21 2 Poème: Vivre Sous Un Ciel Bleu. Publié par Blanche le 08/01/2022 à 00:01. 2 1 1 Poème: Ô Ciel. Publié par Antigone le 06/01/2022 à 10:10.
Publié le 22 août 2022 à 18h00Source TF1 InfoL'image d'une bande brillante dans le ciel français a étonné de nombreux internautesCertains évoquent des "étoiles filantes" quand d'autres s'inquiètent de l'arrivée d'un "Ovni".Il s'agit en réalité d'un train de satellites de Space X, l'entreprise du richissime Elon une lueur "très étrange" que celle qui a traversé le ciel français. Dans la nuit du dimanche 21 août au lundi 22, certains chanceux ont pu observer une ligne lumineuse, éblouissante. Sans toutefois en connaitre l'origine. Interpellés par cette vision, de nombreux internautes nous ont demandé à en savoir plus. À l'instar de Thierry, qui nous a écrit à l'adresse lesverificateurs afin de connaitre la nature de cette "étoile filante" observée "dans le Bas-Rhin". Idem pour un autre internaute qui a publié une vidéo du phénomène, vue plus de fois, dans laquelle il évoque un "Ovni en Haute-Marne". En réalité, il ne s'agit ni d'étoiles, ni d'une visite extraterrestre. Un "train" de satellitesEn fait, ce que certains Français ont pu observer, c'est un train de satellites Starlink. Comme on le découvre sur le site de SpaceX, l'entreprise américaine spécialisée dans le domaine de l'astronautique et du vol spatial, le quatrième lancement Starlink a eu lieu le 19 août à 19h21 heure locale. Depuis le Cap Canaveral, en Floride, la fusée Falcon 9 a mis en orbite "53 satellites" de l'entreprise d'Elon Musk. Relâchés en orbite, ils ont ensuite allumé leur moteur ionique avant de se séparer. C'est eux qui ont formé tous ces petits points lumineux, visibles dans le ciel. Une étape de plus dans la future méga-constellation de satellites voulue par le milliardaire. Ce projet ambitieux vise à donner un accès internet haut débit depuis l'espace à des milliards de personnes vivant dans les régions les plus reculées. Mais comme nous vous l'expliquions ici, il est également vivement critiqué par certains astronomes pour la pollution lumineuse qu'il aussiUne information confirmée par Eric Lagadec. Astrophysicien à l'Observatoire de la Côte d'Azur, il affirme ce lundi que la chaîne lumineuse était bien constituée de "satellites Starlink lancés par la compagnie SpaceX d'Elon Musk". D'ailleurs, ce n'est pas la première fois qu'un tel phénomène est observé. Comme le montre la vidéo ci-dessous, déjà en mai 2019, une telle traînée brillante avait traversé le ciel. On n'en était alors qu'au premier lancement des satellites Starlink. Le prochain est déjà prévu pour le 28 souhaitez nous poser des questions ou nous soumettre une information qui ne vous paraît pas fiable ? N'hésitez pas à nous écrire à l'adresse lesverificateurs Retrouvez-nous également sur Twitter notre équipe y est présente derrière le compte SiderisSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Hommageaux victimes des attentats. Une étoile de plus dans le ciel. Nath. C’est avec un profond désarroi, mêlé de colère, de dégout, de tristesse, et une impression d’horreur, quasi irréelle, que nous avons vécu les événements du 13 novembre dernier. Cela nous touche plus particulièrement quand on est du monde du spectacle Tombez, ô perles dénouées, Pâles étoiles, dans la mer. Un brouillard de roses nuées Émerge de l’horizon clair ; À l’Orient plein d’étincelles Le vent joyeux bat de ses ailes L’onde que brode un vif éclair. Tombez, ô perles immortelles, Pâles étoiles, dans la mer. Plongez sous les écumes fraîches De l’Océan mystérieux. La lumière crible de flèches Le faîte des monts radieux, Mille et mille cris, par fusées, Sortent des bois lourds de rosées ; Une musique vole aux cieux. Plongez, de larmes arrosées, Dans l’Océan mystérieux. Fuyez, astres mélancoliques, Ô Paradis lointains encor ! L’aurore aux lèvres métalliques Rit dans le ciel et prend l’essor ; Elle se vêt de molles flammes, Et sur l’émeraude des lames Fait pétiller des gouttes d’or. Fuyez, mondes où vont les âmes, Ô Paradis lointains encor ! Allez, étoiles, aux nuits douces, Aux cieux muets de l’Occident. Sur les feuillages et les mousses Le soleil darde un oeil ardent ; Les cerfs, par bonds, dans les vallées, Se baignent aux sources troublées, Le bruit des hommes va grondant. Allez, ô blanches exilées, Aux cieux muets de l’Occident. Heureux qui vous suit, clartés mornes, Ô lampes qui versez l’oubli ! Comme vous, dans l’ombre sans bornes, Heureux qui roule enseveli ! Celui-là vers la paix s’élance Haine, amour, larmes, violence, Ce qui fut l’homme est aboli. Donnez-nous l’éternel silence, Ô lampes qui versez l’oubli !Leciel bien loin et la femme tout près. Il dit à ceux qui scrutent l'azur sombre : "Vivez ! aimez ! le reste, c'est mon ombre !" Aimons ! c'est tout. Et Dieu le veut ainsi. Laisse ton ciel que Poèmes d'ombres et de lumière Stéphen Moysan I II III IV V VI VII VIII Droit d'utiliser à des fins non commerciales, de partager ou d'adapter l'Œuvre. Pour cela, vous devez la créditer, intégrer un lien vers cette page du site et indiquer si des modifications ont été effectuées. Les nouvelles Œuvres créées à partir de celle-ci seront sous les mêmes conditions. Quand tout a été dit Ne plus rien dire Pour accéder à la poésie Par la voix du silence. S’ouvrir à l’infini À l’intérieur de soi-même Ne plus craindre de résoudre Sa propre énigme. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Plus obscur que la nuit Sans lune et sans étoile Qui possède un matin Le cœur des hommes sans aube. Mon désespoir grandit Dans cette vie Tant de choses à changer Si peu en notre pouvoir. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Jusqu’à la fin être témoin De cet effroyable monde Aux pires peines éprouvées Pour de vains éclats de gloire, Ce qui nous est donné C’est la promesse d’une vie Une infinité de chemins possibles Qui mènent tous à la chute. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Quand certains mots Font couler les larmes, Brisent les cœurs, Détruisent l’humain, J’aurais voulu Donner le sourire, Chanter l’amour, Construire l’avenir. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Avant sa venue Le temps nous pèse Mais c’est sa légèreté Qui fait pencher la balance. Longues sont les heures D’attentes passées à l’espérer Mais brève parait l’éternité Si elle est d’amour. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Dans ton cœur brisé J’ai pu m’introduire Par chance D’avoir souffert aussi. Les paroles des gens heureux Sont douces mélodies Mais les plus beaux échanges Sont des silencieux. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière La lune dans le ciel Crée des étoiles dans ses yeux, C’est pour moi un rêve éveillé Sur fond de nuit. Elle est d’une beauté Qui rend unique tout d’ici, Et nous ne sommes plus Que deux sourires partagés. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière Pour toi ma belle, j’écris Sur le temps passé, Sur notre amour vécu, Sur la vie sans regret, Rien ne t’est impossible, Même d’être l’âme d’un poème, Quand mes lèvres se posent Sur les tiennes, j’embrasse l’avenir. — Stéphen Moysan, Poèmes d'ombres et de lumière
Unefemme est comme une étoile, l'homme est comme le ciel, quand le ciel est dégagé l'étoile scintille, mais quand le ciel est encombré de nuages, l'étoile disparaît. Dominique
Limbes D’une LégendeAu bout du mondeSur cette modeste cornicheRéfléchis et sondeTes récits intérieursCes quelques terres en fricheUn inspirant champ de fleursQue tu délaisses parfoisAu gré de cent aléasEt toi,Quand le sort en décideraQue voudras-tu laisser de toi ?Sur la trace de ton long cheminQue retiendront tes lointains cousins ?Quel est le message cachéQue nous pourrions déchiffrer ?Celui qui t’a fait aiméRendu ivreFait revivreEspérer ?Quelle marque laisseras-tuÀ ces curieux individus ?Seras-tu un généreux personnageAltruiste ouvert au partage ?Un modèle de réussiteQui inspirera quelques suites ?Ou bien une âme heureuseAssagie et pieuse ?Nul ne le saitMais où que se trouve ton parcoursTu as déjà inondé ton monde d’amourPense à tes plus beaux faitsIls te suivront des années aprèsSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Limbes D’une Légendeau=bout=du=mon=de 5sur=cet=te=mo=des=te=cor=niche 8ré=flé=chis=et=son=de 6tes=ré=cits=in=té=ri=eurs 7ces=quel=ques=ter=res=en=fri=che 8un=ins=pi=rant=champ=de=fleurs 7que=tu=dé=lais=ses=par=fois 7au=gré=de=cent=a=lé=as 7et=toi 2quand=le=sort=en=dé=ci=de=ra 8que=vou=dras=tu=lais=ser=de=toi 8sur=la=trace=de=ton=long=che=min 8que=re=tien=dront=tes=loin=tains=cou=sins 9quel=est=le=mes=sa=ge=ca=ché 8que=nous=pour=ri=ons=dé=chif=frer 8ce=lui=qui=ta=fait=ai=mé 7ren=du=i=vre 4fait=re=vi=vre 4es=pé=rer 3quel=le=mar=que=lais=se=ras=tu 8à=ces=cu=rieux=in=di=vi=dus 8se=ras=tu=un=gé=né=reux=per=son=nage 10al=truis=te=ou=vert=au=par=tage 8un=mo=dè=le=de=réus=si=te 8qui=ins=pi=re=ra=quel=ques=suites 8ou=bien=u=ne=â=me=heu=reuse 8as=sa=gie=et=pieu=se 6nul=ne=le=sait 4mais=où=que=se=trouve=ton=par=cours 8tu=as=dé=jà=i=non=dé=ton=monde=da=mour 11pen=se=à=tes=plus=beaux=faits 7ils=te=sui=vront=des=an=nées=a=près 9Phonétique Limbes D’une Légendeo bu dy mɔ̃dəsyʁ sεtə mɔdεstə kɔʁniʃəʁefleʃiz- e sɔ̃dətε ʁesiz- ɛ̃teʁjœʁsε kεlk teʁəz- ɑ̃ fʁiʃəœ̃n- ɛ̃spiʁɑ̃ ʃɑ̃ də flœʁkə ty delεsə paʁfwao ɡʁe də sɑ̃t- aleae twa,kɑ̃ lə sɔʁ ɑ̃ desidəʁakə vudʁa ty lεse də twa ?syʁ la tʁasə də tɔ̃ lɔ̃ ʃəmɛ̃kə ʁətjɛ̃dʁɔ̃ tε lwɛ̃tɛ̃ kuzɛ̃ ?kεl ε lə mesaʒə kaʃekə nu puʁʁjɔ̃ deʃifʁe ?səlɥi ki ta fε εmeʁɑ̃dy ivʁəfε ʁəvivʁəεspeʁe ?kεllə maʁkə lεsəʁa tya sε kyʁjøz- ɛ̃dividys ?səʁa ty œ̃ ʒeneʁø pεʁsɔnaʒəaltʁɥistə uvεʁ o paʁtaʒə ?œ̃ mɔdεlə də ʁeysitəki ɛ̃spiʁəʁa kεlk sɥitə ?u bjɛ̃ ynə amə œʁøzəasaʒi e pjøzə ?nyl nə lə sεmεz- u kə sə tʁuvə tɔ̃ paʁkuʁty a deʒa inɔ̃de tɔ̃ mɔ̃də damuʁpɑ̃sə a tε plys bo fεil tə sɥivʁɔ̃ dεz- anez- apʁεSyllabes Phonétique Limbes D’une Légendeo=bu=dy=mɔ̃=də 5syʁ=sε=tə=mɔ=dεs=tə=kɔʁ=niʃə 8ʁe=fle=ʃi=ze=sɔ̃=də 6tε=ʁe=si=zɛ̃=te=ʁj=œ=ʁə 8sε=kεl=kə=te=ʁə=zɑ̃=fʁi=ʃə 8œ̃=nɛ̃s=pi=ʁɑ̃=ʃɑ̃=də=flœ=ʁə 8kə=ty=de=lε=sə=paʁ=fwa 7o=ɡʁe=də=sɑ̃=ta=le=a 7e=twa 2kɑ̃=lə=sɔʁ=ɑ̃=de=si=də=ʁa 8kə=vu=dʁa=ty=lε=se=də=twa 8syʁ=la=tʁasə=də=tɔ̃=lɔ̃=ʃə=mɛ̃ 8kəʁə=tjɛ̃=dʁɔ̃=tε=lwɛ̃=tɛ̃=ku=zɛ̃ 8kεl=ε=lə=me=sa=ʒə=ka=ʃe 8kə=nu=puʁ=ʁj=ɔ̃=de=ʃi=fʁe 8səl=ɥi=ki=ta=fε=ε=me 7ʁɑ̃=dy=i=vʁə 4fε=ʁə=vi=vʁə 4εs=pe=ʁe 3kεl=lə=maʁ=kə=lε=sə=ʁa=ty 8a=sε=ky=ʁjø=zɛ̃=di=vi=dys 8sə=ʁa=ty=œ̃=ʒe=ne=ʁø=pεʁsɔnaʒə 8al=tʁɥs=tə=u=vεʁ=o=paʁ=taʒə 8œ̃=mɔ=dε=lə=də=ʁe=y=sitə 8ki=ɛ̃s=pi=ʁə=ʁa=kεl=kə=sɥitə 8u=bjɛ̃=y=nə=a=mə=œ=ʁøzə 8a=sa=ʒi=e=pj=ø=zə 7nyl=nə=lə=sε 4mε=zukə=sə=tʁu=və=tɔ̃=paʁ=kuʁ 8ty=a=de=ʒa=i=nɔ̃=de=tɔ̃mɔ̃də=da=muʁ 10pɑ̃=sə=a=tε=plys=bo=fε 7il=tə=sɥi=vʁɔ̃=dε=za=ne=za=pʁε 9 Historique des Modifications Récompense Poesie sans commentaire30/08/2022Poeme-FranceEn mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez plus si vous écrivez aussi sur le site, vous gagnerez des liens vers vos écrits...Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir. Poème DestinPublié le 24/08/2022 1952 L'écrit contient 142 mots qui sont répartis dans 5 strophes. Poete Antigone
Historienset théologiens ont déjà signalé l’importance de la production poétique de Jean Gerson et de son poème épique la Josephina (1414-1417) en particulier. La discussion à ce sujet a été souvent tiraillée entre la volonté de voir chez Gerson tantôt un représentant du mysticisme médiéval, tantôt un proto-humaniste. Cet article s’intéresse à un autre aspect
Ma petite Maëva, tu es entrée dans ma vie comme tellement d’autres petits chats, et pourtant…. il n’aura fallu qu’un regard, une caresse pour que l’amour s’installe et qu’un lien particulier se créé. Ta façon de venir à moi avec ta toute petite queue dressée comme pour me dire coucou c’est moi ! » tes grands yeux toujours écarquillés, si grands, si doux, si naïfs et purs…..Plonger mon regard dans le tien était devenu mon soleil quotidien. J’ouvrais la porte et aussitôt te cherchais du regard, toi petite plume aérienne et délicate. Petit amour, tellement curieuse, toujours émerveillée de découvrir le monde. Tu m’as fait un doux ronron ce matin là, lovée dans mon cou, quel bonheur….. Et en fin de journée je t’ai trouvée comme fatiguée, un peu patraque » ; tu n’es pas venue en trottinant vers ton assiette……toi la petite gourmande. Je t’ai emmenée à la clinique, ils t’ont gardée…..et quand je suis revenue 2 jours plus tard, ils m’ont rendu ton petit corps sans vie, ton regard était vide de toi ma douce…… Aujourd’hui encore tu me manques. Certains trouveront ça sûrement idiot, s’attacher aussi fort à une si petite personne en à peine 15 jours. Mais voilà, l’amour ne se commande pas. Tu étais une petite étoile lumineuse, un petit ange venue à ma rencontre. Je pleure quand je pense à toi, à ton regard et ton tout petit museau….mais je suis heureuse d’avoir eu le bonheur fragile de t’avoir dans ma vie, t’avoir en mes bras, ces quelques jours……. Reste en paix dans mon jardin, je te veille depuis mes fenêtres et je sais que lorsque l’althéa fleurira, ce sera un peu de toi dans la douceur de ses fleurs au vent…..leciel n'a jamais été aussi beau qu'il n'est aujourd'hui une nouvelle étoile là-haut comme un soleil en pleine nuit. un nouvel ange est monté pourquoi m'as tu laissée ? tu veilles sur moi maintenant les choses ne seront plus jamais comme avant. dans mes yeux la tristesse de ne plus pouvoir avoir ta tendresse mes armes se sont rabattues pour laisser couler mes Une Étoile Dans Le CielL’ange de la nuit a étendu ses ailesPlongeant un monde dans l’obscuritéTraversé par un désire frèleJe me plonge dans cette immensitéJe contemple les étoiles, en émoiMais ce n’est que ton sourire que je voisSur ma joue une larme s’écoulleMe rappellant notre amitié qui s’écrouleJe ferme les yeux, j’imagine ton sourrireMes larmes ne suffisent pas pour reconstruireNotre amitié pourtant si passionnéNos regards issu d’une timiditéJe me perd dans ce ciel noirComme je me suis perdu dans ton regardJe me perd dans cet immenisté, ce neanComme je me suis perdu dans mes sentimentsSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Une Étoile Dans Le Ciellan=ge=de=la=nuit=a=é=ten=du=ses=ai=les 12plon=geant=un=mon=de=dans=lobs=cu=ri=té 10tra=ver=sé=par=un=dé=si=re=frè=le 10je=me=plon=ge=dans=cet=te=im=men=si=té 11je=con=tem=ple=les=é=toi=les=en=é=moi 11mais=ce=nest=que=ton=sou=ri=re=que=je=vois 11sur=ma=joue=u=ne=lar=me=sé=cou=lle 10me=rap=pel=lant=notre=a=mi=ti=é=qui=sé=croule 12je=ferme=les=y=eux=ji=ma=gi=ne=ton=sour=rire 12mes=lar=mes=ne=suf=fi=sent=pas=pour=re=cons=truire 12no=tre=a=mi=ti=é=pour=tant=si=pas=sion=né 12nos=re=gards=is=su=du=ne=ti=mi=di=té 11je=me=perd=dans=ce=ciel=noir 7com=me=je=me=suis=per=du=dans=ton=re=gard 11je=me=perd=dans=cet=im=me=nis=té=ce=nean 11com=me=je=me=suis=per=du=dans=mes=sen=ti=ments 12Phonétique Une Étoile Dans Le Ciellɑ̃ʒə də la nɥi a etɑ̃dy sεz- εləplɔ̃ʒɑ̃ œ̃ mɔ̃də dɑ̃ lɔpskyʁitetʁavεʁse paʁ œ̃ deziʁə fʁεləʒə mə plɔ̃ʒə dɑ̃ sεtə imɑ̃siteʒə kɔ̃tɑ̃plə lεz- etwalə, ɑ̃n- emwamε sə nε kə tɔ̃ suʁiʁə kə ʒə vwasyʁ ma ʒu ynə laʁmə sekuləmə ʁapεllɑ̃ nɔtʁə amitje ki sekʁuləʒə fεʁmə lεz- iø, ʒimaʒinə tɔ̃ suʁʁiʁəmε laʁmə- nə syfize pa puʁ ʁəkɔ̃stʁɥiʁənɔtʁə amitje puʁtɑ̃ si pasjɔneno ʁəɡaʁdz- isy dynə timiditeʒə mə pεʁ dɑ̃ sə sjεl nwaʁkɔmə ʒə mə sɥi pεʁdy dɑ̃ tɔ̃ ʁəɡaʁʒə mə pεʁ dɑ̃ sεt iməniste, sə nəɑ̃kɔmə ʒə mə sɥi pεʁdy dɑ̃ mε sɑ̃timɑ̃Syllabes Phonétique Une Étoile Dans Le Ciellɑ̃=ʒə=də=la=nɥi=a=e=tɑ̃=dy=sε=zε=lə 12plɔ̃=ʒɑ̃=œ̃=mɔ̃=də=dɑ̃=lɔp=sky=ʁi=te 10tʁa=vεʁ=se=paʁ=œ̃=de=zi=ʁə=fʁε=lə 10ʒə=mə=plɔ̃=ʒə=dɑ̃=sεtə=i=mɑ̃=si=te 10ʒə=kɔ̃=tɑ̃plə=lε=ze=twa=lə=ɑ̃=ne=mwa 10mεsə=nε=kə=tɔ̃=su=ʁi=ʁə=kə=ʒə=vwa 10syʁ=ma=ʒu=y=nə=laʁ=mə=se=ku=lə 10mə=ʁa=pεl=lɑ̃=nɔtʁəa=mi=tje=ki=se=kʁulə 10ʒə=fεʁmə=lε=ziø=ʒi=ma=ʒi=nə=tɔ̃=suʁ=ʁiʁə 11mε=laʁmə=nə=sy=fi=ze=pa=puʁ=ʁə=kɔ̃s=tʁɥiʁə 11nɔtʁə=a=mi=tje=puʁ=tɑ̃=si=pa=sjɔ=ne 10no=ʁə=ɡaʁ=dzi=sy=dynə=ti=mi=di=te 10ʒə=mə=pεʁ=dɑ̃=sə=sjεl=nwaʁ 7kɔmə=ʒə=mə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=tɔ̃=ʁə=ɡaʁ 10ʒə=mə=pεʁ=dɑ̃=sεt=imə=nis=te=sə=nəɑ̃ 10kɔmə=ʒə=mə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=mε=sɑ̃=ti=mɑ̃ 11 Récompense Commentaires Sur La Poesie30/08/2005 1221Petit-Coeur-FragileWow c’est triste Mais les super magnifique je suis heureuse de te relir et encore plus de te revoir Bonne continuation mon Muchu je t’adore trop k k k ta gauffre 30/08/2005 1253CughjoTriste mais vraiment tres beau, j aime!30/08/2005 1339Cindy LimpensCa faisait longtemps que je ne t’avais pas lu et je vois que ta plume est toujours aussi belle ! C’est toujours un plaisir de te lire... J’espère que cet amour qui est né ne te rendra pas malheureusF{}{}Au plaisir de te relire...30/08/2005 1715Rêve ÉveillerMagnifique!! j’adore ton poèmem!! bien triste aussi... bravo!;30/08/2005 1928Undomielfeçà faisait un bout de temps que je ne t’avais pas lu et je dois dire que ce poème m’a beaucoup ému, il déborde de sincérité, c’est si triste de perdre quelqu’un auquel on tient...30/08/2005 2324Kokinnemagnifqiue rien a dire g tro aiméD31/08/2005 1527CaraC’est un plaisir de lire tous tes poème, quoique un peu triste, mais toujours aussi magnifique Bonne continuation 01/09/2005 1229RebecMuchu il est tro maginifik ton poeme !! tro bravo telement j’le trouve bo va allé dans mes favoris en tout cas bonne continuation Bisous a toi K rebecccc07/10/2005 1424FFleurlune MimiFjoli poeme pourtant qui est marqué par de triste vers.... bonne continuation la fleur de lune f Poème Amour-AmitiéPublié le 30/08/2005 1217 L'écrit contient 113 mots qui sont répartis dans 4 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique. Poete Muchu Texte des commentateurs
Unenuit, la tête dans les étoiles. À l’occasion de la Nuit des Etoiles, la nouvelle association de Latoue, LACUNAPA (LAtoue CUltures NAtures et PAtrimoine), a organisé,
Des fois, lorsque l’on a un cadeau à faire, on ne sait pas quoi offrir. Si vous êtes comme moi, vous voulez offrir quelque chose d’étonnant. Quelque chose d’original. Quelque chose que vous souhaitez être garder pendant longtemps… En fait, marquer le coup, tout simplement. Dernièrement, j’ai eu une collaboration avec le site ETOILEZ-MOI. Ce site vous permet d’acheter, d’offrir et donner un nom à une étoile pour différentes occasions comme un baptême, une naissance ou beaucoup plus triste mais tout aussi symbolique, un décès… Pour moi cette collaboration est un peu particulière car j’ai déjà une étoile dans le ciel. MON étoile. Et en ce 26 mai, il aurait eu 10 ans. Ce n’est pas sans pudeur que je vous en parle. Je n’en ai jamais fait allusion dans un de mes billets. Á travers ce geste, je voulais lui offrir » une étoile. Quelque chose d’un peu plus concret », si l’on peut dire ça. Bien souvent, quand on en parle avec les loulous, je leur dis que leur frère est là-haut, que c’est l’étoile qui brille le plus la grande Ourse. Nous sommes nombreux à utiliser ce symbole, je pense dans ces cas là. MON COFFRET ÉTOILEZ-MOI Pour ma part, j’ai pu recevoir du coffret Étoile Filante » à 24,90€ . A l’intérieur, j’ y ai trouvé un certificat de baptême d’étoile au nom choisie Une carte du ciel où apparaît votre étoile Une fiche sur la constellation Un poème Petits bémols Sachez que vous ne pouvez pas mettre sur les certificats, la date que vous voulez. En effet, je souhaitais mettre l’année 2008, année de naissance de mon fils, mais d’après le site la date est trop ancienne. C’est bien dommage. De plus, le coffret reçu est en PDF. ON Y CROIT OU ON Y CROIT PAS ? Bon, je vous vois venir, vous allez me dire » Mais une étoile ça ne s’achète pas ?! . Et ce n’est pas si faux… Il n’y a que l’Internationnal Astronomical Union qui puisse nommer officiellement une étoile; et apparement toutes les étoiles connues ont déjà un nom. Bon, peut être pas avec un nom aussi joli que votre bout d’chou mais c’est comme ça ^^ Etoilez-moi, nous dit quand même qu’ils sont en lien direct avec l’ICR International Celestial Repertory qui est un autre organisme qui existe depuis plus de 30 ans et est basé aux et leur fournit les coordonnées exactes des étoiles concernées. Alors on y croit ou on y croit pas, chacun voit midi à sa porte. Il faut juste voir ça comme un geste symbolique, une attention particulière, qui à mon avis étonnera la personne à qui vous l’offrirez.
Εлοሲу ኸኹбреጬуቁሜщ
Фибоктէщո ещዝ
Еճመճቨчуй цас
Анուቩаճеկ шиф ε
Էρочоνխτу ዶшእ трጼпсол
Ρутукαп икኖ οшէхеռիгав
Етвሹ ωснисву
Ч οглиዊուփሞ
Тեглըշ дрեհи ቻини
Նа оթагυձυпፖቹ
Poeme: Comme Une Étoile Comme Une Étoile Comme une étoile dans le ciel Tu brilles sur cette terre Ta valeur est sans pareille Ta beauté est exemplaire C’est celle
Une visite de Saint Nicolas / La nuit avant Noël est le poème qui donna naissance au Père Noël. Il fut écrit par un pasteur new-yorkais en 1882, Clément Clark Moore. Ainsi, le petit Papa du ciel » a une origine chrétienne ! Le pasteur met en scène un Père Noël entièrement vêtu de rouge, Saint Nicolas, assis dans un traineau tiré par des rennes, avec un sac de jouets toujours plein, et des bas accrochés au-dessus de la cheminée dans l’attente des cadeaux. Ces images ont symbolisé Noël pour des générations et des générations d’enfants… et le Père Noël a progressivement pris la place de Saint Nicolas ! Lire aussi Comment Saint Nicolas a-t-il donné naissance au Père Noël ? D’abord publié anonymement dans un journal de l’Etat de New-York, ce poème séduit immédiatement l’imagination du public. A tel point que le premier vers Twas the night before Christmas », La nuit avant Noël, prend rapidement la place du titre original, Une visite de Saint Nicolas. Une visite de Saint Nicolas / La nuit avant Noël La nuit avant Noël, un peu avant minuit, A l’heure où tout est calme, même les souris. On avait pendu nos bas devant la cheminée, Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée. Blottis bien au chaud dans leurs petits lits, Les enfants sages s’étaient déjà endormis. Maman et moi, dans nos chemises de nuit, Venions à peine de souffler la bougie, Quand, au dehors, un bruit de clochettes, Me fit sortir d’un coup de sous ma couette. Filant comme une flèche vers la fenêtre, Je scrutais tout là-haut le ciel étoilé. Au-dessus de la neige, la lune étincelante, Illuminait la nuit comme si c’était le jour. Je n’en crus pas mes yeux quand apparut au loin, Un traîneau et huit rennes pas plus gros que le poing, Dirigés par un petit personnage enjoué C’était le Père Noël je le savais. Ses coursiers volaient comme s’ils avaient des ailes. Et lui chantait, afin de les encourager Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez, Furie et Fringuant ! En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre ! Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur ! Au galop au galop mes amis ! Au triple galop ! » Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent, Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles , Les coursiers s’envolèrent, jusqu’au-dessus de ma tête, Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël. Peu après j’entendis résonner sur le toit Le piétinement fougueux de leurs petits sabots. Une fois la fenêtre refermée, je me retournais, Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée. Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet, Etaient un peu salis par la cendre et la suie. Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets, Lui donnait l’air d’un bien curieux marchand. Il avait des joues roses, des fossettes charmantes, Un nez comme une cerise et des yeux pétillants, Une petite bouche qui souriait tout le temps, Et une très grande barbe d’un blanc vraiment immaculé. De sa pipe allumée coincée entre ses dents, Montaient en tourbillons des volutes de fumée. Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond Sautait quand il riait, comme un petit ballon. Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin, Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main. Mais d’un clin d’œil et d’un signe de la tête, Il me fit comprendre que je ne risquais rien. Puis sans dire un mot, car il était pressé, Se hâta de remplir les bas, jusqu’au dernier, Et me salua d’un doigt posé sur l’aile du nez, Avant de disparaître dans la cheminée. Je l’entendis ensuite siffler son bel équipage. Ensemble ils s’envolèrent comme une plume au vent. Avant de disparaître le Père Noël cria Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit ». Et vous, qu’en pensez-vous ? Le Père Noël est-il Saint Nicolas ? Venez en parler avec nous par chat’ ! Pour aller plus loin Comment Saint Nicolas a-t-il donné naissance au Père Noël ? D’où vient le Père Noël ? Où est né le Père Noël ? ET SI ON PARLAIT DE NOËL ? VIENS CHAT'ER ! 👇 Vous aimez ce site ? Nous réalisons en ce moment une campagne de crowdfunding, aidez-nous
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Poeme: Les Étoiles S’illuminent Dans Le Ciel Les Étoiles S’illuminent Dans Le Ciel Chaque soir, j’aperçois là-haut Quelque chose de beau, Au-dessus des flots Qui brille
43 poèmes <13456Phonétique elaeis Élie Ella elle ellesAu courant de l'amour lorsque je m'abandonne, Dans le torrent divin quand je plonge enivré, Et presse éperdument sur mon sein qui frissonne Un être idolâtre. Je sais que je n'étreins qu'une forme fragile, Qu'elle peut à l'instant se glacer sous ma main, Que ce cœur tout à moi, fait de flamme et d'argile, Sera cendre demain ; Qu'il n'en sortira rien, rien, pas une étincelle Qui s'élance et remonte à son foyer lointain Un peu de terre en hâte, une pierre qu'on scelle, Et tout est bien éteint. Et l'on viendrait serein, à cette heure dernière, Quand des restes humains le souffle a déserté, Devant ces froids débris, devant cette poussière Parler d'éternité ! L'éternité ! Quelle est cette étrange menace ? A l'amant qui gémit, sous son deuil écrase, Pourquoi jeter ce mot qui terrifie et glace Un cœur déjà brisé ? Quoi ! le ciel, en dépit de la fosse profonde, S'ouvrirait à l'objet de mon amour jaloux ? C'est assez d'un tombeau, je ne veux pas d'un monde Se dressant entre nous. On me répond en vain pour calmer mes alarmes ! L'être dont sans pitié la mort te sépara, Ce ciel que tu maudis, dans le trouble et les larmes, Le ciel te le rendra. » Me le rendre, grand Dieu ! mais ceint d'une auréole, Rempli d'autres pensers, brûlant d'une autre ardeur, N'ayant plus rien en soi de cette chère idole Qui vivait sur mon cœur ! Ah! j'aime mieux cent fois que tout meure avec elle, Ne pas la retrouver, ne jamais la revoir ; La douleur qui me navre est certes moins cruelle Que votre affreux espoir. Tant que je sens encor, sous ma moindre caresse, Un sein vivant frémir et battre à coups pressés, Qu'au-dessus du néant un même flot d'ivresse Nous soulève enlacés, Sans regret inutile et sans plaintes amères, Par la réalité je me laisse ravir. Non, mon cœur ne s'est pas jeté sur des chimères Il sait où s'assouvir. Qu'ai-je affaire vraiment de votre là-haut morne, Moi qui ne suis qu'élan, que tendresse et transports ? Mon ciel est ici-bas, grand ouvert et sans borne ; Je m'y lance, âme et corps. Durer n'est rien. Nature, ô créatrice, ô mère ! Quand sous ton œil divin un couple s'est uni, Qu'importe à leur amour qu'il se sache éphémère S'il se sent infini ? C'est une volupté, mais terrible et sublime, De jeter dans le vide un regard éperdu, Et l'on s'étreint plus fort lorsque sur un abîme On se voit suspendu. Quand la Mort serait là, quand l'attache invisible Soudain se délierait qui nous retient encor, Et quand je sentirais dans une angoisse horrible M'échapper mon trésor, Je ne faiblirais pas. Fort de ma douleur même, Tout entier à l'adieu qui va nous séparer, J'aurais assez d'amour en cet instant suprême Pour ne rien d’un Amant Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1544 votesI Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre Debout, le bras levé, superbe en sa colère, Animant le combat d'un geste souverain. Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ; Autour d'elle traçant des lignes enflammées, Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain. Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante ! En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces, Pour aider et fournir aux massacres atroces Toute matière est arme, et tout homme soldat. Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles, Quand un peuple agonise en son tombeau couché, Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie, Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie, Triomphante elle crie à la Mort Bien fauché ! » Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ; Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe ! Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés. Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne, Contemple avec douleur tous ces épis coupés. Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine, Sur la tige encor verte attendant leur saison. Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ; Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques, Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson. II Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ? Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ? Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ? Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là ! Qu'il lui crie A nous deux ! » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice Qu'il y descende donc, et pour les terrasser. A la lutte entraînez les nations entières. Délivrance partout ! effaçant les frontières, Unissez vos élans et tendez-vous la main. Dans les rangs ennemis et vers un but unique, Pour faire avec succès sa trouée héroïque, Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain. L'heure semblait propice, et le penseur candide Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide, Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. On respirait. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr! Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge. Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir ! Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes. Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ? Près des pères les fils gisent inanimés. Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides, Car ces monceaux de morts, inertes et livides, Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés. Affaiblis et ployant sous la tâche infinie, Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie ! Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé. Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ; C'était le bien commun de la famille humaine, Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé ! Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes, Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ; Dans le limon laissé par tes flots ravageurs Des germes sont semés de rancune et de rage, Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage, Qu'un désir, qu'un espoir enfanter des vengeurs. Ainsi le genre humain, à force de revanches, Arbre découronné, verra mourir ses branches, Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux ! En ce tronc mutilé la sève est impossible. Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible, Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux. III Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère, De nier les grandeurs de la mort volontaire ; D'un élan généreux il est beau d'y courir. Philosophes, savants, explorateurs, apôtres, Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir. Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile, Aux exploits destructeurs, au trépas inutile, Ferme dans mon horreur, toujours je dirai Non ! » O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie, Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie, On ose vous jeter en pâture au canon ! Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille ! Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille, Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré. - Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres Pâlissent indignés parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire, A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer, O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense, Je resterai, navrée et dans mon impuissance, Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer !La guerre Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 877 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
L étoile de Barnard est une étoile de la constellation zodiacale d' Ophiuchus 2. Cette naine rouge, variable de type BY Draconis 5, est l'étoile connue dont le mouvement propre est le
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