie sâouvre Ă des pratiques de collection "voisines" et donc Ă la cartophilie et Ă l'erinnophilie. Les diffĂ©rentes classes de compĂ©tition ... Les jurĂ©s Qui dit compĂ©tition dit jury ... et classement. Il y a Des compĂ©titions aux niveaux dĂ©partemental et rĂ©gional, placĂ©es sous la responsabilitĂ© des Groupements. Des compĂ©titions nationales supervisĂ©es par la FFAP. Des compĂ©titions internationales placĂ©es sous la responsabilitĂ©s des diffĂ©rentes fĂ©dĂ©rations de philatĂ©lie des pays hĂŽtes. La participation Ă une compĂ©tition se traduit par lâattribution dâune note et dâune distinction ainsi que, pour les prĂ©sentations les plus apprĂ©ciĂ©es, divers prix et fĂ©licitations. Une note minimale est requise pour participer Ă un championnat de niveau supĂ©rieur.. Les jurĂ©s ... Les grilles de notation ... Les expositions philatĂ©liques nationales et internationales Plusieurs expositions philatĂ©lique sont donc organisĂ©es chaque annĂ©e en France ou dans divers autres pays dâEurope ou du Monde. Chacune de ces manifestations est le support dâun ou plusieurs championnats gĂ©nĂ©ralistes ou manifestations attirent, sur plusieurs jours, de nombreux compĂ©titeurs et un vaste public. Les expositions nationales et internationales ... La compagnie des guides Lors des expositions nationales ou internationales le public peut parfois ĂȘtre Ă©tonnĂ© voire mĂȘme restĂ© perplexe devant la diversitĂ© des collections prĂ©sentĂ©es. Il peut ne pas comprendre rĂ©ellement lâimportance des efforts de recherche mis en oeuvre par les compĂ©titeurs et les infimes subtilitĂ©s qui peuvent apparaĂźtre dans les diverses collections prĂ©sentĂ©es. Depuis quelques annĂ©es la Compagnie des Guides est lĂ pour accompagner les visiteurs qui le dĂ©sirent afin que ceux-ci puissent profiter pleinement de leur visite en pouvant rĂ©pondre Ă toutes les questions, de quelque nature quâelles soient, qu'ils peuvent se poser. La Compagnie des Guides ...
Choisiton d'ĂȘtre celui qu'on est ? Les personnes atteintes de la neurofibromatose, une maladie horrible est incurable, sont si malheureuses. les malformations quelles portent sur leurs visages et ou d'autres parties du corps
Paroles de la chanson NĂ© Quelque Part par Maxime Le Forestier On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille On choisit pas non plus les trottoirs de Manille De Paris ou d'Alger Pour apprendre Ă marcher Ătre nĂ© quelque part Ătre nĂ© quelque part Pour celui qui est nĂ© c'est toujours un hasard Nom'inqwand'yes qwag iqwahasa Nom'inqwand'yes qwag iqwahasa y a des oiseaux de basse cour et des oiseaux de passage Ils savent ou sont leur nids, quand ils rentrent de voyage ou qu'ils restent chez eux Ils savant ou sont leur Ćufs ĂȘtre nĂ© quelque part Ătre nĂ© quelque part c'est partir quand on veut, Revenir quand on part Est-ce que les gens naissent Ăgaux en droits A lâendroit Ou il naissent Nom'inqwand'yes qwag iqwahasa Est-ce que les gens naissent Ă©gaux en droits A l'endroit Ou ils naissent Que les gens naissent Pareils ou pas On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille On choisit pas non plus les trottoirs de Manille De Paris ou d'Alger Pour apprendre Ă marcher Je suis nĂ© quelque part Je suis nĂ© quelque part Laissez moi ce repĂšre Ou je perds la mĂ©moire Nom'inqwand'yes qwag iqwahasa Est-ce que les gens naissent...
Choisirson casque de ski ne doit pas se faire uniquement en prenant en compte la taille de celui-ci, il faut Ă©galement vous poser la question de lâutilisation que vous allez en faire. En effet, si vous souhaitez uniquement faire du ski alpin, vous pourrez vous contenter dâun casque classique et polyvalent qui vous protĂ©gera en cas de chute ou de collision avec un autre skieur
Les uns lâappellent Bubble man, les autres the monster, un autre cauchemar pour le pauvre Omar qui a l'une des maladies cutanĂ©es les plus grossiĂšres et horribles dans le monde. Le plus grand organe du corps humain est la peau et la peau propre est notre carte de visite, mais ce qui arrive quand une terrible maladie prend le dessus et rend la peau plus horrible et repoussante ? Mohammad Omar, Ă©galement connu comme Bubble Man et/ou le monstre a une maladie rare qui provoque de petites tumeurs qui apparaissent sur tout le corps. Sa vie entiĂšre a Ă©tĂ© marquĂ©e par la prĂ©sence de petites tumeurs qui grossissent sans cesse sur chaque morceau de sa peau, une condition connue sous le nom de Neurofibromatose. Omar vit Ă Hyderabad, en Inde et il est nĂ© en parfaite santĂ© avec la peau de bĂ©bĂ© douce et aucun signe de ces tumeurs terribles, mais a 14 ans, il a remarquĂ© que de petits morceaux ont commencĂ© Ă se dĂ©velopper sur les extrĂ©mitĂ©s de ses mains, et de ses pieds. Sa mĂšre a Ă©galement eu des nodules semblables sur les mains, mais ils n'ont jamais grossi en taille ou en nombre. Malheureusement, sa mĂšre avait donnĂ© Ă son fils une forme beaucoup plus grave de la maladie qui finira par faire de lui le "Bubble wrap-humain». Au moment oĂč il avait 20 ans, omar dĂ©jĂ eu des tumeurs sur les diffĂ©rentes parties de son corps, y compris le visage. En ce moment, il savait dĂ©jĂ qu'un cauchemar l'attendait. En raison de son apparence, il Ă©tait RegardĂ© comme Ă©tant infĂ©rieure Ă un chien errant. Dans un monde oĂč les regards sont ce qui dure le plus, Omar vivait une pĂ©riode trĂšs difficile. Mais de toute façon, il a dĂ©couvert qu'il la force de surmonter son problĂšme et se battre pour avoir une vie normale, tout comme chacun d'entre nous. Heureusement, il n'a pas besoin d'aller de l'avant tout seul ... Ă l'Ăąge de 28 ans, il a trouvĂ© son vĂ©ritable amour, une femme de 45 ans du nom de Farhat-un-Nisa, qui Ă©tait capable de voir au-delĂ de l'extĂ©rieur dĂ©sagrĂ©able et tombe amoureuse de sa belle personnalitĂ© et de sa gĂ©nĂ©rositĂ© . Elle-mĂȘme infirme d'un pied a dĂ©clarĂ© " Omar Ă©tait un homme bon. Il Ă©tait aimable et gĂ©nĂ©reux. Ma famille m'a averti que l'avenir pourrait ĂȘtre difficile si sa maladie se dĂ©veloppait. Ils ont mĂȘme consultĂ© un mĂ©decin. Mais j'ai pris le risque ». Ils ont vieilli ensemble, Omar a maintenant 62 ans et le couple a maintenant deux enfants, qui heureusement n'ont pas hĂ©ritĂ© la maladie gĂ©nĂ©tique de leur pĂšre. En vieillissant, la maladie de l'homme va de plus en plus mal, les tumeurs ont couvert son corps. MalgrĂ© le fait qu'ils sont indolores Ă l'extĂ©rieur, les bulles recouvrant le corps ont causĂ© des cicatrices trĂšs profondes Ă l'intĂ©rieur. En raison de son apparence, omar qui a perdu tous ses emplois, survit en faisant la manche dans une sociĂ©tĂ© qui le traite comme s'il Ă©tait un animal malade, alors que l'ĂȘtre humain a besoin d'affection et de respect. Mais Omar est reconnaissant Ă sa famille J'essaie de me garder propre et prĂ©sentable et ma femme m'aide Ă raser et couper mes cheveux mais il n'y a pas grand chose que je puisse faire pour cacher ces bulles, ils grandissent et se dĂ©veloppent. Je ne sais pas ce que je ferais sans mon Ă©pouse, elle est une bĂ©nĂ©diction et je suis chanceux de l'avoir. J'aime beaucoup ma famille. Sa femme a dit qu'elle ne regrette pas d'avoir Ă©pousĂ© Omar. Ci-dessous quelques fotos de victimes de cette terrifiante pathologie que Dieu nous prĂ©serve dâĂ©preuves que nous ne pourrions assumer. La santĂ© est un Ă©norme bienfait de Dieu Ă lâĂ©gard de lâĂȘtre humain, un bienfait indispensable que lâhomme ne mesure pas Ă sa juste valeur. Ă ce titre le ProphĂšte salut et priĂšres sur lui a dit Il y a deux bienfaits dont beaucoup ne sont pas conscients la santĂ© et le temps libre » RapportĂ© par Al-Boukhari et Muslim. Dans un autre hadith, il dit encore âAprĂšs la foi, personne nâa jamais reçu de grĂące meilleure que la santĂ©.â La maladie, ou lâĂ©preuve sont comme des thermomĂštres qui prennent la tempĂ©rature de notre foi. Ce nâest pas la gravitĂ© de la maladie qui doit nous prĂ©occuper mais bel et bien notre rĂ©action face Ă celle-ci. l'on se rappelle une parole de notre Seigneur Ă croyants ! Cherchez du rĂ©confort dans la patience et la priĂšre ! Dieu est en vĂ©ritĂ© avec ceux qui savent sâarmer de patience » Sourate la vache Verset 153. Nâoublions pas que Dieu a dit Je nâai créé les hommes et les djinns que pour quâils mâadorent » Sourate Ad-Dhariyates, Verset 156
Cenâest quâune constatation, et je suis loin dâĂȘtre le seul Ă partager cette constatation. Toutes ces choses typiquement humaines ne sont que des concepts qui varient dâune personne Ă lâautre, dâune sociĂ©tĂ© Ă lâautre, dâune Ă©poque Ă lâautre Tous ces concepts sont inoculĂ©s dans lâesprit des gens dĂšs leur plus jeune Ăąge et il est extrĂȘmement difficile de se
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LapremiĂšre chose Ă faire lorsquâon prĂ©voit de choisir son dressing, câest de faire lâinventaire de tout ce quâon souhaite y ranger.ProcĂ©dez par catĂ©gories de vĂȘtements pour
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Leschoix que nous sommes tous amenĂ©s Ă faire sont chacun plus ou moins ardus, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'ĂȘtre celui que nous sommes, la rĂ©ponse est d'autant moins Ă©vidente. En effet, l'on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis".
Dans notre vie quotidienne, nous sommes sans cesse amenĂ©s Ă faire des choix qui nous engagent plus ou moins selon les circonstances et le domaine auxquels ils se rapportent. Certains dâentre eux sont des choix assez insignifiants quelle Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e vais-je regarder ce soir ? Que choisir la robe bleue ou la noire ? Mais dâautres peuvent revĂȘtir une importance autrement capitale collaborer ou rĂ©sister durant la Seconde Guerre mondiale, par exemple. Quoi quâil en soit, choisir signifie prendre une dĂ©cision. Mais avons-nous toujours le choix ? Sommes-nous rĂ©ellement libres dâexprimer notre volontĂ© Ă travers nos choix, et plus particuliĂšrement ceux qui touchent au problĂšme de notre identitĂ© en tant quâĂȘtres humains ? Notre physique, mais surtout notre caractĂšre, nous dĂ©finissent. Or, si nous ne pouvons pas dĂ©cider de notre physique, ce choix nous Ă©tant extĂ©rieur, pouvons-nous cependant choisir ce qui constitue notre personnalitĂ© ? Ainsi, choisit-on dâĂȘtre celui quâon est ? I. On ne choisit pas dâĂȘtre celui quâon est le rĂŽle de lâinconscient et de lâinfluence On ne choisit pas dâĂȘtre celui quâon est. En effet, nous ne sommes pas rĂ©ellement libres de nos actions et donc de nos choix, puisque nous sommes parfois gouvernĂ©s par notre inconscient. De temps Ă autre, un mot mâĂ©chappe alors que ce nâĂ©tait pas celui-lĂ que jâavais prĂ©vu de prononcer. Ce phĂ©nomĂšne sâappelle un lapsus, et il nous rĂ©vĂšle que notre inconscient sâest exprimĂ© malgrĂ© nous. Ainsi, il existe une activitĂ© du corps et de lâesprit dont les consĂ©quences sont conscientes mais dont les causes ne le sont pas. Le Moi », nous dit Freud dans son Introduction Ă la psychanalyse, nâest pas maĂźtre chez lui ? Il est confrontĂ© au Ca », qui contient nos caractĂšres hĂ©rĂ©ditaires et oĂč se logent nos principales pulsions dans les domaines de la libido, de lâĂ©goĂŻsme, et de la violence. Le Moi » doit Ă©galement respecter la censure imposĂ©e par le Surmoi ». On ne peut donc considĂ©rer que nous choisissons dâĂȘtres tels que nous sommes, Ă©tant donnĂ© que nous ne sommes pas entiĂšrement libres de faire nos actions qui sont inconscientes et quâil existe une contrainte le Surmoi ». De plus, lâhomme est un ĂȘtre sociable. Contrairement Ă lâanimal, il est dotĂ© dâune conscience et la conscience Ă©tant, selon Hegel, un rĂ©seau de communication » entre les hommes, il est amenĂ© Ă frĂ©quenter des personnes. Or, Ă moins dâĂȘtre douĂ© dâune trĂšs forte personnalitĂ©, lâhomme est Ă©galement un ĂȘtre influençable. Il se reconnaĂźt et existe Ă travers autrui, tout comme autrui ne se reconnaĂźt et nâexiste quâĂ travers lui. LâAutre, câest ma transcendance transcendĂ©e » nous dit Sartre. Mais dans de telles conditions, je prends le risque quâautrui exerce une certaine influence sur moi. Dans ce cas, les choix que je fais ne sont plus entiĂšrement les miens, ils sont aussi une part des idĂ©es que mâa donnĂ©e lâAutre, ou Ă©ventuellement une part des idĂ©es que jâai pu reprendre Ă mon compte dans un livre qui mâa plu, par exemple. Au sein dâun groupe dâamis, si tout le monde dĂ©cide dâaller Ă la plage alors que jâaurais prĂ©fĂ©rĂ© rester chez moi, il y a de fortes chances pour que finalement jâadopte lâavis de la majoritĂ©. Pour pouvoir choisir vraiment dâĂȘtre celui que jâaurais voulu ĂȘtre, il me faudrait ĂȘtre complĂštement coupĂ© du monde et de toute influence, me libĂ©rer des autres, de la pression du groupeâ. Câest pourquoi Kant insiste sur le fait que pour ĂȘtre libre, il faut avoir le courage de se servir de son propre entendement ». II. On a toujours le choix Cependant, malgrĂ© lâaction de notre inconscient et de lâinfluence, nous sommes libres de nous choisir. En effet, lâhomme a toujours le choix, et ce sont eux qui dĂ©terminent ce quâil est. Nous choisissons de vivre au sein dâune citĂ©, de rencontrer dâautres personnes, aussi nous choisissons le risque dâĂȘtre influencĂ©s. Et, quand mĂȘme nous ne choisirions pas, ce serait une illusion. Il est impossible de ne pas choisir, puisque ne pas choisir, câest encore choisir de ne pas choisir », nous explique Sartre dans lâExistentialisme est un humanisme. Ainsi, que ce soit par lâintermĂ©diaire du plus bas degrĂ© de notre libertĂ©, câest-Ă -dire lâindiffĂ©rence, ou bien par sa plus haute expression, comprenons le libre arbitre, on choisit toujours dâĂȘtre celui quâon est, et penser le contraire ne serait que la preuve dâune mauvaise foi indĂ©niable. Pleurer sur mon sort parce quâaucune sortie nâest prĂ©vue ce week-end, câest choisir de me rĂ©signer. Il ne sâagit en aucun cas dâune fatalitĂ©. Si je souhaite Ă tout prix faire quelque chose ce week-end, je nâai quâĂ prendre lâinitiative dâorganiser une sortie. Sinon, câest que je choisis de ne pas sortir. Ensuite, comme nous lâavons vu, lâhomme est un ĂȘtre sociable, qui vit en sociĂ©tĂ© de la plupart du temps se regroupe avec ses semblables au sein dâune citĂ©. Il choisit donc de ne pas rester Ă lâĂ©tat de nature et de passer Ă celui de culture. Bien sĂ»r, ce choix a Ă©tĂ© fait avant lui par ses ancĂȘtres. Quand lâhomme prĂ©historique a dĂ©couvert le feu, il a choisi de sâen servir. Il a donc choisi les consĂ©quences que son acte se servir du feu entraĂźneraient, Ă savoir son Ă©volution, un changement de sa vie quotidienne. Mais lâhomme actuel choisit de rester dans la lignĂ©e de cet Ă©tat dâesprit. Rien ne lâempĂȘche de rejeter la modernitĂ© et de retourner Ă lâĂ©tat de nature. Mais rester Ă lâĂ©tat de nature, ce nâest pas ĂȘtre libre, câest seulement ĂȘtre sauvage. Pour devenir libre et pouvoir choisir dâĂȘtre ce quâil est, lâhomme doit choisir le passage Ă la culture. Il existe deux sortes dâĂ©volutions, nous dit RuffiĂ©. Lâune est naturelle et est antĂ©rieure Ă nous. Lâautre est culturelle et est le fait de lâhomme, des choix de lâhomme. La preuve en est que lâĂ©volution naturelle est souvent bien plus longue Ă sâeffectuer que lâĂ©volution culturelle. Câest pourquoi il est juste dâaffirmer quâon choisit dâĂȘtre celui quâon est en choisissant dâĂȘtre homme Ă lâĂ©tat de culture et non Ă celui de nature. III. Nos choix nous dĂ©passent Ainsi, on choisit dâĂȘtre celui quâon est. Mais en se choisissant, on choisit Ă©galement lâHomme. Chacune de nos paroles, de nos pensĂ©es, de nos actions, nous les choisissons et de ce fait, nous reconnaissons que nous avons eu raison de les choisir. Nous formons ainsi lâimage que nous nous faisons de lâHomme. Nos choix entraĂźnent en effet lâhumanitĂ© entiĂšre. Et tous, mĂȘme le plus petit, mĂȘme celui qui semble ĂȘtre de prime abord le plus insignifiant, ont leur importance. Car si je choisis par exemple de me marier, câest que je considĂšre quâil est bien de se marier. Aucun choix nâengage que moi, tous doivent faire lâobjet dâune rĂ©flexion attentive de ma part, car ils renvoient lâimage que je souhaite donner de lâhomme. En ce cas, la libertĂ© de pouvoir choisir dâĂȘtre celui quâon est, dans la mesure oĂč mes choix sont liĂ©s Ă ma conviction de lâhomme, est lourde Ă porter. Sartre qualifie mĂȘme cette responsabilitĂ© de boulet », de fardeau » pour lâhomme. De mĂȘme, Ă travers les choix que nous faisons, nous exprimons notre perception de valeurs telles que la justice. Si nous volons sans scrupule dans un magasin, alors nous considĂ©rons que voler est bien, et par consĂ©quent que ne pas voler est contraire Ă cette morale. Nos actions et nos choix car nous choisissons nos actions posent notre conception de la moralitĂ©, du Bien et du Mal, de câest est bon de faire ou de ne pas faire. Câest pourquoi Kant nous recommande de toujours faire de telle sorte que la maxime de notre action puisse ĂȘtre Ă©rigĂ©e en loi universelle ». Alors, je ne peux ĂȘtre immoral sans prĂŽner lâimmoralitĂ© comme valeur universelle, et ainsi de suite. Conclusion Pour conclure, nous pouvons dire quâil est vrai que nous choisissons dâĂȘtre celui que nous sommes, et que par nos choix non seulement nous choisissons de donner une certaine image de nous, mais nous donnons aussi notre perception de lâHomme et de lâhumanitĂ© telle que nous la concevons. Ainsi, pouvoir choisir dâĂȘtre celui quâon est, câest faire, en fin de compte, lâexpĂ©rience dâune immense libertĂ©, qui devient parfois presque une contrainte.
Cependant il faut envisager qu'on ne peut changer notre ĂȘtre immuable, mais on peut modifier ce que l'on est en tant qu'Ă©tant. Il faudra donc envisager cette dualitĂ© de l'homme et les limites de sa libertĂ© en tant qu'ĂȘtre immuable commun Ă tous les hommes et en tant qu'Ă©tant concret dans une rĂ©alitĂ© particuliĂšre sur lequel lâhomme peut exercer sa libertĂ©.
Le souci de soi a toujours poussĂ© l'homme Ă dĂ©passer des limites qu'il s'Ă©tait lui-mĂȘme fixĂ©es. Pour avancer, Ă©voluer vers un Ă©tat sans cesse meilleur, faire progresser l'humanitĂ© ou soi mĂȘme. Ainsi nous pensons intrinsĂšquement que nous pouvons devenir autre chose que ce que nous sommes actuellement, que nous pouvons changer des Ă©tats de notre ĂȘtre d'aprĂšs notre seule volontĂ©, que nous pouvons choisir ce que nous sommes. Cependant si nous sommes dĂ©jĂ quelque chose, comment pouvons nous affirmer que nous pouvons ĂȘtre autre? L'ĂȘtre est permanent de par sa nature selon ParmĂ©nide, nous ne pouvons le changer ou mĂȘme le dĂ©truire, nous ne pouvons en crĂ©er de nouveau car la crĂ©ation impliquerait un non ĂȘtre antĂ©rieur et cela est impossible. D'autre part la question du choix se pose Ă nous. Le choix est la facultĂ© de la conscience Ă opter pour une action entre plusieurs autres, ce choix est propre Ă l'homme. C'est par cette libertĂ© que nous pouvons modifier notre environnement, le choix est suivi de l'action qui met en place ce que la conscience a choisi. Cependant, choisir l'ĂȘtre ne signifie t il pas possĂ©der plusieurs possibilitĂ©s sur l'Ă©tat de son propre ĂȘtre ? Or l'ĂȘtre n'est pas par dĂ©finition ce qui est immuable, ce qui est et ce qui ne peut pas ne pas ĂȘtre? Comment l'homme pourrait-il envisager de modifier ce qui doit rester identique? Nous sommes pourtant tous conscients de notre Ă©volution Ă travers le temps, des consĂ©quences de nos actes sur notre personne, la maturitĂ© que l'homme acquiert avec l'Ăąge, le changement de classe social, nos bouleversements physiques, il y a donc clairement quelque chose en l'homme qui change que ce soit dans sa propre vie ou tout au long des gĂ©nĂ©rations. L'homme Ă©volue et il choisit d'Ă©voluer par ses progrĂšs. Comment peut-on alors qualifier ces changements, si l'ĂȘtre humain change et est supposĂ© rester identique? Bien que l'homme prĂ©historique soit diffĂ©rent de l'homme contemporain on peut remarquer dendrites diffĂ©rences psychologique et physique, idem pour l'enfant et l'adulte? Pourtant toutes ces personnes portent toujours le qualificatif d'ĂȘtre humain. Pour Sartre, nous sommes responsables de ce que nous sommes par nos actes, par nos choix, l'homme a la possibilitĂ© de choisir son Ă©tat futur grĂące Ă sa libertĂ© de choisir et sa facultĂ© d'anticipation. Cependant, il faut envisager qu'on ne peut changer notre ĂȘtre immuable, mais on peut modifier ce que l'on est en tant qu'Ă©tant. Il faudra donc envisager cette dualitĂ© de l'homme et les limites de sa libertĂ© en tant qu'ĂȘtre immuable commun Ă tous les hommes et en tant qu'Ă©tant concret dans une rĂ©alitĂ© particuliĂšre sur lequel lhomme peut exercer sa libertĂ©. Notre identitĂ© personnelle, ou "celui que l'on est", est-elle naturelle ou biologique ? Notre ĂȘtre est-il inscrit dans nos gĂšnes ? Ou se construit-on par la force de notre volontĂ©, par toutes nos expĂ©riences, et par notre libertĂ©, en toute conscience ? Celui que je suis n'existe pas indĂ©pendamment de l'image que l'autre me renvoie de moi-mĂȘme ; bien plus, pour que j'arrive Ă une connaissance de moi-mĂȘme, il faut nĂ©cessairement que j'emprunte le point de vue d'autrui problĂšme de la conscience de soi. En quel sens puis-je choisir ce que je vois dans le regard d'autrui ? Ou en quel sens autrui ne me reflĂšte que ce que j'ai envie d'ĂȘtre ? Ou ce que je suis ne dĂ©pend-il que de la volontĂ© d'autrui ? Qu'est-ce que ce "celui que l'on est" ? "Celui" qu'on est, ce n'est pas la mĂȘme chose dĂ©jĂ que "ce" qu'on est. "Ce" que je suis semble dĂ©pendre davantage de l'innĂ©, d'une identitĂ© de naissance. Alors que "celui que je suis" reprĂ©sente davantage "celui que j'ai voulu ĂȘtre" Ă partir de ce que j'Ă©tais. Ainsi, nos choix, de carriĂšre, nos goĂ»ts, ce qui nous diffĂ©rencie des autres, peuvent-ils ĂȘtre l'objet d'un choix et sont-ils inscrits dans notre nature ? Qu'est-ce qui prĂ©vaut entre les deux ? Et peut-on toujours choisir ce que l'on veut ĂȘtre ? N'est-on pas ce que la sociĂ©tĂ©, la vie, les alĂ©as, ont fait de nous ? Quelle est la place de la libertĂ©, du choix ? Il s'agit moins d'une dĂ©finition positive de qui je suis, que de dĂ©finir ce qui me distingue, ce qui fait que je suis celui-ci et non celui-lĂ . Est-ce que je choisis d'ĂȘtre ce qui me distingue, ce qui fait que je suis celui-ci parmi les gens et pas celui-lĂ ? RĂ©fĂ©rence utile Sartre, dans L'existentialisme est un humanisme, explique ce qu'il faut entendre par "se choisir". totale de son existence. Et, quand nous disons que l'homme est responsable de lui-mĂȘme, nous ne voulons pas direque l'homme est responsable de sa stricte individualitĂ©, mais qu'il est responsable de tous les hommes. Il y a deuxsens au mot subjectivisme, et nos adversaires jouent sur ces deux sens. Subjectivisme veut dire d'une part choix dusujet individuel par lui-mĂȘme, et, d'autre part, impossibilitĂ© pour l'homme de dĂ©passer la subjectivitĂ© humaine. C'estle second sens qui est le sens profond de l'existentialisme. Quand nous disons que l'homme se choisit, nousentendons que chacun d'entre nous se choisit, mais par-lĂ nous voulons dire aussi qu'en se choisissant il choisittous les hommes. En effet, il n'est pas un de nos actes qui, en crĂ©ant l'homme que nous voulons ĂȘtre, ne crĂ©e enmĂȘme temps une image de l'homme tel que nous estimons qu'il doit ĂȘtre. Choisir d'ĂȘtre ceci ou cela, c'est affirmer enmĂȘme temps la valeur de ce que nous choisissons, car nous ne pouvons jamais choisir le mal ; ce que nouschoisissons, c'est toujours le bien, et rien ne peut ĂȘtre bon pour nous sans l'ĂȘtre pour tous. Si l'existence, d'autrepart, prĂ©cĂšde l'essence et que nous voulions exister en mĂȘme temps que nous façonnions notre image, cette imageest valable pour tous et pour notre Ă©poque tout entiĂšre. Ainsi, notre responsabilitĂ© est beaucoup plus grande quenous pourrions le supposer, car elle engage l'humanitĂ© entiĂšre. Bergson Radicale est la diffĂ©rence entre la conscience de l'animal, mĂȘme le plus intelligent, et la conscience humaine. Car laconscience correspond exactement Ă la puissance de choix dont l'ĂȘtre vivant dispose ; elle est coextensive Ă lafrange d'action possible qui entoure l'action rĂ©elle conscience est synonyme d'invention et de libertĂ©. Or, chezl'animal, l'invention n'est jamais qu'une variation sur le thĂšme de la routine. EnfermĂ© dans les habitudes de l'espĂšce,il arrivera sans doute Ă les Ă©largir par son initiative individuelle ; mais il n'Ă©chappe Ă l'automatisme que pour uninstant, juste le temps de crĂ©er un automatisme nouveau les portes de sa prison se referment aussitĂŽt ouvertes ;en tirant sur sa chaĂźne il ne rĂ©ussit qu'Ă l'allonger. Avec l'homme, la conscience brise la chaĂźne. Chez l'homme, etchez l'homme seulement, elle se libĂšre. Aristote Le choix n'est certainement pas la mĂȘme chose que le souhait, bien qu'il en soit visiblement fort voisin. Il n'y a pasde choix, en effet, des choses impossibles, et si on prĂ©tendait faire porter son choix sur elles on passerait pourinsensĂ© ; au contraire, il peut y avoir souhait des choses impossibles, par exemple de l'immortalitĂ©. D'autre part, lesouhait peut porter sur des choses qu'on ne saurait d'aucune maniĂšre mener Ă bonne fin par soi-mĂȘme, par exemplefaire que tel acteur ou tel athlĂšte remporte la victoire ; au contraire, le choix ne s'exerce jamais sur de pareilleschoses, mais seulement sur celles qu'on pense pouvoir produire par ses propres moyens. En outre, le souhait porteplutĂŽt sur la fin, et le choix sur les moyens pour parvenir Ă la fin par exemple, nous souhaitons ĂȘtre en bonnesantĂ©, mais nous choisissons les moyens qui nous feront ĂȘtre en bonne santĂ© ; nous pouvons dire encore que noussouhaitons d'ĂȘtre heureux, mais il est inexact de dire que nous choisissons de l'ĂȘtre car, d'une façon gĂ©nĂ©rale, lechoix porte, selon toute apparence, sur les choses qui dĂ©pendent de nous.. »
Ala fin, c'est moi qui gagnerai. Concernant ma taille, je raisonne simplement. Ma taille, je n'ai rien fait pour l'avoir ! Qui a choisi d'ĂȘtre noir, blanc, petit ou grand ? Je n'ai donc pas de
Comment rangez-vous vos habits et vos chaussures ? En effet, il existe plusieurs façons de le faire, mais il nây a quâun endroit oĂč les mettre. Il sâagit du dressing. Le dressing est une sorte de meuble caractĂ©risĂ© par plusieurs types de rangements comme lâarmoire, les tiroirs ou les porte-manteaux. Si vous nâavez pas encore un ou que vous en avez mais quâ il nâest plus fonctionnel, nous allons vous aider Ă choisir le meilleur dressing qui vous convient. Suivez notre article jusquâĂ sa fin pour ne rater aucune de nos astuces. Que possĂ©dez-vous ?Le type de dressingLe designPensez Ă lâemplacement Que possĂ©dez-vous ? Cette question semble assez hasardeuse, mais elle est si importante dans votre quĂȘte du dressing idĂ©al. Dans votre dressing, vous allez mettre vos habits, vos accessoires et vos chaussures, mais que possĂ©dez-vous ? Et combien de chaque ? Si vous ne portez jamais de chapeau, vous nâaurez pas besoin dâun rangement spĂ©cifique Ă cet objet. Si vous avez des robes en majoritĂ©, peut-ĂȘtre un rangement vertical plus large avec des porte-manteaux vous conviendrait plus. Bref, nous vous conseillons de faire un inventaire et des tris avant de dĂ©cider quel type de dressing vous faut-il. Sachez quâil ne sera pas non plus nĂ©cessaire de ranger des habits que vous nâallez plus mettre. Vendez-les ou donnez-les Ă dâautres personnes. Le type de dressing Il existe plusieurs types de dressings. Certains hĂ©ritent des formes standards quâon retrouve chez diffĂ©rentes marques. Dâautre part, il existe des dressings plus sophistiquĂ©s et plus originaux. Choisissez selon votre goĂ»t, mais surtout selon votre budget. Voici quelques exemples Le kit basique Câest le type de dressing linĂ©aire le plus courant. Ce type de dressing rĂ©pond aux strictes nĂ©cessitĂ©s avec des rangements simples. Il est souvent abordable et sâinstalle facilement face aux murs. La cabine Câest le type de dressing qui se rapproche dâune chambre. Vous avez la possibilitĂ© de rentrer dedans. Il comporte des armoires et des tiroirs de tout genre. Ce type de dressing est plus spacieux. Il est alors assez gourmand en espace. Son prix varie selon les configurations que vous choisissez. Sur-mesure Plus complexes, configurables et modulables, les dressings sur mesure sont souvent des commandes uniques. Certes, ils sont plus complets, et il est possible de les configurer selon le contenu que vous avez. Cependant, ce type de dressing est souvent plus cher que les autres. En effet, les constructeurs ne fabriquent pas ce type de dressing en avance, car il peut ĂȘtre assez coĂ»teux. Le design Le design du dressing compte aussi, car il sâagit tout de mĂȘme dâun meuble. Sa teinte doit convenir avec le thĂšme de votre dĂ©co. Ne choisissez pas un dressing qui ne correspond pas aux couleurs de vos murs et vos linges de maison. Mis Ă part cela, choisissez un design qui sâintĂšgre facilement avec le style de votre dĂ©coration intĂ©rieure. Certains magasins proposent divers design avec des formes diffĂ©rentes et diffĂ©rents matĂ©riaux. Rendez-vous sur le site de BricomarchĂ© pour retrouver les meilleurs modĂšles du moment. Sachez quâil nây a pas un design plus efficace que les autres. Ă vous dâĂ©valuer chaque option. Cela dit, faites bien attention sur la qualitĂ© de fabrication pour ne pas vous retrouver avec un dressing dĂ©jĂ dĂ©fectueux aprĂšs quelques mois dâutilisation. Pensez Ă lâemplacement Le choix de votre dressing doit aussi correspondre Ă son futur emplacement chez vous. Allez-vous le placer dans votre chambre ? DerriĂšre lâescalier ? Ou dans une chambre spĂ©cifique ? Prenez toujours le temps de prendre des mesures avant de dĂ©cider sur quel modĂšle sauter. Pour finir, mĂ©fiez-vous des modĂšles tape-Ă -lâĆil qui ne correspondent pas Ă vos besoins. Le dressing est avant tout un meuble fonctionnel avant dâĂȘtre un meuble dĂ©coratif.
Cen'est qu'au fur et Ă mesure de son existence que l'individu prend conscience de ce qu'il est et des choix relatifs Ă lui. Choisir signifie prendre une dĂ©cision. Il se rend compte de ce qu'il peut ĂȘtre en tant que reprĂ©sentant de la race humaine. En effet, l'homme est avant tout un ĂȘtre humain, c'est un esprit Ă l'intĂ©rieur d'un corps.
Introduction Choisit-on d'ĂȘtre celui qu'on est ? Une telle question pourrait sembler absurde dans la mesure oĂč l'on ne voit pas qui d'autre que soi serait Ă mĂȘme de dĂ©cider de ce qu'il est. Pourtant, ce que l'on est, c'est-Ă -dire son essence et sa manifestation dans l'action, son existence, peut ĂȘtre influencĂ©, voire dĂ©terminĂ©, par une sĂ©rie de causes extĂ©rieures, Ă commencer par l'Ă©ducation qui façonne en fonction de critĂšres sociaux, gĂ©ographiques, religieux⊠Ce que l'on est physiquement est aussi conditionnĂ© par son hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique. Comment l'individu peut se constituer sa propre identitĂ© alors que sa libertĂ© semble contredite par une sĂ©rie de dĂ©terminismes ? Si l'on peut Ă©tablir dans un premier temps que le propre de l'homme est justement d'ĂȘtre un sujet, c'est-Ă -dire un ĂȘtre capable de juger et de s'autodĂ©terminer, un ĂȘtre responsable de par sa libertĂ©, on constate cependant qu'il est aussi soumis Ă des dĂ©terminismes. On se demandera alors si l'on peut choisir d'ĂȘtre celui que l'on est malgrĂ© la causalitĂ© extĂ©rieure. 1. L'Ă©vidence d'ĂȘtre soi A. Ătre soi, c'est avoir une identitĂ© Info Il est possible d'approfondir cette notion d'identitĂ© en consultant le repĂšre identitĂ©/Ă©galitĂ©/diffĂ©rence. Pour choisir d'ĂȘtre ce que l'on est, il faut d'abord savoir ce que l'on veut ĂȘtre, connaĂźtre ses dĂ©sirs, et ensuite ĂȘtre capable de se reconnaĂźtre, d'accĂ©der Ă une certaine conscience de soi. Ătre soi et avoir conscience de soi constituent le principe de l'identitĂ©. Par dĂ©finition, l'identitĂ© est ce qui demeure identique Ă travers les changements du temps, Ă travers les diffĂ©rentes reprĂ©sentations que je me fais ou que les autres se font de moi. L'identitĂ© n'est pas seulement la marque de mon ipsĂ©itĂ© et de mon unitĂ©, mais aussi de mon unicitĂ©, c'est-Ă -dire le fait d'ĂȘtre unique, diffĂ©rent des autres. Ătre soi n'est donc pas seulement exister selon ses aspirations mais ĂȘtre capable de se distinguer des autres. B. Ătre soi, c'est ĂȘtre un sujet moral et juridique, c'est faire des choix Attention Ici l'Ă©tymologie de responsabilitĂ© est intĂ©ressante car elle vient du latin respondeo, rĂ©pondre, qui ramĂšne Ă l'idĂ©e de rĂ©pondre de ses actes devant autrui et la loi. Ă ce titre, l'homme se dĂ©finit comme sujet un ĂȘtre capable de juger, un animal rationnel », selon une dĂ©finition classique en philosophie, et par lĂ , un ĂȘtre capable de juger ses actions. L'homme n'est pas seulement sujet de la connaissance mais sujet de l'action. Il est un sujet moral et juridique. Il peut donc se fixer les fins de ses actions et Ă©tablir par sa rĂ©flexion les moyens d'y parvenir. C'est pour cela que le sujet moral est un sujet juridique, responsable devant la loi, c'est-Ă -dire qui rĂ©pond » de ses actes. C. L'homme existe selon son essence rationnelle Il semble alors Ă©vident que l'on choisit de faire ce que l'on fait et dans la mesure oĂč ce que l'on fait exprime ce que l'on est, on choisit d'ĂȘtre » au sens d'exister », de s'insĂ©rer dans la rĂ©alitĂ©. Ătre ce que l'on est, consiste ici Ă exercer sa qualitĂ© de sujet en portant un jugement dĂ©terminant sur le monde et sur soi-mĂȘme. L'existence de l'homme dans le monde, son action sur la rĂ©alitĂ©, est l'expression de sa nature rationnelle, l'Ćuvre de sa capacitĂ© Ă user de sa raison. Aristote dans L'Ăthique Ă Nicomaque attribue Ă l'homme prudent la capacitĂ© Ă dĂ©libĂ©rer afin d'ajuster au mieux les moyens aux fins de son action. Ainsi il semble que l'on choisisse d'ĂȘtre ce que l'on est, que l'on existe et que l'on construise son identitĂ© en mettant en Ćuvre ce qui constitue l'essence de l'homme, la raison, afin de faire des choix. En ce sens, on ne peut que choisir d'ĂȘtre soi, d'ĂȘtre ce que l'on est. [Transition] Pourtant, ce que l'on est n'est pas toujours l'expression de notre volontĂ©. Nous avons une histoire et ce que l'on est peut rĂ©sulter d'un parcours, d'une Ă©ducation qui nous a Ă©tĂ© en partie imposĂ©e par autrui. Peut-on alors ne pas choisir d'ĂȘtre ce que l'on est ? 2. Ă quelles conditions peut-on choisir d'ĂȘtre celui qu'on est ? A. Les diffĂ©rents dĂ©terminismes et l'illusion du libre-arbitre Il est aussi Ă©vident que l'on ne choisit pas quand et oĂč l'on naĂźt. On porte d'emblĂ©e en nous la marque de notre origine et de notre histoire. La psychanalyse avec Freud insiste sur le rĂŽle de la toute petite enfance sur la constitution de la personne. Marx et les sociologues insistent davantage sur le dĂ©terminisme Ă©conomique et social ĂȘtre issu d'une certaine catĂ©gorie socio-professionnelle engage un certain type de comportement, une certaine maniĂšre de penser. MĂȘme physiologiquement, le dĂ©terminisme biologique et gĂ©nĂ©tique rappelle que l'on ne naĂźt pas tous avec la mĂȘme apparence, avec la mĂȘme santĂ©, avec les mĂȘmes performances physiques⊠L'homme ne peut-il Ă©chapper aux lois naturelles ? Il ne peut ĂȘtre, selon Spinoza dans L'Ăthique, un empire dans un empire », une exception. Le libre-arbitre ne serait qu'une illusion comme une pierre que l'on aurait lancĂ©e dans les airs et qui prendrait conscience de son mouvement, les hommes se croient libres Ă tort simplement parce qu'ils ont conscience de leurs actions mais qu'ils ignorent les causes qui les dĂ©terminent. B. La possibilitĂ© d'ĂȘtre ce que l'on est malgrĂ© les dĂ©terminismes Affirmer que l'homme n'est pas libre d'ĂȘtre celui qu'il est parce qu'il serait le jeu de tous les dĂ©terminismes pose le problĂšme de sa responsabilitĂ©. En effet, si l'homme agit selon des lois qui s'imposent Ă lui, alors il est comme un pantin articulĂ©, il perd sa qualitĂ© de sujet. Il ne peut plus faire l'objet d'un jugement moral et juridique car on prĂ©suppose alors qu'il n'a pas le choix. Or si le dĂ©terminisme existe c'est un prĂ©supposĂ© nĂ©cessaire de la science qui Ă©tablit des lois de la nature, il n'est peut-ĂȘtre pas absolu. En ce sens, Descartes parvient dans ses MĂ©ditations mĂ©taphysiques Ă concilier l'existence de chaĂźnes de causalitĂ© et la libertĂ© humaine, dans la mesure oĂč ĂȘtre libre serait le fait d'agir en connaissance de cause. Le plus haut degrĂ© de la libertĂ© ne serait pas la libertĂ© d'indiffĂ©rence, celle qui consiste Ă n'ĂȘtre dĂ©terminĂ© par rien, mais la libertĂ© Ă©clairĂ©e qui consiste Ă appliquer sa volontĂ© sur des idĂ©es claires et distinctes que lui prĂ©sente l'entendement. On peut alors choisir ce que l'on est grĂące Ă la connaissance et la maĂźtrise des options mĂȘme limitĂ©es qui se prĂ©sentent Ă nous. C. L'homme reste toujours libre d'affronter les obstacles Choisir d'ĂȘtre celui qu'on est ne consisterait donc pas Ă ĂȘtre au-delĂ des dĂ©terminismes, Ă ĂȘtre vierge de toute causalitĂ© extĂ©rieure, car l'homme est toujours et dĂ©jĂ dans une situation » donnĂ©e selon Sartre, mais Ă ĂȘtre capable de surmonter les obstacles, de se libĂ©rer d'une essence ou d'une Ă©tiquette que le monde et autrui tendent Ă imposer. Dans L'existentialisme est un humanisme, Sartre explique que l'homme existe d'abord, et qu'il se dĂ©finit ensuite. Inscrit dans un perpĂ©tuel devenir, il peut constamment se redĂ©finir, il peut choisir d'ĂȘtre autre que ce qu'il a Ă©tĂ© ou cru ĂȘtre. Seuls ses propres actes le dĂ©terminent. Croire l'inverse serait faire preuve de mauvaise foi en renonçant Ă sa libertĂ© et Ă ses responsabilitĂ©s. L'homme en perpĂ©tuelle libĂ©ration, en perpĂ©tuelle redĂ©finition serait en rĂ©alitĂ© celui qui n'a pas d'essence dĂ©finitive et qui constamment choisit d'ĂȘtre celui qu'il est, mĂȘme lorsqu'il refuse de changer par mauvaise foi, il n'a pas d'excuse », il est condamnĂ© » Ă ĂȘtre libre. Conclusion Conseil Veillez Ă reprendre les diffĂ©rentes thĂšses dĂ©veloppĂ©es tout en montrant que leur articulation s'Ă©claire par l'analyse conceptuelle par exemple ici celui qu'on est » comme animal rationnel de la premiĂšre partie ne se confond pas avec l'individu singulier de la seconde partie. Ainsi on choisit d'ĂȘtre celui que l'on est au sens oĂč notre identitĂ© se constitue par des choix issus de notre raison au cĆur de notre essence. Mais ici ce que l'on est se ramĂšne Ă la dĂ©finition d'un animal rationnel qui ne rend pas compte des particularitĂ©s de celui » qui est. Or, l'individu est constituĂ© par une histoire qui ne dĂ©pend pas de lui. Le dĂ©terminisme agit sur l'homme et fait de lui ce qu'il est devenu. Pourtant, on ne peut nier sa libertĂ©, sa capacitĂ© Ă faire des choix le concernant sous peine de nier sa qualitĂ© de sujet. L'homme choisit d'ĂȘtre celui qu'il est, non pas parce qu'il pourrait faire tout ce qu'il veut, mais parce qu'il est capable de comprendre le dĂ©terminisme et de surmonter les obstacles.
Lesujet est celui postĂ© ci dessus, dans le titre du sujet. Un problĂšme me vient. JÂŽai discutĂ© de cela avec plus - Topic Choisit-on d'ĂȘtre celui qu'on est? du 15-12-2005 13:56:01 sur les
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Cependant il faut envisager qu'on ne peut changer notre ĂȘtre immuable, mais on peut modifier ce que l'on est en tant qu'Ă©tant. Il faudra donc envisager cette dualitĂ© de l'homme et les limites de
ACTION FRANĂAISE Au sens le plus Ă©troit du terme, L'Action française est le titre d'un journal quotidien qui a paru en France de 1908 Ă 1944 et dont le principal animateur Ă©tait Charles Maurras 1868-1952. Mais l'Action française dĂ©signe aussi un mouvement qui est nĂ© plusieurs annĂ©es avant 1908 et qui n'a pas disparu en 1944 ; l'histoire de ce mouvement, qui a exercĂ© pendant prĂšs d'un demi-siĂšcle une influence c [âŠ] Lire la suiteAFFAIRE DREYFUSĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 249 mots âą 1 mĂ©dia PassĂ© en conseil de guerre en 1894 pour intelligence avec l'Allemagne, le capitaine Dreyfus est condamnĂ© grĂące Ă de fausses preuves. Lorsque celles-ci sont dĂ©couvertes, la dĂ©fense d'Alfred Dreyfus s'organise. C'est J'accuse », l'article du romancier Ămile Zola, qui, le 13 janvier 1898, donne Ă l'affaire toute sa publicitĂ©. Les passions s'enflamment et ce plus encore Ă partir du suicide de l'offi [âŠ] Lire la suiteAFFAIRE DREYFUS repĂšres chronologiquesĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 234 mots 15 octobre 1894 Arrestation du capitaine Alfred Dreyfus, convaincu dâavoir livrĂ© des documents confidentiels Ă lâAllemagne. 19-22 dĂ©cembre 1894 Le conseil de guerre condamne Dreyfus Ă la dĂ©portation Ă vie. Mars 1896 Le commandant Picquart, chef du Bureau des renseignements de lâarmĂ©e, dĂ©couvre les fausses piĂšces du dossier dâaccusation. 13 janvier 1898 Zola publie sa lettre ouverte Jâaccuse [âŠ] Lire la suiteAGADIR COUP D' 1911Ăcrit par AĂŻcha SALMON âą 364 mots Le coup dâAgadir », ou incident dâAgadir », est le nom dâune crise diplomatique et militaire qui opposa en 1911 la France et lâAllemagne, pour le contrĂŽle du Maroc. Depuis la seconde moitiĂ© du xix e siĂšcle, les rivalitĂ©s entre les grandes puissances europĂ©ennes sont fortes. Le contrĂŽle des territoires coloniaux en Afrique et en Asie leur permet dâaffirmer leur pouvoir politique et Ă©conomique, [âŠ] Lire la suiteAGRICULTURE Agriculture et industrialisationĂcrit par François PAPY âą 7 421 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Territoires, cultures, Ă©levages" ⊠Au milieu du xix e siĂšcle, le territoire agricole français est cultivĂ© Ă 58 p. 100 de sa surface, dont 4 p. 100 en vignes et 4 p. 100 en jardins, le reste, les terres arables », Ă©tant consacrĂ© aux espĂšces annuelles et Ă la jachĂšre. Les 42 p. 100 restant sont constituĂ©s de forĂȘts, de prairies naturelles, de landes et de pĂątis, espaces laissĂ©s aux forces spontanĂ©es de la nature », comme dit de [âŠ] Lire la suiteALSACE-LORRAINE QUESTION D'Ăcrit par Françoise LĂVY-COBLENTZ, Universalis âą 2 685 mots âą 1 mĂ©dia La question d'Alsace-Lorraine a hypothĂ©quĂ© les rapports entre la France et l' Allemagne de 1879 Ă 1918. Elle a pesĂ© Ă©galement sur la vie politique intĂ©rieure des deux pays, exaltant chez l'un le nationalisme, chez l'autre le pangermanisme. En 1914, deux cent cinquante mille Alsaciens et Lorrains sont mobilisĂ©s dans l'armĂ©e allemande, dix-sept mille volontaires passent la frontiĂšre pour rejoindre l [âŠ] Lire la suiteAMIENS CHARTE D' 1906Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 865 mots Motion votĂ©e au IX e congrĂšs confĂ©dĂ©ral de la tenu du 8 au 16 octobre 1906, la Charte d'Amiens est considĂ©rĂ©e comme le texte fondamental du syndicalisme rĂ©volutionnaire. La avait Ă©tĂ© créée au congrĂšs de Limoges en 1895 par la FĂ©dĂ©ration des Bourses du travail et Ă son initiative et la FĂ©dĂ©ration des syndicats. Elle est alors une association formelle plus qu'une confĂ©dĂ©ration, et [âŠ] Lire la suiteAMSTERDAM-PLEYEL MOUVEMENTĂcrit par François BROUSSE âą 539 mots Le 27 mai 1932, Henri Barbusse et Romain Rolland, deux Ă©crivains français qui avaient dĂ©jĂ manifestĂ© leur opposition Ă la guerre de 1914-1918, lancent un appel pour un CongrĂšs mondial contre la guerre. Cette initiative, dont la paternitĂ© historique revient Ă Barbusse, Ă©tait encouragĂ©e, sinon suscitĂ©e par le Parti communiste français. De cette origine tĂ©moigne le contenu de l'appel qui, s'il fixe c [âŠ] Lire la suiteANARCHISMEĂcrit par Henri ARVON, Jean MAITRON, Robert PARIS, Universalis âą 13 391 mots âą 7 mĂ©dias Dans le chapitre "De 1880 Ă 1914" ⊠Avec le retour des proscrits de la Commune, la France redevint un des centres du mouvement ouvrier international. Le congrĂšs ouvrier de Marseille, en 1879, donna naissance Ă un Parti des travailleurs qui regroupait toutes les familles socialistes. Mais les anarchistes le quittĂšrent dĂ©finitivement lors du congrĂšs rĂ©gional du Centre qui se tint Ă Paris le 22 mai 1881. Celui-ci vit la naissance en Fr [âŠ] Lire la suiteANTISĂMITISMEĂcrit par Esther BENBASSA âą 12 229 mots âą 9 mĂ©dias Dans le chapitre "L'Ăšre nazie 1933-1945" ⊠La crise Ă©conomique et politique qui secoue l'Europe aprĂšs le krach de 1929 va encore aggraver la xĂ©nophobie et l'antisĂ©mitisme. L'annĂ©e 1933 marque l'arrivĂ©e de Hitler au pouvoir et la mainmise de l'idĂ©ologie raciste nazie sur l'Allemagne . L'Europe de l'Est est secouĂ©e par l'essor de mouvements antisĂ©mites qu'on retrouvera collaborant activement Ă l'Ă©limination physique des juifs pendant les ann [âŠ] Lire la suiteASSIETTE AU BEURRE L' 1901-1914Ăcrit par Marc THIVOLET âą 708 mots Hebdomadaire de seize pages environ, tirĂ© en couleurs, L'Assiette au beurre est l'aboutissement de la caricature sociale et de mĆurs telle que Le Rire , Le Courrier français et Le Chambard socialiste l'ont approfondie et dĂ©veloppĂ©e. La tendance anarchisante des crĂ©ateurs de ce journal donne Ă la charge graphique un caractĂšre extrĂȘmement virulent. Chaque numĂ©ro est consacrĂ© Ă un thĂšme prĂ©cis et [âŠ] Lire la suiteBASTID PAUL 1892-1974Ăcrit par Paul MORELLE âą 640 mots Fils d'Adrien Bastid, dĂ©putĂ© du Cantal petit-fils de Paul DevĂšs, sĂ©nateur du mĂȘme dĂ©partement et ministre de Gambetta, Paul Bastid mĂšne parallĂšlement deux brillantes carriĂšres, universitaire et politique. Ancien Ă©lĂšve de l'Ăcole normale supĂ©rieure, il obtient les titres de docteur Ăšs lettres, Ăšs sciences politiques et Ă©conomiques, Ăšs sciences juridiques et passe brillamment les agrĂ©gations de phil [âŠ] Lire la suiteBERGERY GASTON 1892-1974Ăcrit par Paul MORELLE âą 651 mots NĂ© Ă Paris, Gaston Bergery fait des Ă©tudes de droit avant d'entrer dans le monde de la politique en 1918, comme secrĂ©taire de la commission des RĂ©parations. Il garde de ce premier poste un vif attrait pour les affaires extĂ©rieures qui resteront, sa vie durant, au centre de ses prĂ©occupations politiques. Chef de cabinet d'Ădouard Herriot au ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres de 1924 Ă 1925, il se dĂ© [âŠ] Lire la suiteBLUM LĂON 1872-1950Ăcrit par RenĂ© GIRAULT âą 2 240 mots âą 2 mĂ©dias HaĂŻ et injuriĂ© de son vivant par ses adversaires politiques comme rarement ce fut le cas dans la vie politique française, LĂ©on Blum apparaĂźt aujourd'hui, avec le recul du temps, comme un des acteurs principaux de l'Ă©volution de la France vers la modernitĂ© et la justice sociale ; il est aussi Ă placer parmi les penseurs du socialisme français au xx e siĂšcle. Venu au socialisme au dĂ©but du siĂšcle, [âŠ] Lire la suiteBONAPARTISMEĂcrit par Jean-Pierre RIOUX âą 1 026 mots PhĂ©nomĂšne spĂ©cifiquement français, le bonapartisme rend compte Ă la fois des pratiques politiques, Ă©conomiques, sociales, culturelles des rĂšgnes de NapolĂ©on I er ou surtout de NapolĂ©on III et de l'action politique des hommes ou des groupes qui entendent en transmettre l'hĂ©ritage aprĂšs 1870. Il s'oppose aux droites lĂ©gitimistes et orlĂ©anistes par son mĂ©pris des hiĂ©rarchies naturelles, des Ă©lites e [âŠ] Lire la suiteBOURSES DU TRAVAILĂcrit par Paul CLAUDEL âą 308 mots C'est sous la RĂ©volution française, semble-t-il, que germe l'idĂ©e des Bourses du travail il s'agissait de crĂ©er des organismes oĂč seraient concentrĂ©es les offres et les demandes de main-d'Ćuvre. Mais elle ne se rĂ©alise que vers la fin du xix e siĂšcle, en 1886, lorsque le Conseil municipal de Paris adopte un projet de crĂ©ations rapport Mesureur en 1892, un immeuble est remis aux dĂ©lĂ©guĂ©s des [âŠ] Lire la suiteBRETAGNEĂcrit par Jean MEYER, Jean OLLIVRO âą 6 659 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Remous de la grande histoire" ⊠Une conjonction de facteurs, les uns favorables et dynamiques, les autres hostiles, explique la violence des soubresauts de la pĂ©riode rĂ©volutionnaire. Le club breton est Ă l'origine du club des Jacobins, la jeunesse de Rennes et de Nantes participe largement aux Ă©vĂ©nements prĂ©rĂ©volutionnaires, les cahiers de dolĂ©ances bretons comptent parmi les plus virulents de France. Mais tout le monde connaĂźt [âŠ] Lire la suiteBROSSOLETTE PIERRE 1903-1944Ăcrit par Guillaume PIKETTY âą 1 115 mots NĂ© Ă Paris le 25 juin 1903 dans une famille d'enseignants rĂ©publicains, Pierre Brossolette entre premier Ă l'Ăcole normale supĂ©rieure en 1922. En juin 1925, il est reçu deuxiĂšme Ă l'agrĂ©gation d'histoire. Au long des annĂ©es 1920, Pierre Brossolette milite assidĂ»ment pour la SociĂ©tĂ© des Nations, le rapprochement franco-allemand et l'idĂ©e de fĂ©dĂ©ration europĂ©enne. Il fait partie des groupes de jeune [âŠ] Lire la suiteCANDIDE, journalĂcrit par Pierre ALBERT âą 467 mots Hebdomadaire français qui parut du printemps de 1924 Ă l'Ă©tĂ© de 1944. La rĂ©ussite des Nouvelles littĂ©raires , lancĂ©es en octobre 1922 par la librairie Larousse, incita Joseph ArthĂšme Fayard 1866-1936, fils du fondateur de la maison d'Ă©dition d'ouvrages populaires nĂ©e sous le second Empire, Ă crĂ©er, en 1924, dans le mĂȘme temps oĂč il Ă©largissait les activitĂ©s de sa librairie, un hebdomadaire littĂ© [âŠ] Lire la suiteCENTENAIRE DE LA RĂHABILITATION DU CAPITAINE DREYFUSĂcrit par Vincent DUCLERT âą 1 104 mots Trois grandes expositions ont marquĂ© le centenaire de la rĂ©habilitation du capitaine Dreyfus, obtenue par l'arrĂȘt historique de la Cour de cassation rendu le 12 juillet 1906, qui avait proclamĂ© la complĂšte innocence de l'officier. Celui-ci avait Ă©tĂ© une premiĂšre fois condamnĂ© le 22 dĂ©cembre 1894, par un conseil de guerre qui l'avait jugĂ© sur un dossier communiquĂ© aux seuls juges militaires, en vio [âŠ] Lire la ConfĂ©dĂ©ration française des travailleurs chrĂ©tiensĂcrit par RenĂ© MOURIAUX âą 2 640 mots Le sigle reprĂ©sente deux rĂ©alitĂ©s distinctes et cependant unies. La ConfĂ©dĂ©ration française des travailleurs chrĂ©tiens, c'est d'abord, de 1919 Ă 1964, l'expression syndicale du catholicisme social en France ; c'est ensuite, aprĂšs la dĂ©confessionnalisation majoritaire de la centrale, le rameau qui entend maintenir le mouvement professionnel d'inspiration chrĂ©tienne. [âŠ] Lire la suiteCGT ConfĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale du travailĂcrit par Jean BRUHAT, RenĂ© MOURIAUX, Universalis âą 4 429 mots âą 1 mĂ©dia La ConfĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale du travail est nĂ©e Ă Limoges en 1895. C'est une date essentielle du syndicalisme français il faut attendre 1919, en effet, pour que se crĂ©e une autre confĂ©dĂ©ration syndicale la ConfĂ©dĂ©ration française des travailleurs chrĂ©tiens. Cependant, le monopole de la pendant la pĂ©riode 1895-1919 ne doit pas faire illusion le problĂšme de l'unitĂ© se pose, bien q [âŠ] Lire la suiteCHANGE Le systĂšme monĂ©taire internationalĂcrit par Henri BOURGUINAT, Gunther CAPELLE-BLANCARD âą 6 604 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Les origines du ⊠L'histoire du n'a pas commencĂ© en 1944 Ă Bretton Woods. En effet, dĂšs le milieu du xix e siĂšcle, un systĂšme existe, celui de l'Ă©talon or, promu par ce qui est alors l'Ă©conomie dominante la Grande-Bretagne. AprĂšs de nombreuses oppositions, le monomĂ©tallisme or dĂ©fendu par ce pays l'emporte sur le bimĂ©tallisme or et argent qui eut longtemps la prĂ©fĂ©rence de la France le franc germinal d [âŠ] Lire la suiteCOMBES Ă. Ăcrit par Serge BERSTEIN âą 823 mots Le nom dâĂmile Combes sâidentifie avec les pratiques politiques qui, au dĂ©but du xx e siĂšcle, fondent la RĂ©publique laĂŻque au moyen de lâanticlĂ©ricalisme militant. NĂ© le 6 septembre 1835 dans une famille pauvre du Tarn son pĂšre est tailleur dâhabits, sixiĂšme de dix enfants, Ămile Combes, encouragĂ© par un cousin prĂȘtre, voit son avenir dans une carriĂšre ecclĂ©siastique. Mais le supĂ©rieur du sĂ©min [âŠ] Lire la suiteCOMMĂMORATION DE L'ARMISTICE DU 11 NOVEMBRE 1918Ăcrit par Universalis âą 505 mots Comme plusieurs autres pays, la France commĂ©more le 11 novembre, date de la signature de lâarmistice qui mit fin Ă la PremiĂšre Guerre mondiale, en 1918. Ce jour-lĂ , elle rend hommage aux soldats morts au combat pendant ce conflit. ObservĂ©e pour la premiĂšre fois de façon discrĂšte en 1919, la commĂ©moration de lâarmistice fait lâobjet dâune cĂ©rĂ©monie officielle dĂšs le 11 novembre 1920 lâĂtat franç [âŠ] Lire la suiteCONGĂS PAYĂS, en brefĂcrit par Jean-Marie PERNOT âą 244 mots Innovation sociale majeure, les congĂ©s payĂ©s redĂ©ploient l'Ă©conomie et dĂ©mocratisent le temps libre. Leur essor s'inscrit dans une tendance internationale trĂšs inĂ©galement marquĂ©e. Peu nombreux et liĂ©s exclusivement Ă des accords d'entreprise, les congĂ©s payĂ©s restent trĂšs faibles aux Ătats-Unis et plus rĂ©pandus au Royaume-Uni. En Allemagne, des conventions collectives comportent dĂšs le dĂ©but du [âŠ] Lire la suiteCONGRĂS DE TOURS, en brefĂcrit par Olivier COMPAGNON âą 206 mots Du 25 au 30 dĂ©cembre 1920 se tient Ă Tours le XVIII e congrĂšs du Parti socialiste unifiĂ©, Section française de l'Internationale ouvriĂšre Il est consacrĂ© Ă la question qui agite le parti depuis le milieu de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente l'acceptation ou non des vingt et une conditions imposĂ©es par le Komintern pour adhĂ©rer Ă la III e Internationale. Bien que quelques figures charismatiques com [âŠ] Lire la suiteCONSTITUTIONS FRANĂAISES repĂšres chronologiquesĂcrit par Christian HERMANSEN âą 1 668 mots Constitution de 1791 AdoptĂ©e le 3 septembre par l'AssemblĂ©e nationale constituante, deux annĂ©es aprĂšs la DĂ©claration de 1789 qui forme son PrĂ©ambule, suspendue d'application le 10 aoĂ»t 1792, la premiĂšre Constitution française ne dura pas un an. Essai de monarchie parlementaire, elle exacerbait en fait l'opposition entre exĂ©cutif et lĂ©gislatif initiative des lois rĂ©servĂ©e Ă l'AssemblĂ©e unique Ă©l [âŠ] Lire la suiteCOT PIERRE 1895-1977Ăcrit par Charles-Louis FOULON âą 1 569 mots Les hommes politiques de France ont le privilĂšge d'ĂȘtre les plus diffamĂ©s et, pour faire ses classes, il faut commencer par ĂȘtre couvert de boue. » Ces constatations de 1939 reflĂštent le climat dĂ©chirĂ© des annĂ©es 1930, et c'est d'expĂ©rience que leur auteur, universitaire et homme de gouvernement, pouvait parier. Car Pierre Cot, s'il sut rassembler autour de lui des amitiĂ©s fidĂšles et des collab [âŠ] Lire la suiteCROIX-DE-FEUĂcrit par Jacques NOBĂCOURT âą 332 mots âą 1 mĂ©dia L'association des combattants de l'avant et des blessĂ©s de guerre citĂ©s pour action d'Ă©clat », dite les Croix-de-Feu et Briscards », est créée en 1927 par l'homme de lettres Maurice d'Hartoy pour unir les anciens combattants titulaires de la croix de guerre dans une grande force antirĂ©volutionnaire et antidĂ©faitiste ». Elle est en fait au service de François Coty, chevalier d'industrie, parf [âŠ] Lire la suiteCROIX LAĂcrit par Robert de MONTVALLON âą 757 mots On ne voit plus assez aujourd'hui que La Croix fut une rĂ©ussite Ă©tonnante et neuve. Elle a en effet plus de cent ans, Ă©tant nĂ©e en juin 1883 sous la forme d'un quotidien un mensuel l'avait prĂ©cĂ©dĂ© depuis 1880. Cent ans font oublier ce qu'a reprĂ©sentĂ© d'audace l'initiative des religieux assomptionnistes congrĂ©gation créée par le pĂšre d'Alzon qui inspira La Croix , dont les fondateurs furent les [âŠ] Lire la suiteDALADIER ĂDOUARD 1884-1970Ăcrit par Armel MARIN âą 1 030 mots âą 4 mĂ©dias RestĂ© dans l'histoire comme l' homme de Munich » Ădouard Daladier a Ă©tĂ© mĂȘlĂ© Ă d'autres graves Ă©vĂ©nements. Maire de Carpentras en 1911, puis dĂ©putĂ© en 1919, il le reste jusqu'en 1940 et le redevient de 1946 Ă 1958. En 1924, il rĂ©dige la partie consacrĂ©e Ă la DĂ©fense nationale du programme du Cartel des gauches. Ministre des Colonies puis de la Guerre en 1925, puis de l'Instruction publique en 19 [âŠ] Lire la suiteDARDANELLES EXPĂDITION DES mars-dĂ©c. 1915Ăcrit par Pierre GOBERT âą 349 mots âą 1 mĂ©dia Afin de rouvrir, par le Bosphore et la mer Noire, des communications faciles avec la Russie, les Britanniques sous l'impulsion de Winston Churchill ont imaginĂ©, dĂšs la fin de 1914, de porter un coup dĂ©cisif Ă Constantinople. Il leur faut d'abord forcer le dĂ©troit des Dardanelles par une opĂ©ration navale Ă laquelle la France accepte de participer. Malheureusement cette opĂ©ration, dĂ©cidĂ©e en janvi [âŠ] Lire la suiteDAWES PLAN 1924Ăcrit par Armel MARIN âą 508 mots EntrĂ© en vigueur le 1 er septembre 1924, le plan Dawes demeurera en application jusqu'au 31 aoĂ»t 1929. Il est proposĂ© par un comitĂ© d'experts sous l'autoritĂ© de l'intendant gĂ©nĂ©ral amĂ©ricain Charles Dawes 1865-1951, nommĂ© par la Commission des rĂ©parations et chargĂ© de mener Ă bien les nĂ©gociations qui suivent la politique de force de la France qui a occupĂ© la Ruhr. Ce plan intĂ©rieur doit veille [âŠ] Lire la suiteDĂMOCRATIE CHRĂTIENNEĂcrit par Pierre LETAMENDIA, Universalis âą 6 307 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Les premiers partis catholiques" ⊠Les premiers partis catholiques naissent dans des pays oĂč un conflit religieux devient un enjeu politique. Le Zentrum le Centre allemand a pour ancĂȘtre un groupe catholique » qui se constitue Ă la diĂšte prussienne en 1852. Créé en 1870, il adhĂšre sans rĂ©serve au libĂ©ralisme politique, obtenant 18,6 p. 100 des suffrages et cinquante-sept siĂšges aux premiĂšres Ă©lections suivant l'unitĂ© allemande [âŠ] Lire la suiteDĂVALUATION POINCARĂĂcrit par Francis DEMIER âą 269 mots La France connaĂźt un regain d'inflation au lendemain de la PremiĂšre Guerre mondiale. L'augmentation des prix, constante, a Ă©tĂ© alimentĂ©e par la spĂ©culation contre le franc, elle-mĂȘme liĂ©e Ă la faible confiance des dĂ©tenteurs de capitaux Ă l'Ă©gard des gouvernements et de leur capacitĂ© Ă stabiliser la monnaie. La chute du franc sur le marchĂ© des changes prĂ©cĂšde ainsi la hausse des prix intĂ©rieurs. L [âŠ] Lire la suiteDORIOT JACQUES 1898-1945Ăcrit par Guy ROSSI-LANDI âą 810 mots Issu d'une modeste famille de l'Oise, ouvrier mĂ©tallurgiste de Saint-Denis, Jacques Doriot adhĂšre trĂšs jeune Ă la En 1920, il rallie la III e Internationale. Remplaçant par hasard un dĂ©lĂ©guĂ© malade, il devient supplĂ©ant au comitĂ© central des Jeunesses communistes ; c'est le dĂ©but d'une belle carriĂšre au sein du Parti communiste il reprĂ©sente, pour la France, les Jeunesses communistes a [âŠ] Lire la suiteDOUMER PAUL 1857-1932Ăcrit par Universalis âą 386 mots Homme dâĂtat français, nĂ© le 22 mars 1857 Ă Aurillac Cantal, mort le 7 mai 1932 Ă Paris. Fils de cheminot, lui-mĂȘme ouvrier graveur, Joseph Athanase Paul Doumer sâĂ©lĂšve rapidement dans lâĂ©chelle sociale ancien Ă©lĂšve du Conservatoire national des arts et mĂ©tiers, licenciĂ© de mathĂ©matiques 1877 et licenciĂ© en droit 1878, enseignant, il devient franc-maçon et, aprĂšs avoir exercĂ© comme journa [âŠ] Lire la suiteDREYFUS AFFAIREĂcrit par Vincent DUCLERT âą 4 892 mots âą 3 mĂ©dias L'affaire Dreyfus, qui a durĂ© prĂšs de douze annĂ©es 1894-1906, occupe une place centrale dans l'histoire contemporaine de la France. Et son impact intellectuel et moral comme ses reprĂ©sentations sociales et culturelles en font un Ă©vĂ©nement Ă Ă©chelle mondiale, un vĂ©ritable passĂ©-prĂ©sent rĂ©guliĂšrement rĂ©activĂ© dans les mĂ©moires individuelles ou collectives et dans les discours politiques, populai [âŠ] Lire la suiteDU PREMIER EMPIRE Ă LA IIIe RĂPUBLIQUE repĂšres chronologiquesĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 186 mots 1815 RĂ©tablissement de la monarchie. 1830 Trois Glorieuses » 27-29 juillet chute de Charles X, avĂšnement de Louis-Philippe. FĂ©vrier 1848 Chute de Louis-Philippe, proclamation de la II e RĂ©publique. 2 dĂ©cembre 1851 Coup d'Ătat de Louis-NapolĂ©on Bonaparte. 2 dĂ©cembre 1852 Proclamation du second Empire. Septembre 1870 DĂ©faite de Sedan le 2 ; proclamation de la III e RĂ©publique le 4. [âŠ] Lire la suiteEXTRĂME DROITEĂcrit par Jean-Yves CAMUS âą 11 962 mots âą 9 mĂ©dias Dans le chapitre "Naissance d'une famille politique le royalisme ultra" ⊠Dans l'AssemblĂ©e nationale constituante, dĂ©nomination que se sont donnĂ©e les Ă©tats gĂ©nĂ©raux Ă compter du 9 juillet 1789, naissent les premiers partis politiques. L'organisation spatiale de la salle des sĂ©ances place alors le plus Ă droite du prĂ©sident les aristocrates Noirs », partisans de l'Ancien RĂ©gime qui rejettent la RĂ©volution en bloc. Puis, en allant vers la gauche, les monarchiens, p [âŠ] Lire la suiteFAURE SĂBASTIEN 1852-1942Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 333 mots Fils de nĂ©gociants, SĂ©bastien Faure se prĂ©pare Ă entrer dans les ordres. Des revers de fortune et la mort de son pĂšre changent le cours de sa vie. Militant socialiste en 1885, il est candidat du Parti ouvrier français aux Ă©lections lĂ©gislatives de Bordeaux, puis se tourne vers le mouvement anarchiste dont il devient l'un des leaders. OpposĂ© Ă la fois Ă l'anarcho-syndicalisme et Ă la propagande par [âŠ] Lire la suiteFAYOLLE ĂMILE 1852-1928 marĂ©chal de FranceĂcrit par Armel MARIN âą 130 mots Artilleur et polytechnicien, nommĂ© professeur Ă l'Ă©cole de Guerre en 1904. AprĂšs avoir participĂ©, au dĂ©but de la PremiĂšre Guerre mondiale, Ă la dĂ©fense de Nancy, Ămile Fayolle reçoit le commandement de la VI e ArmĂ©e Ă la bataille de la Somme en 1916, oĂč il se distingue. En 1917, il est Ă la tĂȘte des troupes d'intervention franco-anglaises chargĂ©es de seconder les Italiens aprĂšs la dĂ©bĂącle de Capo [âŠ] Lire la suiteFAYáčąÄL Ier 1885-1933 roi d'Irak 1921-1933Ăcrit par Universalis âą 604 mots Homme d'Ătat arabe, leader nationaliste et roi d'Irak 1921-1933, nĂ© le 20 mai 1885 Ă La Mecque, mort le 8 septembre 1933 Ă Berne. Faysal est le fils de Husayn ibn 'Ali, Ă©mir et grand chĂ©rif de La Mecque qui dirige le Hedjaz de 1916 Ă 1924. La PremiĂšre Guerre mondiale fournit une occasion de rĂ©bellion pour de nombreux dirigeants arabes qui en sont venus Ă haĂŻr la domination ottomane. Parmi ceu [âŠ] Lire la suiteFERRY JULES 1832-1893Ăcrit par Jean GARRIGUES âą 2 151 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Le fondateur de la IIIe RĂ©publique" ⊠NĂ© le 5 avril 1832 Ă Saint-DiĂ©, dans les Vosges, dans une famille bourgeoise et fortunĂ©e, il est le fils de l'avocat Charles-Ădouard Ferry et d'AdĂšle Jamelot. Son pĂšre, libre-penseur, lui donne une Ă©ducation classique, libĂ©rale et agnostique. Il est notamment influencĂ© par la pensĂ©e d'Auguste Comte, qui propose de renoncer Ă la recherche des causes transcendantes pour s'en tenir aux phĂ©nomĂšnes. Ce [âŠ] Lire la suiteFOCH FERDINAND 1851-1929 marĂ©chal de FranceĂcrit par AndrĂ© DAUBARD âą 930 mots âą 3 mĂ©dias NĂ© Ă Tarbes, il fait de solides Ă©tudes au collĂšge des jĂ©suites de Saint-Ătienne puis de Metz. Il entre ensuite Ă l'Ăcole polytechnique d'oĂč il sortira en 1873 dans l'artillerie. Foch est admis Ă l'Ăcole supĂ©rieure de guerre en 1885. En 1893, il est au 3 e bureau de l'Ă©tat-major, puis devient professeur d'histoire militaire et de tactique gĂ©nĂ©rale Ă l'Ăcole de guerre. Son enseignement met en relie [âŠ] Lire la suiteFRACHON BENOĂT 1893-1975Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 546 mots NĂ© dans une petite commune proche de Saint-Ătienne, BenoĂźt Frachon est issu d'une famille de mineurs. Militant ouvrier dĂšs 1909, il participe Ă la grĂšve des mĂ©tallurgistes pour la reconnaissance du droit syndical en 1910. Ă cette Ă©poque il adhĂšre au syndicalisme rĂ©volutionnaire et participe aux activitĂ©s d'un petit groupe anarchiste. La dĂ©claration de guerre le mobilise dans une usine d'armement d [âŠ] Lire la suiteFRANĂAIS EMPIRE COLONIALĂcrit par Jean BRUHAT âą 16 688 mots âą 19 mĂ©dias Dans le chapitre "Une phase de recueillement" ⊠à la fin du second Empire se dessinent les grandes lignes de ce qui sera la politique coloniale de la France au temps de l'impĂ©rialisme apparition de la notion d'empire colonial, orientations gĂ©ographiques Sahara, Niger, Tonkin, Ă©laboration du systĂšme du protectorat, naissance des troupes coloniales, formation d'un personnel spĂ©cialisĂ© bureaux arabes, bureau politique du SĂ©nĂ©gal, inspecteurs [âŠ] Lire la suiteFRANCE CONSTITUTION DU SECOND EMPIRE COLONIAL repĂšres chronologiquesĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 147 mots 1830 Prise d'Alger, dĂ©but de la deuxiĂšme colonisation française. 1847 Reddition d'Abd el-Kader. 1863 Annexion de la Cochinchine. Protectorat sur le Cambodge. 1881 Protectorat sur la Tunisie. 1882 Occupation des territoires parcourus par Savorgnan de Brazza autour du fleuve Congo. 1885 Protectorat sur l'Annam et annexion dĂ©finitive du Tonkin. DĂ©cret organisant les possessions françaises en Po [âŠ] Lire la suiteFRANCE Histoire et institutions Le temps des rĂ©volutionsĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 6 926 mots âą 8 mĂ©dias Dans le chapitre "Refaire la RĂ©volution 1848-1880" ⊠Les journĂ©es de Juin avaient attisĂ©, parmi les Ă©lites rĂ©publicaines, la peur du rouge ». Toute l'histoire de la II e RĂ©publique est ainsi celle d'un glissement vers une politique de plus en plus mĂ©fiante Ă lâĂ©gard du peuple, particuliĂšrement celui des villes. La loi du 31 mai 1850, votĂ©e contre ce que la grande voix du parti de l'Ordre », Adolphe Thiers, appelait la vile multitude », en tĂ©m [âŠ] Lire la suiteFRANC FRANĂAISĂcrit par Dominique LACOUE-LABARTHE âą 9 714 mots âą 5 mĂ©dias Dans le chapitre "De l'Union latine Ă l'Ă©talon or" ⊠Le bimĂ©tallisme fonctionne de façon satisfaisante tant que l'un ou l'autre des deux mĂ©taux ne fait pas une prime excessive. Avant 1814, l'or fait prime sur l'argent rapport commercial moyen 16/1. En 1820, au contraire, c'est l'argent 15,04/1 car l'or s'est rarĂ©fiĂ©. Quand le rapport commercial remonte Ă 15,76, de 1820 Ă 1850, l'argent dĂ©prĂ©ciĂ© Ă©vince presque les piĂšces d'or. L'afflux d'or calif [âŠ] Lire la suiteFRANCHET D'ESPEREY LOUIS FĂLIX 1856-1942 marĂ©chal de FranceĂcrit par Pierre GOBERT âą 265 mots Au dĂ©but de sa carriĂšre militaire, Franchet d'Esperey s'Ă©tait distinguĂ© en AlgĂ©rie, en Tunisie, en Chine contre les Boxers et au Maroc Oued Zem, Mogador, Tadla. En aoĂ»t 1914, commandant du I er corps d'armĂ©e sous Lanrezac, il retarde l'avance allemande Ă Guise. Puis Ă la tĂȘte de la V e armĂ©e, il joue un rĂŽle capital dans la victoire de la Marne 6-12 sept. 1914. Il commande le groupe d'armĂ© [âŠ] Lire la suiteFRANC-MAĂONNERIEĂcrit par Roger DACHEZ, Luc NEFONTAINE âą 10 703 mots Dans le chapitre "Franc-maçonneries latine et anglo-saxonne" ⊠Pendant que la France, devenue la fille aĂźnĂ©e de la maçonnerie », rayonnait sur l'Europe, la Grande-Bretagne avait conservĂ© le magistĂšre maçonnique des origines la Grande Loge unie d'Angleterre, fondĂ©e en 1813, Ă©tait avec le TrĂŽne et l'Ăglise d'Angleterre l'un des trois piliers de l'Empire. Au cours du xix e siĂšcle, conjuguant les oppositions politiques entre Paris et Londres et les divergenc [âŠ] Lire la suiteFRANĂOIS-PONCET ANDRĂ 1887-1978Ăcrit par Armand BĂRARD âą 1 114 mots âą 1 mĂ©dia La personnalitĂ© d'AndrĂ© François-Poncet, germaniste, journaliste, dĂ©putĂ©, ambassadeur, acadĂ©micien, est tout aussi marquante que le caractĂšre dramatique des Ă©vĂ©nements auxquels il fut mĂȘlĂ©. Jeune lycĂ©en, il avait Ă©tĂ© envoyĂ© par son pĂšre magistrat Ă©tudier outre-Rhin. Normalien, il avait passĂ© brillamment l'agrĂ©gation d'allemand. Journaliste, il fut le fondateur du Bulletin quotidien , publication Ă© [âŠ] Lire la suiteFRONT POPULAIREĂcrit par Serge BERSTEIN âą 4 946 mots âą 1 mĂ©dia Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1930, la France est confrontĂ©e Ă une crise multiforme, Ă la fois Ă©conomique, politique, sociale et morale, marquĂ©e par une profonde dĂ©pression, une poussĂ©e du chĂŽmage, une chute des revenus, une perte de confiance dans la dĂ©mocratie parlementaire et une impuissance des gouvernements successifs, de gauche et de droite, Ă redresser la situation. C'est pour faire face Ă c [âŠ] Lire la suiteFRONT POPULAIRE, en brefĂcrit par Olivier COMPAGNON âą 203 mots âą 1 mĂ©dia La victoire du Rassemblement populaire aux Ă©lections lĂ©gislatives d'avril-mai 1936 est le produit de la coalition antifasciste formĂ©e par les socialistes, les communistes et les radicaux, Ă la suite du 6 fĂ©vrier 1934. Des quatre gouvernements de Front populaire qui se succĂšdent entre juin 1936 et novembre 1938, le plus important est celui que dirige LĂ©on Blum jusqu'en juin 1937. SignĂ©s dĂšs le 7 j [âŠ] Lire la suiteGALLIENI JOSEPH-SIMON 1849-1916Ăcrit par StĂ©phanie SOUBRIER âą 1 566 mots âą 1 mĂ©dia Acteur majeur de lâexpansion coloniale française, Joseph Gallieni passa une grande partie de sa carriĂšre outre-mer, Ă lâĂ©cart des crises qui affectent lâarmĂ©e sous la III e RĂ©publique. Mais câest son rĂŽle durant la PremiĂšre Guerre mondiale qui fit de lui un personnage populaire en mĂ©tropole . [âŠ] Lire la suiteGAMELIN MAURICE 1872-1958Ăcrit par Pierre GOBERT âą 462 mots âą 2 mĂ©dias NĂ© dans une famille d'officiers, et sorti major de Saint-Cyr en 1893, Gamelin fait partie de l'Ă©tat-major de Joffre. C'est lui qui rĂ©dige, sinon le fameux ordre du jour de la Marne, du moins les instructions qui aboutissent Ă la grande victoire du 8 septembre 1914 ; c'est encore lui qui commande la 2 e brigade de chasseurs Ă pied Ă la bataille de la Somme 1916 puis la 8 e division d'infanterie [âŠ] Lire la suiteGAUCHE EN FRANCE DANS L'ENTRE-DEUX-GUERRES repĂšres chronologiquesĂcrit par Olivier COMPAGNON âą 514 mots DĂ©cembre 1920 RĂ©unie en congrĂšs Ă Tours, la Section française de l'Internationale ouvriĂšre SFIO se scinde en deux partis. Majoritaires, les partisans de l'adhĂ©sion Ă la III e Internationale crĂ©ent la Section française de l'Internationale communiste rebaptisĂ©e Parti communiste, PC, en 1921, tandis que la minoritĂ© menĂ©e par LĂ©on Blum demeure au sein de la SFIO. Mai 1924 Le Cartel des gauches, [âŠ] Lire la suiteGĂNIE MILITAIREĂcrit par Patrice VENTURA âą 5 767 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre " Histoire du gĂ©nie militaire" ⊠Arme de l'amĂ©nagement du terrain, spĂ©cialiste de la conception et de la rĂ©alisation des infrastructures des armĂ©es, le gĂ©nie militaire vient tout droit de la premiĂšre urgence qui s'est imposĂ©e pour la survie de l'homme amĂ©nager le site, construire pour s'abriter, se protĂ©ger ou attaquer. L'abri, la motte, le donjon de pierre, le chĂąteau fort prĂ©cĂ©deront les enceintes des villes, puis le bastion [âŠ] Lire la suiteGOUIN FĂLIX 1884-1977Ăcrit par Jean-Pierre RIOUX âą 1 038 mots NĂ© Ă Peypin Bouches-du-RhĂŽne, fils d'instituteur, FĂ©lix Gouin, aprĂšs des Ă©tudes au lycĂ©e de Marseille et Ă la facultĂ© de droit d'Aix, s'inscrit au barreau de Marseille en 1907 et y fait toute sa carriĂšre d'avocat, plaidant pour les syndicats ouvriers avant de mĂȘler le civil et les procĂšs d'affaires. DĂšs 1902, il est militant socialiste et s'impose parmi les nouveaux dirigeants de la fĂ©dĂ©ration d [âŠ] Lire la suiteGRANDE GUERRE ET SOCIĂTĂĂcrit par Emmanuelle CRONIER âą 3 554 mots âą 5 mĂ©dias Dans le chapitre "Un pays en armes" ⊠Le 1 er aoĂ»t 1914, lâannonce de la dĂ©claration de guerre de lâAllemagne Ă la Russie, alliĂ©e de la France, est suivie de la mobilisation française, qui tombe au moment oĂč la population apprend la mort du leader socialiste Jean JaurĂšs, assassinĂ© la veille. Ă lâannonce de la mobilisation gĂ©nĂ©rale, les Français sont saisis de stupeur. Lâattentat de Sarajevo, le 28 juin 1914, Ă©tait passĂ© presque inape [âŠ] Lire la suiteGRAVE JEAN 1854-1939Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 408 mots NĂ© dans le Puy-de-DĂŽme, Jean Grave suit Ă Paris l'enseignement des FrĂšres des Ă©coles chrĂ©tiennes jusqu'Ă l'Ăąge de onze ans. Mis en apprentissage, il se forme lui-mĂȘme grĂące Ă de nombreuses lectures. Jean Grave succĂšde Ă son pĂšre comme cordonnier en 1876 et commence Ă frĂ©quenter assidĂ»ment les milieux politiques. Converti Ă l'anarchisme, il anime un cercle anarchiste dans les VI e et XIII e arron [âŠ] Lire la suiteGRĂVEĂcrit par HĂ©lĂšne SINAY, Universalis âą 12 540 mots âą 8 mĂ©dias Dans le chapitre "PremiĂšres grandes grĂšves" ⊠L'Ăšre des grands conflits s'ouvre en France en novembre 1831 par la cĂ©lĂšbre rĂ©volte des canuts lyonnais, ouvriers de la soie qui n'Ă©taient nullement les parias » de la classe ouvriĂšre. C'Ă©taient des travailleurs trĂšs qualifiĂ©s, que la longue pratique d'un mĂ©tier avait socialement Ă©levĂ©s. Or, aprĂšs les Ă©vĂ©nements de 1830 qui avaient portĂ© un coup sĂ©rieux Ă la soierie lyonnaise, les prix de façon [âŠ] Lire la suiteGRINGOIRE, journalĂcrit par Pierre ALBERT âą 515 mots Reprenant la formule du Candide de Fayard, Horace de Carbuccia fonda Gringoire en 1928. NĂ© Ă Paris en 1891, d'origine corse â il fut mĂȘme dĂ©putĂ© d'Ajaccio en 1932 â, apparentĂ© au romancier Marcel PrĂ©vost et au prĂ©fet de police Jean Chiappe, Carbuccia Ă©tait dĂ©jĂ directeur de la Revue de France , lancĂ©e en 1921, et propriĂ©taire des Ăditions de France, fondĂ©es en 1924. Carbuccia fut toujours pratiq [âŠ] Lire la suiteGUERRE MONDIALE PREMIĂREĂcrit par Marc FERRO âą 12 473 mots âą 50 mĂ©dias La guerre patriotique », ainsi pourrait-on qualifier le premier conflit mondial . Que l'on jette, en effet, un regard sur l'histoire proche ou lointaine, et il apparaĂźt que chacune des grandes guerres que l'Occident a connues a Ă©tĂ© peu ou prou mĂątinĂ©e de guerre civile ce qui est clair pour 1939-1945 l'est Ă©galement pour l'Ă©poque de la RĂ©volution et de l'Empire, pour la guerre de Trente Ans et [âŠ] Lire la suiteGUERRE MONDIALE SECONDEĂcrit par Henri MICHEL âą 19 622 mots âą 103 mĂ©dias La Seconde Guerre mondiale commence comme un conflit franco-allemand traditionnel, provoquĂ© par la volontĂ© de Hitler de supprimer les frontiĂšres que le traitĂ© de Versailles avait imposĂ©es Ă l'Allemagne. Les accords de Munich sept. 1938 , puis l'occupation de la BohĂȘme et la vassalisation par le Reich de la Slovaquie mars 1939 ont dĂ©mantelĂ© le systĂšme d'alliances Ă©difiĂ© par la diplomatie franç [âŠ] Lire la suiteGUESDE JULES 1845-1922Ăcrit par Madeleine REBĂRIOUX âą 2 315 mots âą 1 mĂ©dia Le nom de Jules Guesde est indissolublement liĂ© Ă un courant historique du socialisme français, le guesdisme, qui apparaĂźt dans les annĂ©es 1880 et qui a jouĂ© un rĂŽle important dans la fondation de la Section française de l'Internationale ouvriĂšre en 1905. Le socialisme fait homme » ainsi a-t-on souvent qualifiĂ© Jules Guesde. Nul doute qu'il ait exercĂ© sur ses fidĂšles » et mĂȘme sur [âŠ] Lire la suiteHERRIOT ĂDOUARD 1872-1957Ăcrit par Armel MARIN âą 813 mots Homme politique français, figure de la III e RĂ©publique, puis de la IV e . DĂ©mocratie parlementaire, libertĂ© de la presse et de rĂ©union, libertĂ© syndicale Ă ses dĂ©buts, libĂ©ralisme Ă©conomique, libertĂ© de pensĂ©e et laĂŻcitĂ© ces principes, qu'il dĂ©fendit toute sa vie, rĂ©sument le credo politique d'une autre Ă©poque. NĂ© Ă Troyes Aube le 5 juillet 1872, Ădouard Herriot fut un orateur de grand talen [âŠ] Lire la suiteHERVĂ GUSTAVE 1871-1944Ăcrit par Pierre ALBERT âą 630 mots D'origine relativement modeste, Gustave HervĂ© commença sa carriĂšre dans l'enseignement comme surveillant, puis comme professeur d'histoire Ă Rodez en 1897. Son militantisme dreyfusard et son anticlĂ©ricalisme, ses opinions ultra-dĂ©mocratiques lui valurent d'ĂȘtre deux fois mutĂ©. Professeur au collĂšge de Sens en 1900, il collabora au Travailleur socialiste , feuille ouvriĂšre locale, et l'un de ses ar [âŠ] Lire la suiteHISTOIRE DE LA CARTE NATIONALE D'IDENTITĂ P. PiazzaĂcrit par Jean-Claude BUSSIĂRE âą 1 045 mots Histoire de la carte nationale d'identitĂ© Odile Jacob, 2004 entraĂźne le lecteur dans le dĂ©dale des dĂ©cisions et des retournements dont elle a Ă©tĂ© l'objet en France pendant plus d'un siĂšcle. MĂȘme si la carte nationale d'identitĂ© est intimement liĂ©e Ă l'Ătat, son avĂšnement n'est pas l'expression d'une toute-puissance de celui-ci, qui se dĂ©ploierait sans entraves. La volontĂ© des services de poli [âŠ] Lire la suiteHUMANITĂ L'Ăcrit par Thierry PFISTER, Universalis âą 1 258 mots La presse socialiste est nĂ©e relativement tard et a toujours eu une vie difficile. Son essor date de la fin des annĂ©es 1880. Le premier numĂ©ro de L'HumanitĂ© , prĂ©sentĂ©e comme journal socialiste », parut le 18 avril 1904. Au sein de sa rĂ©daction figuraient notamment RenĂ© Viviani, Aristide Briand, Jean Longuet et Albert Thomas ; le directeur politique Ă©tait Jean JaurĂšs. AprĂšs l'unification du mouv [âŠ] Lire la suiteILLUSTRATION L'Ăcrit par Christine BARTHET âą 685 mots Revue hebdomadaire dont la carriĂšre fut exceptionnellement longue plus d'un siĂšcle. FondĂ©e en 1843 sur le modĂšle de l' Illustrated London News , L'Illustration s'est toujours situĂ©e Ă l'avant-garde par sa prĂ©sentation et ses mĂ©thodes d'impression, ses responsables n'hĂ©sitant pas Ă faire appel aux derniĂšres innovations techniques. C'est ainsi qu'en 1891 L'Illustration est la premiĂšre Ă publier d [âŠ] Lire la suiteIMPĂT SUR LE REVENU FranceĂcrit par Bernard VALADE âą 205 mots L'impĂŽt sur le revenu fut l'ArlĂ©sienne de l'histoire financiĂšre de la III e RĂ©publique. Il avait Ă©tĂ© envisagĂ© dĂšs le mois de dĂ©cembre 1871 au grand scandale de Thiers. Les projets Bourgeois-Doumer 1896, Caillaux 1900, Rouvier 1903 se heurtĂšrent Ă l'hostilitĂ© du SĂ©nat. On y dĂ©nonça un retour Ă l'Ancien RĂ©gime, c'est-Ă -dire Ă la taille et Ă la fiscalitĂ© personnelle. DĂ©posĂ© en 1907, un second [âŠ] Lire la suiteJAURĂS JEAN 1859-1914Ăcrit par Madeleine REBĂRIOUX âą 2 667 mots âą 1 mĂ©dia Le rĂ©veil des Ă©tudes jaurĂ©siennes a mis en Ă©vidence, aprĂšs une longue pĂ©riode vouĂ©e surtout Ă l'hagiographie, parfois mĂȘme Ă l'oubli, l'importance exceptionnelle du fondateur de L'HumanitĂ©. Au portrait du vieux socialiste barbu, aux Ă©chos de son Ă©loquence chaleureuse, plus ou moins dĂ©modĂ©e, se substituent peu Ă peu de nouvelles images. Si l'on s'est mĂ©pris sur le personnage, cela tient essentiell [âŠ] Lire la suiteJE SUIS PARTOUTĂcrit par Pierre-Robert LECLERCQ âą 291 mots FondĂ© en 1930 par les Ă©ditions ArthĂšme Fayard, l'hebdomadaire Je suis partout a pour vocation principale de donner un compte rendu des Ă©vĂ©nements internationaux. Parmi les premiers collaborateurs, on relĂšve Pierre Gaxotte, Miguel ZamacoĂŻs, Jean Giraudoux, Lucien Rebatet, Robert Brasillach, Claude Roy, Pierre HalĂ©vy, Drieu La Rochelle. Peu Ă peu le ton et l'orientation de l'hebdomadaire changent, [âŠ] Lire la suiteJOFFRE JOSEPH 1852-1931 marĂ©chal de FranceĂcrit par AndrĂ© DAUBARD âą 777 mots âą 2 mĂ©dias Fils d'un petit propriĂ©taire viticulteur, Joseph Joffre fait de brillantes Ă©tudes et, grĂące Ă l'aide de ses compatriotes, prĂ©pare l'Ăcole polytechnique oĂč il entre, benjamin de sa promotion. Lieutenant, puis capitaine au 1 er gĂ©nie Ă Versailles, il participe Ă la reconstruction de l'enceinte fortifiĂ©e de Paris. PrĂ©maturĂ©ment veuf, il demande Ă servir en ExtrĂȘme-Orient. Ă Formose, en 1885, il for [âŠ] Lire la suiteJOUFFA YVES 1920-1999Ăcrit par Madeleine REBĂRIOUX âą 1 020 mots La vie et la carriĂšre d'Yves Jouffa sont marquĂ©es par ses origines juives et laĂŻques, par les compĂ©tences juridiques qu'il a tĂŽt acquises et par la constance d'un militantisme de gauche, longtemps dissident » par rapport aux grands partis, qui le porta, de 1984 Ă 1991, Ă la prĂ©sidence de la Ligue française pour la dĂ©fense des droits de l'homme et du citoyen. Yves Jouffa est nĂ© Ă Paris le 20 janv [âŠ] Lire la suiteJOUHAUX LĂON 1879-1954Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 847 mots âą 1 mĂ©dia NĂ© Ă Aubervilliers, d'un pĂšre ancien communard, employĂ© dans une manufacture de tabac, LĂ©on Jouhaux, aprĂšs avoir obtenu son certificat d'Ă©tudes et prĂ©parĂ© l'Ăcole des arts et mĂ©tiers, est embauchĂ© d'abord dans une serrurerie ; puis il rejoint son pĂšre Ă la manufacture. Il a alors seize ans et frĂ©quente les groupes anarchistes. En 1901, il est condamnĂ© Ă trois mois de prison avec l'anarchiste Liber [âŠ] Lire la suiteLAFARGUE PAUL 1842-1911Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 388 mots NĂ© Ă Santiago de Cuba, Français de souche bordelaise, Paul Lafargue se vante de rĂ©unir en lui le sang de trois races opprimĂ©es les races juive, caraĂŻbe, mulĂątre. Pendant qu'il poursuit ses Ă©tudes Ă la facultĂ© de mĂ©decine de Paris, il collabore au journal La Rive gauche , de tendance proudhonienne. Comme il participe au premier CongrĂšs international Ă©tudiant LiĂšge, 1865, il est exclu de toutes [âŠ] Lire la suiteLAĂCITĂĂcrit par Jean BAUBĂROT, Ămile POULAT âą 7 623 mots âą 2 mĂ©dias Dans le chapitre "Retour sur l'expĂ©rience française" ⊠Boniface VIII, le pape souffletĂ© par l'envoyĂ© du roi Philippe le Bel, ou l'attentat d'Anagni » 1303 cette image a traversĂ© les siĂšcles, et elle avait sa place dans tous les manuels d'histoire. Mais, si elle montre bien le choc des prĂ©tentions, elle ne dit rien sur le statut de la religion. Or ce que nous appelons laĂŻcitĂ© est alors totalement impensable, Ă moins de parler d'une laĂŻcitĂ© sacral [âŠ] Lire la suiteLA ROCQUE FRANĂOIS DE 1885-1946Ăcrit par Jacques NOBĂCOURT âą 497 mots âą 2 mĂ©dias Fils de gĂ©nĂ©ral et frĂšre d'officiers, François de La Rocque sort de Saint-Cyr en 1907 . Durant la PremiĂšre Guerre mondiale, il se trouve dans l'Atlas marocain. GriĂšvement blessĂ©, en 1916, il rejoint le front de France. AprĂšs un passage Ă l'Ă©tat-major du marĂ©chal Foch, il suit Weygand en Pologne, au cours de la campagne contre l'ArmĂ©e rouge, puis PĂ©tain dans le Rif. Il revient en France et dĂ©missio [âŠ] Lire la suiteLAVAL PIERRE 1883-1945Ăcrit par Armel MARIN âą 690 mots âą 1 mĂ©dia Fils d'un petit cafetier d'Auvergne, Pierre Laval dut travailler pour payer ses Ă©tudes qui lui permirent, en 1907, de s'inscrire au barreau de Paris. Venu de l'extrĂȘme gauche, mais dĂ©pourvu d'idĂ©alisme, il s'affranchit de tous les partis pour faire carriĂšre grĂące Ă des amitiĂ©s personnelles. Avocat, conseiller de nombreux syndicalistes, il est Ă©lu dĂ©putĂ© en 1914 puis maire d'Aubervilliers en 1923, [âŠ] Lire la suiteLEBRUN ALBERT 1871-1950Ăcrit par Universalis âą 372 mots Homme d'Ătat français, nĂ© le 29 aoĂ»t 1871 Ă Mercy-le-Haut Meurthe-et-Moselle, mort le 6 mars 1950 Ă Paris. Albert Lebrun accomplit sa scolaritĂ© au lycĂ©e de Nancy avant d'entrer Ă l'Ăcole polytechnique, dont il sort major, puis Ă l'Ăcole nationale supĂ©rieure des mines. Ălu dĂ©putĂ© de la Lorraine Ă partir de 1900, puis sĂ©nateur Ă partir de 1920, prĂ©sident du SĂ©nat en 1931, prĂ©sident du Conseil gĂ©n [âŠ] Lire la suiteLĂGALISATION DES SYNDICATS FranceĂcrit par Jean-Marie PERNOT âą 210 mots Huit annĂ©es de dĂ©bats parlementaires ont Ă©tĂ© nĂ©cessaires pour aboutir Ă la loi dite Waldeck-Rousseau » rendant lĂ©gales les organisations professionnelles ouvriĂšres et patronales en 1884. Rompant avec l'idĂ©ologie individualiste de la loi Le Chapelier 17 juin 1791, qui supprimait les corporations et proscrivait toute association en vue de dĂ©fendre de prĂ©tendus intĂ©rĂȘts communs », elle abroge Ă© [âŠ] Lire la suiteLIBANĂcrit par Philippe DROZ-VINCENT, Elizabeth PICARD, Ăric VERDEIL, Universalis âą 26 514 mots âą 18 mĂ©dias Dans le chapitre "Les communautĂ©s" ⊠Chacune des dix-sept communautĂ©s libanaises est identifiĂ©e par sa doctrine religieuse et son histoire spĂ©cifique, mais non par ses diffĂ©rences ethniques. Les Kurdes du Liban sont comptĂ©s au nombre des musulmans, les ArmĂ©niens, rĂ©fugiĂ©s d'Asie Mineure au dĂ©but du xx e siĂšcle, au nombre des chrĂ©tiens. Chez ces derniers, la multiplication des groupes est Ă©tonnante, aussi archaĂŻque sur le plan doctri [âŠ] Lire la suiteLOCARNO ACCORDS DE 1925Ăcrit par Armel MARIN âą 316 mots âą 2 mĂ©dias Ă l'issue d'une confĂ©rence internationale qui rĂ©unissait les reprĂ©sentants de la France Briand, de l'Allemagne Stresemann, de la Belgique Vandervelde, de la Grande-Bretagne, de la TchĂ©coslovaquie et de la Pologne, une sĂ©rie d'accords Ă©taient signĂ©s Ă Locarno en Suisse, les 15 et 16 octobre 1925. Le plus important de ces traitĂ©s Ă©tablissait le maintien du statu quo en ce qui concernait les fr [âŠ] Lire la suiteLOGEMENT SOCIALĂcrit par Susanna MAGRI âą 4 047 mots Dans le chapitre "Les projets rĂ©formateurs" ⊠L'avĂšnement du logement social a longtemps Ă©tĂ© regardĂ© par les historiens comme le triomphe des tenants de l'intervention de l'Ătat sur les dĂ©fenseurs de l'initiative privĂ©e, la construction publique s'imposant comme remĂšde Ă la crise du logement ». Certes, cette opposition public-privĂ© correspond Ă une rĂ©alitĂ©, et il est vrai que la politique publique a vu le jour, ou a Ă©tĂ© relancĂ©e, dans des [âŠ] Lire la suiteLONDRES MĂTRO DEĂcrit par Bernard VALADE âą 193 mots âą 1 mĂ©dia Les travaux du chemin de fer mĂ©tropolitain de Londres, le premier au monde, commencĂšrent en 1853. Dix ans plus tard, l' Inner Circle , dont les deux extrĂ©mitĂ©s â Bishop's Gate et Mansion House â sont situĂ©es dans la City, Ă©tait achevĂ©. La ligne de 17 kilomĂštres et comptant vingt et une stations Ă©tait gĂ©rĂ©e par deux compagnies le Metropolitan Railway et le Metropolitan District. Le mĂ©tro londonie [âŠ] Lire la suiteLORRAINEĂcrit par AndrĂ© HUMBERT, RenĂ© TAVENEAUX âą 7 589 mots âą 10 mĂ©dias Dans le chapitre "La Lorraine dans le monde contemporain" ⊠Officiellement province du royaume depuis la mort de Stanislas en 1766, la Lorraine paracheva sous la RĂ©volution son intĂ©gration dans l'unitĂ© française. Ses habitants surent Ă©viter les excĂšs les plus graves et faire la preuve de leur traditionnelle modĂ©ration. Cependant, les paysans, qui depuis longtemps souffraient de l'exiguĂŻtĂ© de la propriĂ©tĂ© terrienne, se fĂ©licitaient de la disparition des red [âŠ] Lire la suiteLOUBET ĂMILE 1838-1929Ăcrit par Universalis âą 307 mots Homme d'Ătat français, nĂ© le 31 dĂ©cembre 1838 Ă Marsanne DrĂŽme, mort le 20 dĂ©cembre 1929 Ă MontĂ©limar. Avocat de formation, Ă©lu dĂ©putĂ© en 1876, Ămile Loubet dĂ©fend la cause rĂ©publicaine et Ćuvre plus particuliĂšrement pour une Ă©cole primaire laĂŻque, gratuite et obligatoire. Ălu au SĂ©nat en 1885, il est ministre des Travaux publics de dĂ©cembre 1887 Ă mars 1888. NommĂ© prĂ©sident du Conseil et minis [âŠ] Lire la suiteLUMIĂRESĂcrit par Jean Marie GOULEMOT âą 7 854 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Rousseau contre Voltaire" ⊠Un tel article montre que l'utilisation des LumiĂšres dans le dĂ©bat idĂ©ologique du siĂšcle n'est pas encore chose acquise. En 1878, la cĂ©lĂ©bration du premier centenaire de la mort de Voltaire et de Rousseau illustre les hĂ©sitations et les limites d'un usage militant. Voltaire est exaltĂ© pour son apologie de la tolĂ©rance, son anticlĂ©ricalisme, son engagement au service de la justice. La franc-maçonn [âŠ] Lire la suiteMADAGASCARĂcrit par Marie Pierre BALLARIN, Chantal BLANC-PAMARD, Hubert DESCHAMPS, Bakoly DOMENICHINI-RAMIARAMANANA, Paul LE BOURDIEC, David RASAMUEL, Universalis âą 35 139 mots âą 11 mĂ©dias Dans le chapitre "La conquĂȘte de Madagascar par la France 1883-1896" ⊠La conquĂȘte par la France s'effectue en deux temps, d'abord dans le cadre d'un protectorat, puis par l'annexion pure et simple ; soit plus d'une dĂ©cennie de dĂ©bats diplomatiques et politiques, et d'actions militaires. En dĂ©cembre 1885, la monarchie merina conclut un premier traitĂ© de protectorat avec la France qui, depuis mai 1883, pratiquait la politique de la canonniĂšre, occupant les ports de Ma [âŠ] Lire la suiteMAGINOT LIGNEĂcrit par Jean DELMAS âą 707 mots âą 1 mĂ©dia Le sĂ©nateur AndrĂ© Maginot Ă©tait ministre de la Guerre depuis trois semaines quand il dĂ©fendit, devant le Parlement, le projet de dĂ©fense des frontiĂšres proposĂ© par ses prĂ©dĂ©cesseurs ; il le fit adopter le 14 janvier 1930. C'est pourquoi il a laissĂ© son nom Ă ce systĂšme de fortification permanente dont la pĂ©nible gestation divisa le Haut Commandement français et dont la fin tragique souligna l'inad [âŠ] Lire la suiteMALON BENOĂT 1841-1893Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 600 mots NĂ© dans une famille de journaliers, BenoĂźt Malon, dĂšs l'Ăąge de sept ans, travaille aux champs. Autodidacte, il monte Ă Paris en 1863 et se fait embaucher dans une teinturerie de Puteaux ; il y anime en 1866 la grande grĂšve des ouvriers teinturiers. AdhĂ©rent Ă l'Internationale dĂšs la crĂ©ation de la section parisienne, il est aussi un partisan de la coopĂ©ration la coopĂ©rative ouvriĂšre de productio [âŠ] Lire la suiteMANDEL GEORGES 1885-1944Ăcrit par CĂ©cile MĂADEL âą 1 012 mots Plus que par sa pensĂ©e ou ses fonctions politiques, Georges Mandel marque l'entre-deux-guerres par sa personnalitĂ© brillant, lucide, influent, courageux, Ă©nergique, combatif, paradoxal, orgueilleux... il n'obtint jamais les postes auxquels ses qualitĂ©s et sa rĂ©putation auraient pourtant dĂ» le conduire. Il conserve encore une notoriĂ©tĂ© sans rapport avec sa carriĂšre. Issu d'une modeste famille jui [âŠ] Lire la suiteMANIFESTATIONĂcrit par Danielle TARTAKOWSKY âą 3 727 mots âą 2 mĂ©dias Dans le chapitre "Un mode de rĂ©gulation des crises" ⊠La France se distingue des deux cas de figure Ă©voquĂ©s plus haut. L'usage intransitif du verbe manifester » s'impose en 1868, son participe prĂ©sent â manifestant â s'Ă©tant substantivĂ© dĂšs 1849 Pierre Joseph Proudhon. Cette prise en compte de l'irruption des masses dans l'espace public anticipe, toutefois, sur l'effective autonomisation de ce mode d'expression politique. Les cortĂšges antĂ©rieurs [âŠ] Lire la suiteMARJOLIN ROBERT 1911-1986Ăcrit par Christian SAUVAGE âą 1 093 mots Ă l'Ă©poque du Front populaire, Robert Marjolin se dĂ©finit Ă la fois comme socialiste et libĂ©ral ». Il explique Le socialisme me paraissait essentiel parce que nous vivions dans une sociĂ©tĂ© inĂ©galitaire qui ne comportait ni salaire minimal, ni sĂ©curitĂ© sociale, ni Ă©ducation gratuite. Et j'Ă©tais libĂ©ral parce que, au fond, j'avais vu les Ătats-Unis, et j'Ă©tais convaincu qu'il n'y avait qu'un s [âŠ] Lire la suiteMARNE PREMIĂRE BATAILLE DE LA 6-12 sept. 1914Ăcrit par Universalis âą 406 mots Offensive conjuguĂ©e, du 6 au 12 septembre 1914, de l'armĂ©e française et du corps expĂ©ditionnaire britannique, la premiĂšre bataille de la Marne arrĂȘte la progression des Allemands qui ont envahi la Belgique et le nord-est de la France et se trouvent alors Ă moins de 50 kilomĂštres de Paris. Cette victoire ruine les plans allemands qui prĂ©voyaient une victoire rapide et totale sur le front de l'Ouest [âŠ] Lire la suiteMARNE SECONDE BATAILLE DE LA 15-18 juill. 1918Ăcrit par Universalis âą 262 mots âą 1 mĂ©dia C'est la derniĂšre grande offensive allemande de la PremiĂšre Guerre mondiale. Fort du succĂšs des quatre vastes offensives qu'il a menĂ©es en France de mars Ă juin 1918, le chef du commandement suprĂȘme allemand, le gĂ©nĂ©ral Ludendorff, en lance une nouvelle, mais cette fois destinĂ©e Ă faire diversion, afin d'Ă©loigner les troupes françaises du front des Flandres oĂč il veut pouvoir porter l'attaque dĂ©ci [âŠ] Lire la suiteMARSEILLAISE LAĂcrit par Guillaume MAZEAU âą 2 921 mots âą 5 mĂ©dias Dans le chapitre "Le chant de la rĂ©sistance rĂ©publicaine" ⊠Sous lâEmpire 1804-1815, La Marseillaise est interdite, au profit du Chant du d Ă©part ou de Veillons au salut de lâEmpire , un hymne rĂ©volutionnaire créé en 1791. La Marseillaise devient alors, et pour longtemps, un chant dâopposition. Sous la Restauration 1814-1830, conformĂ©ment Ă la volontĂ© de Louis XVIII de renouer la chaĂźne des temps », elle est Ă©galement proscrite. On lui prĂ©fĂšre l [âŠ] Lire la suiteMARX KARL 1818-1883Ăcrit par Ătienne BALIBAR, Pierre MACHEREY âą 8 542 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "La Commune de Paris" ⊠La Commune de Paris et ses consĂ©quences immĂ©diates marquent la fin de la premiĂšre pĂ©riode de l'histoire du mouvement ouvrier organisĂ©. Du point de vue de Marx, la guerre franco-allemande de 1870 prĂ©sente un redoutable dilemme â Elle annonce, quelle qu'en soit l'issue, la chute de NapolĂ©on III, la fin du bonapartisme en France et la fin de son influence sur l'Europe elle implique du mĂȘme coup [âŠ] Lire la suiteMAURRAS CHARLES 1868-1952Ăcrit par Pierre-Robert LECLERCQ âą 1 416 mots âą 2 mĂ©dias Arrivant Ă Paris, aprĂšs de brillantes Ă©tudes au collĂšge religieux d'Aix, le jeune Charles Maurras, d'une famille de petite bourgeoisie provençale, dĂ©bute obscurĂ©ment dans le journalisme. Quatre ans plus tard, dans la royaliste Gazette de France , il fera vraiment ses premiĂšres armes ; mais de dix-huit Ă vingt-deux ans, ce qui le prĂ©occupe surtout c'est la foi religieuse perdue et la fascination de [âŠ] Lire la suiteMĂDITERRANĂE HISTOIRE DE LAĂcrit par AndrĂ© BOURDE, Georges DUBY, Claude LEPELLEY, Jean-Louis MIĂGE, Universalis âą 18 454 mots âą 12 mĂ©dias Dans le chapitre "Au temps du partage colonial 1875-1914" ⊠La volontĂ© britannique d'Ă©carter la France du Nil et la Russie du Bosphore, si nettement marquĂ©e durant tout le siĂšcle, s'affirme Ă l'occasion de la crise orientale, nĂ©e de la rĂ©volte des sujets orthodoxes de l'Empire ottoman 1876-1878. Ă chaque grande puissance une zone d'influence . Disraeli, qui avait dĂšs 1875 rachetĂ© au khĂ©dive IsmÄ'Ä«l, endettĂ©, ses actions du canal de Suez, se fait cĂ©der pa [âŠ] Lire la suiteMICHELIN ALFRED 1883-1975Ăcrit par Pierre LIMAGNE âą 777 mots Lorrain de cĆur et de tempĂ©rament, Alfred Michelin, nĂ© Ă Wassu Haute-Marne, a passĂ© une bonne partie de sa jeunesse dans le sud-ouest de la France, oĂč son pĂšre, qui appartenait Ă la fonction publique, avait Ă©tĂ© mutĂ©. AprĂšs ses Ă©tudes secondaires au lycĂ©e de Bordeaux, il entame ses Ă©tudes universitaires dans cette ville, et les poursuit Ă Paris, notamment Ă la Sorbonne. LicenciĂ© Ăšs lettres, lice [âŠ] Lire la suiteMOCH JULES 1893-1985Ăcrit par Jean-Claude MAITROT âą 1 388 mots Grande figure du socialisme français du xx e siĂšcle, Jules Moch adhĂ©ra en octobre 1924 Ă la de LĂ©on Blum, dont il Ă©pousa l'essentiel des idĂ©es, pour dĂ©missionner, le 31 dĂ©cembre 1974, du Parti socialiste de François Mitterrand, dont il contestait la politique d'union de la gauche. Pendant prĂšs de cinquante ans, il occupa au sein de son parti une place Ă©minente qui lui valut d'ĂȘtre de n [âŠ] Lire la suiteMODERNISME, catholicismeĂcrit par Ămile POULAT âą 5 231 mots Dans le chapitre "En France" ⊠En France, de façon schĂ©matique, on peut distinguer trois tendances majeures les progressistes se persuadent qu'une telle conversion se limite Ă la maĂźtrise d'une discipline, sans mettre en cause l'Ă©difice thĂ©ologique Mgr Batiffol, le pĂšre Lagrange, le pĂšre de Grandmaison ; les modernistes pensent qu'elle impose une rĂ©vision profonde des idĂ©es reçues et, corrĂ©lativement, du rĂ©gime intellect [âŠ] Lire la suiteMONNET JEAN 1888-1979Ăcrit par Pierre GERBET âą 2 052 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Une mĂ©thode dâaction" ⊠Il n'Ă©tait ni un intellectuel, ni un technocrate, ni un politicien, mais avant tout un homme d'action qui rĂ©flĂ©chissait sur son action et avait trĂšs tĂŽt Ă©laborĂ© une mĂ©thode ». Durant la PremiĂšre Guerre mondiale, membre de la mission commerciale française de Londres, il avait Ă©tĂ© frappĂ© par l'incohĂ©rence de la politique des AlliĂ©s dans le domaine du ravitaillement. Il suggĂ©ra la mise en commun d [âŠ] Lire la suiteMONUMENTS AUX MORTSĂcrit par Oonagh HAYES âą 3 302 mots âą 4 mĂ©dias En France, quand on parle des monuments aux morts, on fait rĂ©fĂ©rence Ă un type de monuments commĂ©moratifs Ă©rigĂ©s au lendemain de la PremiĂšre Guerre mondiale dans presque toutes les communes du pays. Ils sont avant tout une expression collective de deuil. Mais ils rĂ©vĂšlent aussi le langage symbolique utilisĂ© pour reprĂ©senter ce deuil par et pour les contemporains des annĂ©es 1920, et le message qu [âŠ] Lire la suiteMUNICH ACCORDS DEĂcrit par Georges-Henri SOUTOU âą 906 mots âą 5 mĂ©dias Avec le rattachement au Reich des trois millions d'Allemands des SudĂštes, les accords de Munich du 29 septembre 1938 marquent une Ă©tape dĂ©cisive dans le programme d'expansion de l'Allemagne nazie. Avant l'Anschluss, les revendications de ces derniers ne portaient que sur un degrĂ© plus large d'autonomie. Mais, le 24 avril 1938, un congrĂšs des Allemands des SudĂštes prĂ©sidĂ© par Henlein rĂ©clame la cr [âŠ] Lire la suiteMUTINS DE LA MER NOIREĂcrit par RenĂ© LEMARQUIS âą 998 mots âą 1 mĂ©dia En 1919, et particuliĂšrement en avril, des mutineries de marins français Ă©clatent en mer Noire. Quelle Ă©tait la situation dans cette Russie mĂ©ridionale un an aprĂšs octobre 1917 ? La Russie connaĂźt Ă la fois la guerre civile et l'intervention Ă©trangĂšre. En Ukraine, les Allemands soutiennent l' hetman Skoropadski qui sera vite Ă©liminĂ© par Petlioura. Plus au sud, opĂšre le gĂ©nĂ©ral blanc Denikine. D'a [âŠ] Lire la suiteNATALISMEĂcrit par HervĂ© LE BRAS âą 2 744 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Origine du natalisme" ⊠Beaucoup de populations traditionnelles et de rĂ©gimes politiques anciens ont Ă©tĂ© favorables Ă une natalitĂ© Ă©levĂ©e, mais le natalisme en tant que doctrine politique et d'Ătat n'apparaĂźt qu'Ă la fin du xix e siĂšcle en France. On a souvent mis cette naissance du natalisme en rapport avec la baisse prĂ©coce de la natalitĂ© en France en 1896 et 1897, les dĂ©cĂšs dĂ©passĂšrent les naissances et avec la dĂ© [âŠ] Lire la suiteOLYMPIADES POPULAIRESĂcrit par Pierre LAGRUE âą 1 134 mots Le mouvement sportif ne s'est pas structurĂ© en Ă©pousant unanimement les idĂ©es de Pierre de Coubertin. En effet, durant le premier xx e siĂšcle, les organisations ouvriĂšres internationales refusent l'approche Ă©litiste du baron. Le se voit prĂ©sentĂ© par celles-ci comme un ramassis d'aristocrates et de bourgeois » qui, sous couvert d'universalisme, prĂŽne le libĂ©ralisme et le colonialisme et [âŠ] Lire la suiteOPINION PUBLIQUEĂcrit par Patrick CHAMPAGNE âą 5 005 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "L'opinion publique et le suffrage universel" ⊠L'adoption du suffrage universel masculin en 1848 qui fait entrer l'ensemble de la population masculine dans le jeu politique actif va inĂ©vitablement entraĂźner un changement dans le contenu de la notion comme dans ses usages et ĂȘtre au principe d'un nouvel Ă©tat. Sans doute les Ă©lus revendiquent-ils toujours le privilĂšge de connaĂźtre les attentes de leurs Ă©lecteurs et par lĂ estiment-ils ĂȘtre com [âŠ] Lire la suitePARISĂcrit par Jean-Pierre BABELON, Michel FLEURY, FrĂ©dĂ©ric GILLI, Daniel NOIN, Jean ROBERT, Simon TEXIER, Jean TULARD âą 32 119 mots âą 21 mĂ©dias Dans le chapitre "Les occasions manquĂ©es de l'extension" ⊠Si plusieurs plans sont Ă©tudiĂ©s avant la PremiĂšre Guerre mondiale â signĂ©s EugĂšne HĂ©nard en 1910, puis HĂ©nard, Donat-Alfred Agache et Henri Prost en 1912 â, l'annĂ©e 1919 marque le vĂ©ritable acte de naissance de la rĂ©flexion sur le Grand Paris, avec la concomitance du vote de la loi Cornudet, qui impose aux villes françaises un plan d'amĂ©nagement, d'embellissement et d'extension, et le dĂ©mantĂšleme [âŠ] Lire la suitePARIS JEUX OLYMPIQUES DE [1900] Contexte, organisation, bilanĂcrit par Pierre LAGRUE âą 2 144 mots Lors du congrĂšs de la Sorbonne, en juin 1894, Pierre de Coubertin avait souhaitĂ© que les premiers jeux Olympiques de l'Ăšre moderne se tiennent Ă Paris, en 1900. Dimitrios Vikelas le prit de vitesse, proposa un autre lieu â AthĂšnes bien sĂ»r â et d'avancer la date de l'Ă©vĂ©nement Ă 1896. Il fut Ă©coutĂ© et la capitale grecque, malgrĂ© des difficultĂ©s de tous ordres, releva le dĂ©fi avec un succĂšs certai [âŠ] Lire la suitePARTI DĂMOCRATE POPULAIRE, France 1924-1940Ăcrit par RenĂ© RĂMOND âą 432 mots Petite formation politique française constituĂ©e au lendemain des Ă©lections de 1924, le Parti dĂ©mocrate populaire regroupe une partie des dĂ©mocrates d'inspiration chrĂ©tienne qui ont en commun de vouloir rapprocher le catholicisme et la dĂ©mocratie. Restent en dehors, Ă sa gauche, la Jeune RĂ©publique, qui suit les positions de Marc Sangnier, et, sur sa droite, des catholiques rĂ©publicains socialement [âŠ] Lire la suitePARTI RADICAL, FranceĂcrit par Jean MENDELSON âą 1 250 mots L'organisation dite communĂ©ment Parti radical se nomme en rĂ©alitĂ© Parti rĂ©publicain radical et radical-socialiste. Ă sa naissance, le 21 juin 1901 Ă Paris, ce parti hĂ©rite de la tradition des divers comitĂ©s radicaux dont le programme avait Ă©tĂ© exprimĂ© par Gambetta Belleville, 1869 puis par Clemenceau Montmartre, 1881 ; plusieurs radicaux avaient dĂ©jĂ Ă©tĂ© prĂ©sidents du Conseil Ferdinand Buisso [âŠ] Lire la suitePARTI SOCIAL FRANĂAIS par Jacques NOBĂCOURT âą 691 mots Créé le 29 juin 1936 sur les traces du mouvement Croix-de-Feu, dissous en vertu de la loi du 10 janvier 1936 interdisant les ligues » qualifiĂ©es de paramilitaires, le Parti social français devient Ă la veille de la Seconde Guerre mondiale le premier parti de masses dans l'histoire de la RĂ©publique, dĂ©passant le Parti communiste, avec bien plus d'un million de membres, en dĂ©pit des assau [âŠ] Lire la suitePCF Parti communiste françaisĂcrit par Bernard PUDAL âą 7 133 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Le congrĂšs de Tours et son sens dĂ©cembre 1920" ⊠Dans la conjoncture de l'aprĂšs-PremiĂšre Guerre mondiale, marquĂ©e par une intense mobilisation sociale les grĂšves de 1920 et intellectuelle, naĂźt Ă Tours en dĂ©cembre 1920, Ă la suite d'une scission majoritaire de la sur la question de l'adhĂ©sion Ă l'Internationale communiste fondĂ©e en 1919 Ă Moscou, un Parti socialiste Section française de l'Internationale communiste qui ne deviend [âŠ] Lire la suitePELLOUTIER FERNAND 1867-1901Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 334 mots Fils d'un fonctionnaire des postes, Pelloutier est nĂ© Ă Paris. Il fait ses Ă©tudes au petit sĂ©minaire de GuĂ©rande puis au collĂšge de Saint-Nazaire. Ayant Ă©chouĂ© au baccalaurĂ©at, il se consacre au journalisme et collabore Ă un journal local, La DĂ©mocratie de l'Ouest , oĂč il rencontre Aristide Briand. Devenu rĂ©dacteur en chef en 1892, il adhĂšre au Parti ouvrier français de Guesde et contribue Ă la fo [âŠ] Lire la suitePĂTAIN PHILIPPE 1856-1951Ăcrit par Jean-Marie GUILLON âą 2 394 mots âą 2 mĂ©dias Il est peu de personnages de l'histoire de France qui auront connu Ă un tel degrĂ© la gloire, puis le discrĂ©dit. Et celui-ci, loin de s'attĂ©nuer avec le temps, s'est renforcĂ© au fur et Ă mesure que disparaissaient les gĂ©nĂ©rations qui, l'ayant connu triomphant, lui gardaient de l'indulgence. L'image du marĂ©chal PĂ©tain est, aujourd'hui , tout Ă fait ternie, sauf dans quelques milieux d'extrĂȘme droite [âŠ] Lire la suitePETIT PARISIEN LEĂcrit par Pierre ALBERT âą 580 mots Dans le style des journaux Ă cinq centimes dont Le Petit Journal offre le prestigieux modĂšle, Le Petit Parisien naĂźt en 1876. De tendance radicale et anticlĂ©ricale, il a des dĂ©buts difficiles et change plusieurs fois de propriĂ©taire et de ligne politique. En 1881, il tire Ă 50 000 exemplaires ; en 1884, Ă 100 000, et il passe Ă 150 000 en 1886 alors qu'il dĂ©fend la cause boulangiste. Le succĂšs n [âŠ] Lire la suitePLANISMEĂcrit par Arnaud JACOMET âą 990 mots Mouvement qui s'inscrit dans un courant de pensĂ©e diffus, prenant sa source et Ă©tendant ses ramifications dans des partis, syndicats et groupes de pression diversement situĂ©s sur l'Ă©chiquier politique, le planisme fut un des Ă©lĂ©ments idĂ©ologiques de l'accession au pouvoir des technocrates dans la France des annĂ©es trente. La PremiĂšre Guerre mondiale avait accĂ©lĂ©rĂ© la prise de conscience d'une clas [âŠ] Lire la suitePOLICE FRANĂAISE HISTOIRE DE LAĂcrit par Jean-Marc BERLIĂRE âą 3 672 mots Dans le chapitre "L'invention d'un modĂšle rĂ©publicain" ⊠Avec la III e RĂ©publique 1870-1940 â le premier rĂ©gime dĂ©mocratique de longue durĂ©e que la France a connu â, des conditions nouvelles se crĂ©ent et des problĂšmes inĂ©dits se posent ceux d'une dĂ©mocratie parlementaire confrontĂ©e, sans grande prĂ©paration ni rĂ©flexion prĂ©alables, aux tensions et contradictions qui sĂ©parent les aspirations des LumiĂšres mises en Ćuvre dans les textes et mesures des [âŠ] Lire la suitePOLICE SOUS LA IIIĂš RĂPUBLIQUEĂcrit par Jean-Marc BERLIĂRE âą 4 202 mots âą 1 mĂ©dia La III e RĂ©publique 1870-1940, qui naĂźt dans un contexte difficile â guerre, invasion, occupation â, doit construire, sans grande prĂ©paration ni rĂ©flexion prĂ©alables, une police adaptĂ©e Ă une dĂ©mocratie parlementaire. Les rĂ©publicains ont-ils rĂ©ussi Ă respecter la loi des lois » que constitue la DĂ©claration des droits de l'homme et du citoyen, selon laquelle la force publique, instituĂ©e po [âŠ] Lire la suitePOSSIBILISMEĂcrit par Paul CLAUDEL âą 394 mots Au sein de ce qui allait s'appeler le Parti ouvrier français, fondĂ© en 1879, s'est formĂ©e une tendance opposĂ©e Ă l'orientation marxiste prĂŽnĂ©e par Jules Guesde et Paul Lafargue. Conduits par Paul Brousse, Jean Allemane et Jules Joffrin, ses membres dĂ©cident de se sĂ©parer des guesdistes lors du congrĂšs de Saint-Ătienne 1882 et crĂ©ent la FĂ©dĂ©ration des travailleurs socialistes de France. Ils affir [âŠ] Lire la suitePOUGET ĂMILE 1860-1931Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 301 mots NĂ© Ă Rodez, Pouget est Ă©levĂ© dans une famille de rĂ©publicains militants. MontĂ© Ă Paris en 1875, il travaille comme employĂ© dans un magasin de nouveautĂ©s et frĂ©quente les groupes politiques avancĂ©s, notamment anarchistes. En 1879, il fonde le premier syndicat d'employĂ©s. Sa participation, avec Louise Michel, Ă la manifestation parisienne contre le chĂŽmage, en 1883, lui vaut huit ans de prison pour [âŠ] Lire la suitePREMIĂRE GUERRE MONDIALE, en brefĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 207 mots âą 1 mĂ©dia En 1914, les tensions sont extrĂȘmes en Europe. Elles tiennent essentiellement Ă l'inadĂ©quation entre les frontiĂšres des Ătats et les vĆux formulĂ©s par les diffĂ©rentes nations. L'assassinat, le 28 juin 1914, de l'archiduc hĂ©ritier d'Autriche-Hongrie par un Bosniaque dĂ©sireux que sa nation soit rattachĂ©e Ă l'Ătat serbe est le dĂ©clencheur de la guerre, un complexe jeu d'alliances faisant entrer dans [âŠ] Lire la suitePREMIĂRE GUERRE MONDIALE repĂšres chronologiquesĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 207 mots 28 juin 1914 Ă Sarajevo, assassinat de l'archiduc d'Autriche François-Ferdinand par Gavrilo Princip. 3 aoĂ»t 1914 L'Allemagne dĂ©clare la guerre Ă la France ; les troupes allemandes entrent en Belgique. 6-13 septembre 1914 Bataille de la Marne ; les Allemands sont stoppĂ©s Ă quelques kilomĂštres de Paris. 25 avril 1915 DĂ©barquement d'un corps expĂ©ditionnaire alliĂ© aux Dardanelles. 23 mai 1915 Ent [âŠ] Lire la suitePROCHE ET MOYEN-ORIENT CONTEMPORAINĂcrit par Nadine PICAUDOU, Aude SIGNOLES âą 21 426 mots âą 23 mĂ©dias Dans le chapitre "Balkanisation du Proche-Orient" ⊠L'effondrement de l'Empire ottoman, au lendemain de la PremiĂšre Guerre mondiale, peut apparaĂźtre comme l'aboutissement logique des processus dissolvants que nous avons vus Ă l'Ćuvre tout au long du xix e siĂšcle. Il n'en est pas moins prĂ©cipitĂ© par la dĂ©faite militaire consĂ©cutive au choix de l'alliance allemande. DĂšs lors, les anciens tenants de l'intĂ©gritĂ© ottomane se rĂ©vĂ©leront les adversaires [âŠ] Lire la suitePROCLAMATION DE LA IIIe RĂPUBLIQUEĂcrit par Sylvain VENAYRE âą 191 mots âą 1 mĂ©dia Le 2 septembre 1870, Ă Sedan, la dĂ©faite des armĂ©es françaises face aux armĂ©es prussiennes sonne le glas du second Empire. Deux jours plus tard, la III e RĂ©publique est proclamĂ©e Ă Paris et un gouvernement provisoire est mis en place. La volontĂ© des rĂ©publicains de continuer la guerre ne peut cependant empĂȘcher la dĂ©faite militaire. C'est dans ces conditions difficiles qu'est Ă©lue, le 8 fĂ©vrier 1 [âŠ] Lire la suitePROTECTION SOCIALEĂcrit par Vincent VIET âą 4 332 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Naissances des Ătats-providence" ⊠Une chose est sĂ»re toutes les formes et techniques de protection, aujourd'hui identifiĂ©es, Ă©taient connues et pratiquĂ©es en Europe occidentale dĂšs avant 1914. Mais leur coexistence dans un pays donnĂ© ne permet pas de conclure Ă la rĂ©alitĂ© d'un Ătat-providence oĂč, pour bĂ©nĂ©ficier du droit aux prestations ou aux allocations, il suffit de relever de catĂ©gories prĂ©dĂ©finies malade, invalide, retrait [âŠ] Lire la suitePROUST ANTONIN 1832-1905Ăcrit par VĂ©ronique PREST âą 1 194 mots Artiste, critique, commissaire d'expositions, collectionneur, dĂ©putĂ©, Antonin Proust fut, en France, le premier ministre des Arts en 1881, avant Malraux 1959, avant Jack Lang qui en revendiquait, lors de son ministĂšre, un siĂšcle plus tard, la filiation. Il eut le premier, dans l'histoire de la politique culturelle française, la conviction qu'il fallait, pour avoir un ministĂšre de la Culture fort [âŠ] Lire la suitePUJO MAURICE 1872-1955Ăcrit par Pierre-Robert LECLERCQ âą 202 mots Ă vingt ans, Maurice Pujo fonde une revue d'art, L'Art et la Vie . L'affaire Dreyfus le jette dans la vie politique et, en 1898, il crĂ©e avec Henri Vaugeois un ComitĂ© d'action française, qui n'est d'abord qu'un banal comitĂ© Ă fins Ă©lectorales. L'annĂ©e suivante, rencontrant Maurras, ils lancent Ă eux trois l'Action française. DĂšs lors, sous l'influence de Maurras, Pujo devient royaliste. Journalist [âŠ] Lire la suiteRALLIEMENTĂcrit par Xavier de MONTCLOS âą 766 mots Le nom de ralliement » fut donnĂ© Ă la nouvelle direction politique que LĂ©on XIII indiqua aux catholiques français en les engageant Ă accepter le rĂ©gime rĂ©publicain. Les prodromes du ralliement datent des annĂ©es 1879-1880. Lorsque les rĂ©publicains, parvenus au pouvoir, commencĂšrent Ă appliquer leur programme de laĂŻcisation, le Saint-SiĂšge conseilla Ă certains leaders catholiques d'abandonner tact [âŠ] Lire la suiteRAVACHOL FRANĂOIS CLAUDIUS KĆNIGSTEIN dit 1859-1892Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 557 mots De son vrai nom KĆnigstein, Ravachol naĂźt dans une famille ouvriĂšre de Saint-Chamond. La misĂšre et les dĂ©saccords familiaux entraĂźnent le pĂšre, hollandais d'origine, Ă abandonner le foyer, et Ă l'Ăąge de huit ans Ravachol est placĂ© » Ă la campagne pendant la belle saison ; l'hiver, il retourne Ă l'Ă©cole. AprĂšs quelques annĂ©es d'apprentissage, il devient ouvrier teinturier ; Ă dix-huit ans, il lit [âŠ] Lire la suiteREYNAUD PAUL 1878-1966Ăcrit par Solange MARIN âą 593 mots âą 1 mĂ©dia De Gaulle a dit de lui qu'il fut un homme injustement broyĂ© par des Ă©vĂ©nements excessifs ». L'homme politique a pourtant du talent. PersonnalitĂ© du centre droit, Paul Reynaud possĂšde des talents d'Ă©conomiste et il ose mettre en Ćuvre ses idĂ©es. Avocat, Ă©lu dĂ©putĂ© des Basses-Alpes en 1919, puis, Ă partir de 1928, du II e arrondissement de Paris jusqu'en 1940, il est tour Ă tour ministre des Fina [âŠ] Lire la suiteRURAL DROITĂcrit par Joseph HUDAULT âą 4 864 mots Dans le chapitre "La lĂ©gislation complĂ©mentaire du Code civil" ⊠Les interventions du lĂ©gislateur entre 1804 et 1945 sont restĂ©es fort limitĂ©es quelques amĂ©liorations sur certains contrats de location d'immeuble, quelques crĂ©ations d'importance mais dans des domaines ponctuels. En ce qui concerne les amĂ©liorations, on peut citer la loi du 18 juillet 1889 sur le mĂ©tayage ou colonat partiaire ou encore la loi du 8 fĂ©vrier 1897 sur le bail Ă domaine congĂ©able o [âŠ] Lire la suiteSECONDE GUERRE MONDIALE repĂšres chronologiquesĂcrit par Vincent GOURDON âą 472 mots 7-8 juillet 1937 Incident au pont Marco-Polo, prĂšs de PĂ©kin, entre Chinois et Japonais. Dans les jours qui suivent, les Japonais entament la conquĂȘte de la Chine. 1 er septembre 1939 L'armĂ©e allemande entre en Pologne. Français et Britanniques mobilisent le lendemain et dĂ©clarent la guerre Ă l'Allemagne le 3. 17 juin 1940 Quelques jours aprĂšs la dĂ©claration de guerre de l'Italie au cĂŽtĂ© de l'A [âŠ] Lire la suiteSĂPARATION DES ĂGLISES ET DE L'ĂTAT, en brefĂcrit par Wanda MASTOR âą 231 mots Sous le Directoire, un dĂ©cret du 3 ventĂŽse an III 21 janv. 1795 avait posĂ© le principe de sĂ©paration des cultes et de l'Ătat. Mais celui-ci allait ĂȘtre de courte durĂ©e, le Concordat conclu entre NapolĂ©on et le Saint-SiĂšge restaurant les liens juridiques entre les deux autoritĂ©s. La loi du 9 dĂ©cembre 1905 met fin Ă la pĂ©riode concordataire ouverte en 1801 en instaurant, sans le mentionner, le pri [âŠ] Lire la suiteSFIO Section française de l'Internationale ouvriĂšreĂcrit par François BROUSSE, Universalis âą 1 522 mots AprĂšs la dĂ©faite de la Commune, le mouvement ouvrier français est rĂ©duit au silence pendant plusieurs annĂ©es, puis, Ă partir de 1876, se tiennent des congrĂšs ouvriers regroupant des dĂ©lĂ©guĂ©s de syndicats et de coopĂ©ratives, auxquels se joignent bientĂŽt des reprĂ©sentants des groupes d'Ă©tudes socialistes animĂ©s notamment par Jules Guesde. Sous l'impulsion de ces derniers, le CongrĂšs ouvrier de Marse [âŠ] Lire la suiteSOCIALISME Histoire des mouvements socialistes 1870-1914Ăcrit par Daniel LIGOU âą 8 110 mots âą 6 mĂ©dias Dans le chapitre "Dispersion et rĂ©union du socialisme français" ⊠Le socialisme français est divisĂ© en factions rivales jusqu'en 1905 ; Ă cette date, l'essentiel de ses forces s'unifie au sein du Parti socialiste, section française de l'Internationale ouvriĂšre Dans l'ensemble, sa puissance ne cesse de croĂźtre au cours de cette Ă©poque. Enfin, il possĂšde en Jules Guesde et surtout en Jean JaurĂšs deux hommes de tout premier plan. La rĂ©pression qui suiv [âŠ] Lire la suiteSOCIALISME Social-dĂ©mocratieĂcrit par Philippe MARLIĂRE âą 10 078 mots âą 4 mĂ©dias Dans le chapitre "Du mot Ă la rĂ©alitĂ©" ⊠D'obĂ©dience sociale-dĂ©mocrate, la I re Internationale 1864-1876, premiĂšre organisation politique du mouvement ouvrier, revendique la conquĂȘte du pouvoir politique. La classe ouvriĂšre se dote pour la premiĂšre fois de structures de masse nationales, rĂ©volutionnaires car fortement influencĂ©es par le marxisme. Elle devient ainsi un acteur politique Ă part entiĂšre. L'enfance sociale-dĂ©mocrate est d [âŠ] Lire la suiteSOLIDARISMEĂcrit par Jean MENDELSON âą 688 mots Doctrine politique dont le principal thĂ©oricien est le politicien radical français LĂ©on Bourgeois 1851-1925. Bien qu'il ait son origine historique chez le socialiste français Pierre Leroux 1797-1871, le solidarisme se rattache aux courants de pensĂ©e du xix e siĂšcle en marge du socialisme. L'influence de Leroux fut trĂšs grande vers 1840, celui-ci voulant remplacer la charitĂ© du christianisme [âŠ] Lire la suiteSOMME PREMIĂRE BATAILLE DE LA 1er nov. 1916Ăcrit par Universalis âą 258 mots âą 1 mĂ©dia La premiĂšre bataille de la Somme se solda par une offensive coĂ»teuse et sans grand succĂšs sur le front ouest, pendant la PremiĂšre Guerre mondiale. Les Allemands occupaient des zones de tranchĂ©es abritĂ©es, situĂ©es Ă des points stratĂ©giques, lorsque les Français et les Britanniques lancĂšrent leur attaque sur un front de 34 kilomĂštres au nord de la Somme. Des bombardements d'artillerie d'une semaine [âŠ] Lire la suiteSOMME SECONDE BATAILLE DE LA 21 mars-5 avril 1918Ăcrit par Universalis âą 320 mots âą 1 mĂ©dia Ăgalement connue sous le nom de bataille de Saint-Quentin, la seconde bataille de la Somme est une offensive allemande en partie rĂ©ussie, lancĂ©e contre les forces alliĂ©es du front Ouest Ă la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale . Le commandant en chef allemand, le gĂ©nĂ©ral Erich Ludendorff, pensait qu'il Ă©tait vital pour l'Allemagne d'utiliser les soldats que l'effondrement de la Russie avait libĂ©rĂ©s [âŠ] Lire la suiteSPORT Disciplines Le rugbyĂcrit par Pierre LAGRUE âą 9 416 mots âą 5 mĂ©dias Dans le chapitre "Du schisme » de 1895 au Tournoi des cinq nations" ⊠La multiplication de ces confrontations posait le problĂšme de l'amateurisme des joueurs. Le 29 aoĂ»t 1895, vingt-deux clubs fondent la Northern Football Union et autorisent le principe du manque Ă gagner », autrement dit de sa compensation. Ils quittent la Football Rugby Union. Ils vont dĂ©velopper une nouvelle forme de jeu le rugby Ă XIII, entiĂšrement professionnel. La s'arc-boute en 1 [âŠ] Lire la suiteSYRIEĂcrit par Fabrice BALANCHE, Jean-Pierre CALLOT, Philippe DROZ-VINCENT, Philippe RONDOT, Charles SIFFERT, Universalis âą 37 006 mots âą 12 mĂ©dias Dans le chapitre "FaysÄl Ă Damas" ⊠Les troupes d'Allenby avaient Ă©tĂ© soutenues par une armĂ©e bĂ©douine que commandait le prince FaysÄl, fils du chĂ©rif de La Mecque. C'est cette armĂ©e qui avait pris Damas le 1 er octobre. En mars 1920, FaysÄl, s'appuyant sur les promesses faites par les Anglais Ă son pĂšre d'un grand royaume arabe » s'Ă©tendant Ă toutes les possessions arabes de l'Empire ottoman, rĂ©unit Ă Damas un congrĂšs gĂ©nĂ©ral sy [âŠ] Lire la suiteTARDIEU ANDRĂ 1876-1945Ăcrit par Universalis âą 386 mots Homme politique français, nĂ© le 22 septembre 1876 Ă Paris, mort le 15 septembre 1945 Ă Menton. Grand bourgeois nĂ© dans une vieille famille parisienne de graveurs, AndrĂ© Pierre Gabriel AmĂ©dĂ©e Tardieu Ă©tudie Ă l'Ăcole normale supĂ©rieure. AprĂšs avoir servi dans le corps diplomatique, il Ă©tablit sa rĂ©putation en tant que journaliste du Temps , spĂ©cialisĂ© dans la politique Ă©trangĂšre. Ălu Ă la Chambre d [âŠ] Lire la suiteTCHADĂcrit par Marielle DEBOS, Jean-Pierre MAGNANT, Roland POURTIER, Universalis âą 9 797 mots âą 8 mĂ©dias Dans le chapitre "L'Ă©poque coloniale" ⊠Le 22 avril 1900, les colonnes françaises venues d'Alger mission Foureau-Lamy et de Dakar mission Joalland-Meynier se joignent Ă celle qui vient de Brazzaville et, sous les ordres d'Ămile Gentil, Ă©crasent l'armĂ©e de Rabeh Ă la bataille de Kousseri. Ă partir des bases Ă©tablies le long du Chari Fort-Archambault, Fort-Lamy, la conquĂȘte s'engage la rĂ©sistance des Sar prend fin en 1905 Ă la mor [âŠ] Lire la suiteTCHĂCOSLOVAQUIEĂcrit par Marie-Elizabeth DUCREUX, Michel LARAN, Jacques RUPNIK âą 12 946 mots âą 11 mĂ©dias Dans le chapitre "DĂ©membrement et effondrement 1938-1939" ⊠La politique extĂ©rieure fut dirigĂ©e par BeneĆĄ de façon continue et en conformitĂ© avec les vues gĂ©nĂ©rales de Masaryk ; elle visait Ă la conservation du statu quo et de la paix, qu'il dĂ©fendit Ă la SociĂ©tĂ© des Nations face aux menaces que reprĂ©sentaient Ă la fois le communisme soviĂ©tique et les aspirations rĂ©visionnistes des vaincus Allemagne, Hongrie. Ă cet effet, la TchĂ©coslovaquie comptait ess [âŠ] Lire la suiteTEMPS LEĂcrit par Pierre Albin MARTEL âą 345 mots Journal qui n'est plus guĂšre connu aujourd'hui que comme l'antĂ©cĂ©dent du Monde . Le titre en Ă©tait apparu en 1829, mais c'est en 1861 qu'il renaĂźt pour devenir, aprĂšs avoir Ă©tĂ© modĂ©rĂ©ment oppositionnel sous l'Empire, l'organe le plus influent sous la III e RĂ©publique, prenant la place jusqu'alors tenue par le Journal des dĂ©bats . Parmi ses directeurs, du fondateur Auguste Nefftzer Ă Jacques Chast [âŠ] Lire la suiteTESSIER GASTON 1887-1960Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 504 mots NĂ© Ă Paris, d'origine bretonne, Tessier est Ă seize ans employĂ© dans une maison de commerce. Il frĂ©quente les cercles d'Ă©tudes des Ćuvres de jeunesse catholique et il rencontre Marc Sangnier dont il deviendra le disciple et l'ami. En 1905 il adhĂšre au syndicat des employĂ©s du commerce et de l'industrie ; celui-ci a Ă©tĂ© fondĂ© en 1887 par les frĂšres des Ăcoles chrĂ©tiennes. D'une association qui vise [âŠ] Lire la suiteTHOREZ MAURICE 1900-1964Ăcrit par Annette WIEVIORKA âą 1 438 mots AprĂšs le dĂ©cĂšs de Maurice Thorez le 12 juillet 1964 sur le paquebot Litva qui lâemmenait pour ses vacances sur les bords de la mer Noire, Jeannette Vermeersch, sa seconde Ă©pouse, Ă©crivait Ă Nikita Khrouchtchev, alors premier secrĂ©taire du Parti communiste de lâUnion soviĂ©tique Maurice est mort Ă Istanbul. Câest comme le symbole de sa vie, dâune vie entre deux mers, dâune vie entre les deux pa [âŠ] Lire la suiteTOURS CONGRĂS DEĂcrit par Paul CLAUDEL âą 992 mots Le XVIII e congrĂšs du Parti socialiste unifiĂ©, section française de l'Internationale ouvriĂšre, s'ouvre le 25 dĂ©cembre 1920 Ă Tours, salle du ManĂšge. L'enjeu en est clair le parti adhĂ©rera-t-il ou n'adhĂ©rera-t-il pas Ă la III e Internationale, fondĂ©e par les rĂ©volutionnaires russes en 1919. Quelle que soit l'issue du vote, les dĂ©lĂ©guĂ©s au congrĂšs savent que la minoritĂ© ne pourra rester dans le [âŠ] Lire la suiteTRANCHĂES DE VERDUNĂcrit par Pascal LE PAUTREMAT âą 279 mots âą 1 mĂ©dia La bataille de Verdun, vĂ©ritable lutte d'Ă©puisement, se dĂ©clenche le 21 fĂ©vrier 1916, avec l'attaque allemande, et reste particuliĂšrement intense pendant prĂšs de quatre mois. Les Allemands cherchent Ă s'emparer des forts et des positions stratĂ©giques situĂ©s au nord de la Meuse. De fĂ©vrier Ă mai 1916, le gĂ©nĂ©ral Philippe PĂ©tain rĂ©ussit Ă contenir l'avancĂ©e de la V e armĂ©e allemande commandĂ©e par l [âŠ] Lire la suiteTRIPLICE ou TRIPLE ALLIANCEĂcrit par Jean-Pierre MOUSSON-LESTANG âą 492 mots Alliance conclue le 20 mai 1882 entre l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie et l'Italie. DĂ©jĂ assurĂ© du concours autrichien depuis la Duplice de 1879, puis de la neutralitĂ© de la Russie depuis le renouvellement de l'entente des trois empereurs en juin 1881, Bismarck souhaitait faire entrer l'Italie dans son systĂšme ». L'Allemagne, en effet, dans le cas d'un conflit avec la France, ne pouvait compter s [âŠ] Lire la suiteTROISIĂME RĂPUBLIQUEĂcrit par Louis GIRARD âą 14 492 mots âą 23 mĂ©dias FondĂ©e en rĂ©action contre le second Empire, la troisiĂšme RĂ©publique, Ă bien des Ă©gards, continue l'Empire de NapolĂ©on III. Comme ce dernier, elle est portĂ©e par la vague du progrĂšs scientifique et technique, par l'avĂšnement d'une civilisation industrielle dont les expositions universelles de Paris 1878, 1895, 1900 illustrent la croissance. Jusqu'en 1914, la stabilitĂ© du franc favorise l'Ă©pargne [âŠ] Lire la suiteTUNISIEĂcrit par Michel CAMAU, Roger COQUE, Jean GANIAGE, Claude LEPELLEY, Robert MANTRAN, Khadija MOHSEN-FINAN, Universalis âą 19 981 mots âą 14 mĂ©dias Dans le chapitre "Le protectorat français" ⊠Le soin de dĂ©fendre et de reprĂ©senter le pays revenait dĂ©sormais Ă la France. L'absolutisme du bey n'Ă©tait qu'une fiction commode derriĂšre laquelle s'abritait la rĂ©alitĂ© du pouvoir rĂ©sidentiel. La France s'Ă©tait gardĂ©e de modifier une succession par rang d'Ăąge qui vouait tous les souverains Ă la sĂ©nilitĂ©. Mal prĂ©parĂ©s aux affaires de l'Ătat, ils se bornaient Ă signer sans discuter les dĂ©crets que [âŠ] Lire la suiteURBANISME L'urbanisme en France au XXe siĂšcleĂcrit par Simon TEXIER âą 10 204 mots âą 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Les villes françaises avant 1914" ⊠Les transformations opĂ©rĂ©es dans les villes françaises au cours de la seconde moitiĂ© du xix e siĂšcle ne peuvent ĂȘtre comparĂ©es Ă celles que connaĂźt Paris Ă la mĂȘme Ă©poque. Le systĂšme mis en place par Haussmann dans la capitale sera tout de mĂȘme partiellement exportĂ©, sous sa forme la plus emblĂ©matique la grande percĂ©e, mĂȘme si certaines crĂ©ations sont antĂ©rieures aux principales percĂ©es parisie [âŠ] Lire la HistoireĂcrit par Nicolas WERTH âą 22 741 mots âą 55 mĂ©dias Dans le chapitre "L'URSS dans les relations internationales" ⊠Dans une Europe en proie Ă la montĂ©e du militarisme des puissances fascistes, l'URSS stalinienne pratique une politique nationaliste de grande puissance, qui dĂ©bouche, en aoĂ»t 1939, sur le pacte germano-soviĂ©tique, vĂ©ritable partage de l'Europe orientale entre les deux dictatures. Le VI e congrĂšs du Komintern 17 juillet-1 er septembre 1928 constitue une Ă©tape importante dans la dĂ©finition de l [âŠ] Lire la suiteVERDUN BATAILLE DE 1916Ăcrit par Pierre GOBERT âą 562 mots âą 1 mĂ©dia Ă l'aube de l'annĂ©e 1916, le commandement allemand, dĂ©cidĂ© Ă user complĂštement l'armĂ©e française en l'obligeant Ă s'engager Ă fond, choisit d'attaquer Verdun, saillant vulnĂ©rable dans la ligne de dĂ©fense allemande, pivot du front fortifiĂ© et ville historique que les Français voudront dĂ©fendre coĂ»te que coĂ»te . Le plan du Kronprinz, commandant la V e armĂ©e allemande, est de rompre le front nord du [âŠ] Lire la suiteWALDECK-ROUSSEAU PIERRE MARIE RENĂ 1846-1904Ăcrit par Henri LERNER âą 550 mots L'une des figures les plus prestigieuses et les plus reprĂ©sentatives du personnel politique de la III e RĂ©publique, Waldeck-Rousseau a laissĂ© le souvenir d'un trĂšs grand homme d'Ătat. Pourtant, l'un de ses biographes, Pierre Sorlin, juge cette rĂ©putation surfaite et souligne le contraste entre ce que fut rĂ©ellement Waldeck-Rousseau et ce qu'il a reprĂ©sentĂ©. La physionomie de cet homme d'Ătat, cal [âŠ] Lire la suiteWALLON AMENDEMENTĂcrit par Armel MARIN âą 346 mots Professeur d'histoire Ă la Sorbonne, membre de l'Institut, Henri Wallon 1812-1904 est Ă©lu par le dĂ©partement du Nord Ă l'AssemblĂ©e de Bordeaux en 1871. ReprĂ©sentant, entre le centre gauche et le centre droit, un modĂšle du dĂ©putĂ© libĂ©ral et modĂ©rĂ©, attachĂ© Ă la dynamique de l'Ă©quilibre en toutes choses, il se fit remarquer par son intervention dans la discussion relative aux lois constitutionnell [âŠ] Lire la suiteWEYGAND MAXIME 1867-1965Ăcrit par Pierre GOBERT âą 720 mots NĂ© de parents inconnus â dont l'un appartenait sans doute Ă la famille royale de Belgique â le futur gĂ©nĂ©ralissime des armĂ©es françaises entre Ă Saint-Cyr en 1885 Ă titre Ă©tranger sous le nom de Nimal et en sort dans la cavalerie. En 1888, il prend la nationalitĂ© française sous le nom de son pĂšre adoptif, Weygand. DĂšs le dĂ©but de la grande guerre, il est choisi par Foch comme chef d'Ă©tat-major d [âŠ] Lire la suiteZAY JEAN 1904-1944Ăcrit par Serge BERSTEIN âą 1 130 mots Jean Zay, lâun des plus brillants hommes politiques de la jeune gĂ©nĂ©ration de lâentre-deux-guerres, devait mourir Ă quarante ans, assassinĂ© par la Milice du rĂ©gime de Vichy. Issu dâune famille de juifs alsaciens ayant optĂ© pour la France en 1871 et venue sâinstaller Ă OrlĂ©ans, Jean Zay, nĂ© le 6 aoĂ»t 1904, est Ă©levĂ©, comme sa sĆur, dans la religion protestante, celle de leur mĂšre. Fils de LĂ©on Zay, [âŠ] Lire la suiteZIMMERWALD CONFĂRENCE DE 1915Ăcrit par Paul CLAUDEL âą 942 mots L'Europe est en guerre depuis treize mois lorsque s'ouvre le 5 septembre 1915 Ă Zimmerwald, prĂšs de Berne, la premiĂšre confĂ©rence socialiste internationale depuis l'effondrement de l'Internationale socialiste en aoĂ»t 1914. Les tentatives de renouer des liens internationaux ont Ă©tĂ© nombreuses ; elles venaient soit de partis socialistes de pays neutres ou non engagĂ©s dans le conflit confĂ©rence ital [âŠ] Lire la suitePrĂ©ciser avec l'index1 articleĂ L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVĂ LA VIE, HervĂ© Guibert12 articlesA PRIORI CONNAISSANCE5 articlesA CAPPELLA, musique8 articlesVITAMINE A4 articlesSAGITTARIUS A*2 articlesHĂPATITE A1 articleCONCANAVALINE A1 articleMOTEURS PAS Ă PAS1 articleBISPHĂNOL A3 articlesĂ REBOURS, Joris-Karl Huysmans23 articlesPRĂT-Ă-PORTER2 articlesPOINTE-Ă-PITRE1 articleHERBE-Ă-ROBERT1 articleBOUCHE-Ă-BOUCHE2 articlesCARTE Ă PUCE ou CARTE Ă MĂMOIRE1 articleCHAMBRE Ă STREAMERS ou CHAMBRE Ă DARDS3 articlesCOENZYME A CoA1 articleLINĂAIRE A, Ă©criture1 articleDOMINIQUE A 1968- 1 articleA TRIBE CALLED QUEST1 articlePORTE-Ă-FAUX, architecture44 articlesMALADIES Ă VECTEURS36 articlesQUATUOR Ă CORDES28 articlesMACHINE Ă VAPEUR24 articlesCANNE Ă SUCRE22 articlesĂTOILES Ă NEUTRONS13 articlesCHASSE Ă LA BALEINE12 articlesMOULIN Ă EAU12 articlesMOTEURS Ă EXPLOSION12 articlesRĂSISTANCE Ă LA CORROSION12 articlesMĂTIER Ă TISSER2 articlesUN LIEU Ă SOI, Virginia Woolf11 articlesMARCHĂS Ă TERME9 articlesARMES Ă FEU9 articlesMARCHĂ Ă OPTIONS9 articlesCHAMBRES Ă GAZ8 articlesAVIONS Ă RĂACTION ou JETS8 articlesPROPULSION Ă RĂACTION8 articlesTURBINES Ă VAPEUR8 articlesVER Ă SOIE8 articlesMACHINE Ă FILER8 articlesDINOSAURES Ă PLUMES7 articlesCHAMBRE Ă BULLES7 articlesSCĂNE Ă L'ITALIENNE7 articlesTANGENTE Ă UNE COURBE6 articlesPĂTE Ă PAPIER6 articlesCARTES Ă JOUER6 articlesPILE Ă COMBUSTIBLE6 articlesTURBINES Ă GAZ6 articlesLASERS Ă SEMICONDUCTEURS6 articlesTUBE Ă VIDE5 articlesBOMBE Ă NEUTRONS5 articlesPIĂGE Ă IONS5 articlesMACHINE Ă ĂCRIRE5 articlesMOULIN Ă VENT5 articlesMACHINE Ă COUDRE5 articlesLAMPE Ă INCANDESCENCE5 articlesBATEAU Ă VAPEUR4 articlesNOMBRE DE MASSE A4 articlesFLĂTE Ă BEC4 articlesCORNET Ă PISTONS4 articlesGARDE Ă VUE4 articlesBALEINE Ă FANONS4 articlesSAUT Ă SKIS3 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Ă L'ĂQUILIBRE1 articleOURS Ă COLLIER1 articleTOUR Ă RĂDUIRE1 articleOURS Ă LUNETTES1 articleLASERS Ă EXCIMĂRES1 articleCOMPTEUR Ă ĂTINCELLES1 articleCHAMBRE Ă PLASMA1 articleCHAMBRE Ă ĂTINCELLES1 articleMĂMOIRES Ă SEMICONDUCTEURS1 articleENCĂPHALITE Ă TIQUES1 articlePILE Ă HYDROGĂNE1 articleRĂFRIGĂRATEUR Ă DILUTION1 articleFREIN Ă TAMBOUR1 articleFREIN Ă DISQUE1 articleRUGBY Ă XIII1 articleTĂLĂVISION Ă PĂAGE1 articleNEURONES Ă HYPOCRĂTINES1 articleHARPE Ă CADRE1 articleTAMBOUR Ă FRICTION1 articleBOĂTE Ă MUSIQUE1 articleCLOCHE Ă VENT1 articleMACHINE Ă TISSER1 articlePOMPE Ă MERCURE1 articleVARIĂTĂ Ă BORD1 articleBĂTON Ă FEU1 articleMIROIR Ă ATOMES1 articleBARRAGES Ă CONTREFORTS1 articleCALCAIRE Ă ENTROQUES1 articleLEUCĂMIE Ă TRICHOLEUCOCYTES1 articleLASERS Ă GAZ1 articleLASERS Ă COLORANTS1 articleCANON Ă NEIGE4 articlesMUTATIONS DYNAMIQUES ou MALADIES Ă EXPANSION DE TRIPLETS15 articlesSAUT Ă LA PERCHE, athlĂ©tisme15 articlesUNION Ă DIEU, thĂ©ologie10 articlesCOMPOSITES Ă FIBRES 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DISCRETS, automatique13 articlesACĂTYL-COENZYME A ou ACĂTYL-CoA7 articlesDROIT DES PEUPLES Ă DISPOSER D'EUX-MĂMES6 articlesMARCHĂ DE GRĂ Ă GRĂ ou articlesAĂROGLISSEURS ou VĂHICULES Ă COUSSIN D'AIR4 articlesRADAR Ă SYNTHĂSE D'OUVERTURE ou articlesMICROSCOPIE ĂLECTRONIQUE Ă BALAYAGE EN TRANSMISSION2 articlesAMPLIFICATION D'IMPULSION Ă DĂRIVE DE FRĂQUENCE1 articleMICROSCOPIE IONIQUE Ă EFFET DE CHAMP1 articleSPECTROPHOTOMĂTRE INFRAROUGE Ă TRANSFORMĂE DE FOURIER1 articleRĂACTEURS NUCLĂAIRES Ă SELS FONDUS1 articleENFANTS Ă HAUT POTENTIEL INTELLECTUEL2 articlesMAĂTRES Ă L'ĆILLET fin XVe-dĂ©b. XVIe s.2 articlesLE DERNIER TANGO Ă PARIS, Bernardo Bertolucci2 articlesCUBIQUE Ă FACES CENTRĂES RĂSEAU1 articleMON CĆUR MIS Ă NU, Charles Baudelaire1 articleSCENES FROM A MARRIAGE, sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e4 articlesDĂGĂNĂRESCENCE MACULAIRE LIĂE Ă L'ĂGE articleBONS Ă MOYEN TERME NĂGOCIABLES articleEULER-POINSOT MOUVEMENT ou MOUVEMENT Ă LA POINSOT5 articlesITINĂRAIRE DE PARIS Ă JĂRUSALEM, François RenĂ© de Chateaubriand3 articlesPROLĂGOMĂNES Ă UNE THĂORIE DU LANGAGE, Louis Trolle Hjelmslev1 articleLA MACHINE Ă EXPLORER LE TEMPS, Herbert-George Wells1 articlePOĂTE Ă NEW YORK, Federico GarcĂa Lorca1 articleINTRODUCTION Ă L'ĆUVRE SUR LE KAVI, Wilhelm von Humboldt1 articleLETTRE Ă D'ALEMBERT SUR LES SPECTACLES, Jean-Jacques Rousseau62 articlesVENT INSTRUMENTS Ă10 articlesHUILE PEINTURE Ă L'3 articlesTHOMAS A KEMPIS THOMAS HEMERKEN dit 1379 articlesCALCULER MACHINES Ă4 articlesENCAUSTIQUE PEINTURE Ă L'4 articlesCROĂTES SOLS Ă3 articlesTIMOTHĂE ĂPĂTRES Ă3 articlesVITRE VERRE Ă2 articlesCHENILLES MATĂRIEL Ă2 articlesINERTIE CENTRALE Ă2 articlesPHILĂMON ĂPĂTRE Ă2 articlesTITE ĂPĂTRE Ă2 articlesINFINI RĂGRESSION Ă L'2 articlesAVALANCHE DIODE Ă1 articleSOBOLEVA P. articleĂCHO BOĂTE Ă1 articleMERCURE ĂLECTRODE Ă1 articleARC PROCĂDĂ Ă L'1 articleIMMERSION OBJECTIF Ă1 articleHYDROGĂNE CHALUMEAU Ă1 articlePSEUDOGLEY SOLS Ă1 articlePOINSOT MOUVEMENT Ă LA7 articlesRADIO-INTERFĂROMĂTRIE Ă LONGUE BASE ou articleAUTOMOBILE ou VOITURE Ă QUATRE ROUES MOTRICES1 articleCHROMATOGRAPHIE DE PARTAGE Ă POLARITĂ DE PHASES INVERSĂE1 articleCOMMISSION Ă L'ĂNERGIE ATOMIQUE DES NATIONS UNIES1 articleAUTOMOBILE ou VOITURE Ă QUATRE ROUES DIRECTRICES6 DĂ©lĂ©gation Ă l'amĂ©nagement du territoire et Ă l'action rĂ©gionale214 articlesPHILOSOPHIE, de 1950 Ă nos jours210 articlesROME, des origines Ă la RĂ©publique1 Synthetic Aperture Radar RADAR Ă SYNTHĂSE D'OUVERTURE132 articlesPHILOSOPHIE, de 1900 Ă 19506 articlesAKERLOF GEORGE A. 1940- 4 articlesVARENNES FUITE Ă 17912 articlesURANIUM APPAUVRI ARMES Ă2 articlesCORNELL ERIC A. 1961- 2 articlesDOUDNA JENNIFER A. 1964- 1 articleCONTRE-COURANT SYSTĂME Ă1 articleZADEH LOTFI A. 1921- 1 articleCREUX PERDU MOULE Ă1 articleBON CREUX MOULE Ă1 articleREPLATS-GOLETZ VERSANT Ă1 articleFACES CENTRĂES RĂSEAUX Ă1 articleDOUBLE FOYER VERRES Ă1 articleSHELDON ROGER A. 1942- 1 articleCIEL OUVERT MINES Ă1 articleTIBERGHIEN GILLES A. 1953- 1 articleLYNN JOHN A. 1943- 4 articlesSCĂNOGRAPHIE, de Palladio Ă Appia3 articlesPPNA Prepottery Neolithic A1 articleAPL A Programming Language1 articleSaaS Software as a Service1 articleDaaS Data as a Service1 articlePaaS Platform as a Service1 articleIaaS Infrastructure as a Service2 articlesABRAHAM A SANCTA CLARA JOHANN ULRICH MEGERLE dit 1644-170919 articlesMYSTĂRES RELIGIONS DITES Ă2 articlesWARTBURG GUERRE DES CHANTEURS Ă LA2 articlesGARGAMELLE CHAMBRE Ă BULLES2 articlesOSEBERG TOMBE Ă NAVIRE D'1 articleMERCURE CELLULES Ă CATHODE DE1 articleLEWY DĂMENCE Ă CORPS DE3 articlesL'ĆUVRE D'ART Ă L'ĂPOQUE DE SA REPRODUCTION MĂCANISĂE, Walter Benjamin11 articlesRĂACTEUR Ă EAU PRESSURISĂE ou pressurised water reactor2 articlesRĂACTEUR Ă EAU BOUILLANTE ou boiling water reactor1 articleEUROPEAN XFEL laser europĂ©en Ă Ă©lectrons libres et Ă rayons X1 articleMICROSCOPIE Ă DĂPLĂTION PAR ĂMISSION STIMULĂE ou STED stimulated emission depletion1 articleTRAITĂ DE L'HARMONIE RĂDUITE Ă SES PRINCIPES NATURELS, Jean-Philippe Rameau248 articlesFRANCE, histoire, de 1974 Ă nos jours244 articlesFRANCE, histoire, de 1789 Ă 1815244 articlesFRANCE, histoire, de 1939 Ă 1958204 articlesALLEMAGNE, histoire, de 1806 Ă 194510 articlesAFRIQUE-ĂQUATORIALE FRANĂAISE articleLIBRES ENFANTS DE SUMMERHILL, A. S. Neill170 articlesFRANCE, histoire, de 1871 Ă 19397 articlesMUNDELL ROBERT A. 1932-20214 articlesEFFET DE CHAMP TRANSISTOR Ă articlesEULER MĂTHODE DU PAS Ă PAS D', analyse numĂ©rique3 articlesWAKSMAN SELMAN A. 1888-19733 articlesDIAGNE BLAISE A. 1872-19342 articlesHÄLÄȘ A. H. 1837-19142 articlesNAISMITH JAMES A. 1861-19391 articlePENCK A. R. 1939-20171 articleWEIKARD MELCHIOR A. 1742-1803144 articlesFRANCE, histoire, de 1958 Ă 1974141 articlesRUSSIE, histoire, de 1801 Ă 1917137 articlesRUSSIE, histoire, des origines Ă 1801110 articlesCHINE, histoire, de 1949 Ă nos jours110 articlesFRANCE, histoire, de 1815 Ă 1871104 articlesITALIE, histoire, de 476 Ă 14942 articlesADMINISTRATIVE BEHAVIOR, Herbert A. Simon2 articlesSOCIODYNAMIQUE DE LA CULTURE, Abraham A. Moles1 articleJETABLE ou PĂ P prĂȘt Ă photographier174 articlesFRANCE, histoire, du XVIe s. Ă 171591 articlesFRANCE, histoire, de 1715 Ă 178973 articlesITALIE, histoire, de 1870 Ă 194557 articlesINDE, histoire de 1947 Ă nos jours51 articlesESPAGNE, histoire, de 1900 Ă nos jours50 articlesITALIE, histoire, de 1945 Ă nos jours48 articlesGRĂCE, histoire, de 1830 Ă nos jours47 articlesITALIE, histoire, de 1494 Ă 178944 articlesPERSE, histoire de 651 Ă 150141 articlesĂGYPTE, histoire, de 1952 Ă nos jours40 articlesJAPON, histoire, des origines Ă 119239 articlesITALIE, histoire, de 1789 Ă 187038 articlesĂGYPTE, histoire de 1805 Ă 195237 articlesPOLOGNE, histoire, de 1914 Ă 194537 articlesPOLOGNE, histoire, de 1945 Ă nos jours36 articlesBELGIQUE, histoire, de 1945 Ă nos jours36 articlesPERSE, histoire de 1501 Ă 192535 articlesJAPON, histoire, de 1946 Ă nos jours34 articlesPOLOGNE, histoire, de 1500 Ă 176334 articlesSYRIE, histoire, de 1941 Ă nos jours33 articlesBELGIQUE, histoire, de 1830 Ă 194533 articlesMEXIQUE, histoire, de 1910 Ă nos jours33 articlesPOLOGNE, histoire, de 1764 Ă 19146 taxe Ă la valeur ajoutĂ©e17 articlesASSISTANCE MĂDICALE Ă LA PROCRĂATION AMP ou PROCRĂATION MĂDICALEMENT ASSISTĂE PMA4 ligne Ă grande vitesse29 articlesĂGYPTE, histoire de 639 Ă 180529 articlesHONGRIE, histoire, de 1945 Ă nos jours3 sociĂ©tĂ© Ă responsabilitĂ© limitĂ©e3 articlesSECAM sĂ©quentiel couleur Ă mĂ©moire28 articlesBRĂSIL, histoire, de 1950 Ă nos jours2 zone Ă urbaniser en prioritĂ©26 articlesMEXIQUE, histoire, de la conquĂȘte Ă la rĂ©volution24 articlesBELGIQUE, histoire, des origines Ă 183024 articlesIRAN, histoire de 1925 Ă 197924 articlesJAPON, histoire, de 1192 Ă 160323 articlesITALIE, histoire, des origines Ă 47622 articlesMAROC, histoire, de 1956 Ă nos jours3 articlesAVIONS Ă DĂCOLLAGE & ATTERRISSAGE VERTICAUX ou vertical take off and landing2 articlesĂLECTRONS BIDIMENSIONNELS TRANSISTORS Ă GAZ D'18 articlesCANADA, histoire, de 1968 Ă nos jours2 articlesLE MERVEILLEUX VOYAGE DE NILS HOLGERSSON Ă TRAVERS LA SUĂDE, Selma Lagerlöf2 articlesART ET HUMANISME Ă FLORENCE AU TEMPS DE LAURENT LE MAGNIFIQUE, AndrĂ© Chastel13 articlesGRĂCE, histoire, jusqu'Ă l'indĂ©pendance 183012 articlesAUTRICHE, histoire, de 1945 Ă nos jours15 articlesVILLA, architecture du XVIIIe s. Ă nos jours3 articlesMATIF MarchĂ© Ă terme d'instruments financiers, puis MarchĂ© Ă terme international de France206 articlesPEINTURE DU XXe SIĂCLE, de 1900 Ă 19393 articlesHISTOIRE MONDIALE DE LA SPĂCULATION FINANCIĂRE, DE 1700 Ă NOS JOURS, Charles P. Kindleberger1 articleLETTRES Ă MIRANDA SUR LE DĂPLACEMENT DES MONUMENTS DE L'ART DE L'ITALIE, Antoine QuatremĂšre de Quincy171 articlesĂGLISE HISTOIRE DE L', du concile de Trente Ă nos jours3 articlesLA NUIT DES MORTS-VIVANTS, George A. Romero101 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1945 Ă nos jours95 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1914 Ă 194595 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1801 Ă 191494 articlesAFRIQUE NOIRE, histoire, des indĂ©pendances Ă nos jours93 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1914 Ă 194591 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1801 Ă 191489 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1945 Ă nos jours57 articlesPAROLE POUVOIRS DE LA, de l'AntiquitĂ© Ă l'Ăąge classique48 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1579 Ă 18302 articlesLOMBARD STREET A DESCRIPTION OF THE MONEY MARKET, Walter Bagehot32 articlesPAYS-BAS, histoire, des origines Ă 15792 articlesBORGOĂA JUAN DE actif de 1494 Ă 15362 articlesJEAN DE ROUEN actif de 1510 Ă 15721 articleAFONSO JORGE actif de 1508 Ă 15401 articleFROMENT NICOLAS connu de 1461 Ă 14861 articleMEMMI LIPPO connu de 1317 Ă 13471 articleWYDITZ HANS actif de 1497 Ă 15161 articleYSELIN HEINRICH actif de 1478 Ă 15131 articleBENNET JOHN actif de 1599 Ă 16141 articleJONES ROBERT actif de 1597 Ă 16151 articleARRUDA DIOGO actif de 1508 Ă 153127 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1945 Ă nos jours24 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1830 Ă nos jours23 articlesPAYS-BAS PEINTURE DES, du XVIIIe s. Ă nos jours20 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1880 Ă 19451 articleRUNCIE ROBERT A. K. 1921-20001 articleLOUIS PIERRE CHARLES A. 1787-1872103 articlesALLEMAGNE, histoire, du Moyen Ăge Ă 1806103 articlesFRANĂAISE PEINTURE, XXe s. de 1900 Ă 193917 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1440 Ă 188088 articlesJAPON, histoire, de l'Ăšre Meiji Ă 19463 rĂ©seau numĂ©rique Ă intĂ©gration de services1 articleSICAV SociĂ©tĂ© d'investissement Ă capital variable1 autorisations d'usage Ă des fins thĂ©rapeutiques1 articlePRADO Programme d'accompagnement du retour Ă domicile1 articleANTARES, tĂ©lescope sous-marin Ă neutrinos285 articlesPEINTURE DU XXe ET DU DĂBUT DU XXIeSIĂCLE, de 1939 Ă nos jours271 articlesĂTATS-UNIS D'AMĂRIQUE, histoire, de 1945 Ă nos jours4 articlesSVEN ou SVEND Ă LA BARBE FOURCHUE 960 roi de Danemark 986-1014 et d'Angleterre 1013-1014137 articlesĂTATS-UNIS D'AMĂRIQUE, histoire, de 1865 Ă 19452 articlesLA NOUVELLE JUSTINE, OU LES MALHEURS DE LA VERTU, D. A. F. de Sade107 articlesĂTATS-UNIS D'AMĂRIQUE, histoire, des origines Ă 18654 articlesARNAUD ou ARNAUT DANIEL actif de 1180 Ă 12001 articleELY REGINALD ou REYNOLD actif de 1438 Ă 14712 articlesCHANTEREINE NICOLAS activitĂ© connue de 1517 Ă 15371 articleKHÄZINÄȘ AL- actif de 1115 Ă 1121 env.9 articlesCEA Commissariat Ă l'Ă©nergie atomique et aux Ă©nergies alternatives71 articlesCHINE, histoire l'Empire, des Yuan Ă la RĂ©volution de 191167 articlesCHINE, histoire de la RĂ©volution de 1911 Ă la RĂ©publique populaire39 articlesINDE, histoire du XIIIe s. Ă la conquĂȘte britannique 175777 articlesALLEMAGNE RĂPUBLIQUE FĂDĂRALE D' RFA, histoire, de 1945 Ă 19893 articlesPATENIER ou PATINIR JOACHIM 1475 Ă 1480 SystĂšme d'imagerie gamma Ă masque alĂ©atoire, tĂ©lescope1 articleMARSYAS PEINTRE DE milieu Ă 3e quart IVe s. av. articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, le Moyen Ăge de 1066 Ă 1485149 articlesFRANĂAISE PEINTURE, XXe et dĂ©but du XXIe s. de 1939 Ă nos jours2 articlesCEPMMT Centre europĂ©en de prĂ©vision mĂ©tĂ©orologique Ă moyen terme27 articlesCHINE, histoire des origines Ă la fondation de l'Empire 221 av. articlesHENNEQUIN, JEAN DE BRUGES ou JEAN DE BONDOL actif de 1368 Ă 13811 articleMICROSCOPE MICRO-Satellite Ă traĂźnĂ©e CompensĂ©e pour l'Observation du Principe d'Ăquivalence1 articleCREDIT RATIONING IN MARKETS WITH IMPERFECT INFORMATION, J. Stiglitz et A. Weiss3 articlesTHE MARKET FOR LEMONS QUALITY UNCERTAINTY AND THE MARKET MECHANISM, George A. Akerlof4 articlesIgA5 UniĂŁo nacional para a independĂȘncia total de Angola ou Union nationale pour l'indĂ©pendance totale de l'Angola
EDITO- On ne dĂ©cide pas dâĂȘtre de droite, de gauche ou ni lâun ni lâautre: on constate quâon lâest devenu, pour dâinnombrables raisons qui ne sont pas toutes conscientes. Elire, câest choisir. Mais pourquoi ? Lâapparence physique joue moins quâon ne pourrait le craindre. Les dents blanches de Lecanuet ne pesĂšrent pas lourd
Les personnes atteintes de la neurofibromatose, une maladie horrible est incurable, sont si malheureuses. les malformations quelles portent sur leurs visages et ou d'autres parties du corps leurs rendent la vie si difficile. Cette pauvre femme de ThaĂŻlande en est la pure dĂ©monstration. Je pense que ces images devraient nous aider Ă comprendre que la vie est parfois trop cruelle pour certaines personnes. La greffe est le seul recours pour les malades gravement atteints de neurofibromatose, souvent surnommĂ©e Ă tort "maladie d'Elephant man". Mais lĂ encore faut-il que l'on ait les moyens La neurofibromatose, aussi appelĂ©e maladie de Von Recklinghausen, du nom du mĂ©decin allemand qui l'a dĂ©couverte, est une maladie gĂ©nĂ©tique qui provoque l'apparition de tumeurs dans les tissus nerveux et cutanĂ©s des neurofibromes. Elle peut causer aussi des troubles vasculaires et des dĂ©formations corporelles. Bien que souvent surnommĂ©e "maladie d'Elephant man" Ă cause des tumeurs externes monstrueuses qu'elle peut provoquer, elle est distincte du syndrome de ProtĂ©e, dont souffrait Joseph Merrick, "l'homme-Ă©lĂ©phant", et qui se traduit par la croissance anormale des os et des tissus de la peau. Orphanet, le rĂ©seau des maladies orphelines, estime la prĂ©valence de la neurofibromatose entre 1 sur Ă 1 sur individus, le plus souvent sous une forme trĂšs bĂ©nigne. Cette affection Ă©volutive a des consĂ©quences trĂšs variables. Une grande majoritĂ© des malades n'ont que quelques taches "cafĂ© au lait" et peuvent voir apparaĂźtre des tumeurs bĂ©nignes peu nombreuses. Mais dans certains cas rares, les symptĂŽmes cutanĂ©s peuvent ĂȘtre trĂšs importants, provoquant une dĂ©formation importante du visage des neurofibromes peuvent atteindre des tailles de plusieurs centimĂštres. Aucun traitement ne peut guĂ©rir cette maladie Ă l'heure actuelle. MalgrĂ© la dĂ©couverte en 1990 du gĂšne responsable de cette affection, la greffe reste aujourd'hui le seul recours. Avant la greffe totale du visage rĂ©alisĂ©e fin juin, le Pr Lantieri avait dĂ©jĂ effectuĂ© un greffe partielle de visage sur une personne souffrant de cette maladie en 2007, dont le visage Ă©tait dĂ©formĂ© par des neurofibromes volumineux. La vie des malades fortement affectĂ©s est trĂšs difficile. Ils peuvent parfois ĂȘtre soulagĂ©s par des opĂ©rations chirurgicales ou laser pour dĂ©truire certains fibromes volumineux, sans ĂȘtre guĂ©ris pour autant. ©AFP
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