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Leschauffeurs de VTC détenteurs d’une carte professionnelle papier délivrée avant le 1er juillet 2017 doivent la renouveler afin d’obtenir une carte sécurisée.
Le document sera obligatoire à partir de janvier 2012. Les chauffeurs qui ont obtenu le permis après le 1er octobre 2010 devront obligatoirement suivre une formation. A partir du 1er janvier 2012, tous les conducteurs professionnels devront être munis d’une carte professionnelle délivrée par les services du ministère du transport et de l’équipement. L’opération de délivrance de cette carte a commencé au début du mois de novembre. Le concept de conducteur professionnel introduit par le nouveau code de la route vise en premier lieu à améliorer les conditions d’exercice de la profession de chauffeur, précisément les conducteurs d’autocars et autres véhicules de transport public bus, taxis…, ceux de véhicules de transport de marchandises et ceux de véhicules de ce jour, affirme-t-on auprès du ministère du transport, plus de 295 000 demandes ont été réceptionnées par les services concernés et les cartes déjà éditées. La population des conducteurs professionnels étant recensée à 300 000 personnes, on peut dire que l’objectif est quasiment atteint. Ces cartes professionnelles sont valables pour une durée de 5 ans au terme de laquelle le conducteur professionnel devra suivre un cursus de formation continue pour le renouvellement. Cependant, les conducteurs ayant obtenu leur permis de conduire après l’entrée en vigueur du nouveau code de la route, le 1er octobre 2010, devront obligatoirement suivre un cursus de formation qualifiante dans les établissements spécialisés agréés pour prétendre à l’exercice du métier de chauffeur professionnel. 200 000 conducteurs indépendants Les anciens chauffeurs doivent prouver qu’ils étaient en activité entre le 1er octobre 2008 et le 1er octobre 2010 pour pouvoir bénéficier de la carte professionnelle sur la base de leur expérience. Mais ils seront rappelés au fur et à mesure pour perfectionner leur formation, entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre de cette carte entre dans la panoplie de mesures adoptées dans le code de la route pour améliorer la sécurité et lutter contre les accidents de la circulation. Elle vise aussi à améliorer les conditions de ces travailleurs dans la mesure où cette carte ouvre l’accès à cette catégorie de travailleurs à la couverture sociale de la là une nouveauté car sur les 300 000 personnes en activité dans le secteur du transport routier, à peine 50 000 sont déclarés à la CNSS. 50 000 autres pourraient l’être aussi si leurs employeurs consentaient à être transparents. En revanche, 200 000 personnes sont des travailleurs indépendants chauffeurs de taxis, camionneurs travaillant pour leur propre compte… qui ne pouvaient prétendre à aucune couverture sociale. La carte professionnelle le leur permet désormais.
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Le décret 2016-1955 du 28 décembre 2016 élargit la liste des infractions pour lesquelles le propriétaire du véhicule est responsable. Zoom sur les circonstances dans lesquelles c’est le propriétaire de la carte grise qui est redevable pécuniairement de l’amende encourue. Quand le conducteur est responsable La démarche est simple. Pour toutes les infractions constatées lors d’une interception, c’est l’automobiliste autrement dit le conducteur du véhicule qui est tenu pour responsable. Il est alors redevable pécuniairement de l’amende encourue et subit le retrait de points associé à l’infraction commise. Du reste toutes infractions listées à l’article L. 121-3 du Code de la route sont relevées à l’encontre d’un véhicule via la plaque d’immatriculation sans que le conducteur ne soit intercepté, c’est alors le propriétaire du véhicule qui est destinataire de l’avis de contravention. La responsabilité du titulaire de la carte grise C’est le porteur de la carte grise qui est responsable en cas d’accident de la circulation ou d’infraction de la route. Sur le plan de la responsabilité civile, le propriétaire du véhicule est tenu pour responsable même s’il n’est pas l’auteur ou le conducteur de l’accident. Sa compagnie d’assurance ou lui-même peuvent être condamnés à indemniser les victimes de l’accident. La situation est identique qu’il y ait ou non en sus infraction et condamnation pénale. Le propriétaire du véhicule redevable de l’amende Le propriétaire du véhicule est aussi la personne qui est poursuivie et redevable de l’amende à l’occasion de la constatation des infractions suivantes et ce qu’il soit conducteur ou non au moment de l’incident Dépassement de la vitesse maximale autorisée ; Non-respect de l’obligation d’arrêt Panneau Stop, feu rouge… Stationnement interdit ; Défaut d’acquittement à l’occasion d’un contrôle péage ; Non-respect des distances de sécurité Non-respect des voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules bus, taxis, ou encore interdiction de circulation des poids-lourds…. Dans le cas d’un contrôle effectué par radar En cas d’excès de vitesse sans interception du conducteur, c’est le titulaire de la carte grise qui reçoit à son domicile l’avis de contravention joint d’une requête en exonération. L’avis de contravention L’avis de contravention contient les détails suivants Date précise de linfraction jour, heure Nombre de points retirés dans le cas d’un retrait de points, Montant de l’amende forfaitaire à payer Montant de l’amende minorée à payer Montant de l’amende majorée à payer A réception de l’avis de contravention et dans les délais imposés, le conducteur peut choisir de payer le PV, il est alors considéré par défaut comme étant responsable de l’infraction ou de dénoncer l’infraction en désignant un conducteur tiers. La distinction entre personne morale et personne physique Les personnes morales autrement dit entreprise ou société sont traités différemment des personnes physiques. Quand le véhicule appartient à un parc automobile professionnel, la carte grise est établie en son nom c’est alors le représentant légal de ladite société qui est responsable pécuniairement des infractions constatées. Une amende envoyée au représentant légal C’est notamment le cas dans les cas de figure suivants Stationnement interdit ; Non-paiement des péages ; Excès de vitesse ; Non-respect des distances de sécurité ; Usage des voies réservées ; Non-respect d’un stop. Contravention de 5ème classe Les entreprises de transports routiers c’est à dire les commissionnaires, et les entreprises de fret peuvent être sanctionnés d’une contravention de 5ème classe s’ils somment leurs salariés de ne pas respecter les règles relatives au Respect des vitesses maximales autorisées ; Durée consécutive maximale de conduite ; Surcharge pondérale. Le plus difficile dans ce contexte est de prouver que l’infraction relève d’une instruction de l’employeur. La contestation d’une infraction Pour contester une infraction, le propriétaire du véhicule doit prouver Un cas de force majeure, Le vol du véhicule, Le prêt du véhicule à un conducteur tiers s’il indique le nom du conducteur à l’origine de l’accident de circulation.
Larticle 6 du décret n°2009-072 du 20 Janvier 2009 relatif à la formation et à l’examen professionnel des conducteurs de taxi instaure l’obligation de formation continue pour l’ensemble des chauffeurs de taxi tous les 5 ans (recyclage taxi). Cette décision est maintenant en application (depuis le 1er juillet 2009). Sommaire Qu'est-ce que la carte conducteur ? Quelles informations sont affichées sur cette carte ? Est-elle obligatoire ? Comment l'obtenir ? Qui paie la carte conducteur ? Quand et comment vider la carte ? Quand et comment la renouveler ? Que risque-t-on en cas de non-respect de la loi ? Qu’est-ce que la carte conducteur ? Une carte conducteur est une pièce personnelle qui peut être demandée en cas de contrôle routier, et qui fonctionne avec un chronotachygraphe numérique. Tout conducteur de véhicule de transport routier de marchandises de plus de 3,5 tonnes et tout conducteur de véhicule de plus de 9 places chauffeur compris doit obligatoirement l’avoir en sa possession, depuis le 1er mai 2006. La carte enregistre sur une période de 28 jours civils minimum diverses informations au sujet du véhicule et des activités du conducteur. Elle est émise par la société ChronoServices, une filiale de l’imprimerie nationale basée à Douai. Quelles informations sont affichées sur cette carte ? Sur la face avant de la carte sont mentionnés les noms, prénoms et date de naissance du détenteur de la carte. On trouve ensuite les dates de début et de fin de validité de la carte. Sont aussi indiquées respectivement l’autorité qui a délivré le document et la référence du dossier d’émission. Vient ensuite le numéro du permis de conduire et celui de la carte. Enfin, on trouve la photo et la signature du conducteur. Le verso de la carte contient quant à lui la puce sur laquelle sont enregistrées les informations sur l’identité du véhicule, les anomalies, dysfonctionnements ou pannes rencontrés, le statut de conduite conducteur simple ou double équipage, les activités conduite, repos, disponibilité, travail et les distances parcourues. La carte conducteur est-elle obligatoire ? Tout conducteur soumis à la réglementation européenne sur les temps de repos et de conduite conduisant un véhicule doté d’un chronotachygraphe numérique appareil enregistrant la vitesse, le temps de conduite et l’activité doit impérativement détenir une carte conducteur, faute de quoi il pourra être jugé coupable d’un délit puni par la loi. Il existe toutefois des cas particuliers où la conduite sans ce précieux document est tolérée. Si la carte a été volée, perdue ou si un dysfonctionnement a été signalé, le conducteur a 15 jours calendaires pour résoudre le problème. Pendant ce laps de temps, il peut être dispensé de toute sanction pour non présentation de sa carte conducteur. À noter que ce délai peut être rallongé afin de laisser au chauffeur le temps de retourner au siège de son entreprise. Bien évidemment, ces exceptions sont soumises à la présentation d’un justificatif prouvant le motif avancé pour la non utilisation et/ou non présentation du document. A chaque fin de journée de travail, le conducteur est dans l’obligation de procéder à l’impression d’un ticket synthétisant l’ensemble de ses activités avec son nom, son numéro de carte et sa signature. Comment obtenir la carte conducteur ? La carte conducteur est indispensable pour faire fonctionner le chronotachygraphe numérique installé sur les véhicules de transport de marchandises de plus de 3,5 tonnes et les véhicules de transport de voyageurs de plus de 9 places au total. Ceci est valable pour l’ensemble des véhicules immatriculés dans un Etat membre de l’Union Européenne. Cette carte est généralement demandée par l’employeur, mais peut également l’être par un conducteur à la recherche d’un emploi et qui voudrait se montrer opérationnel dès embauche le délai de réception de la carte étant d’une dizaine de jours. La demande peut être réalisée en remplissant le formulaire Cerfa n°12438*01 – 12441*01, qui peut être obtenu en s’adressant aux services administratifs type Préfecture ou directement auprès de ChronoServices en appelant ou en envoyant un mail pour envoi du formulaire vierge. Le cerfa doit ensuite être envoyé accompagné d’une photo d’identité, d’une copie du permis de conduire, d’une copie d’une pièce d’identité, de la déclaration sur l’honneur de résidence sur le sol français et de l’acquittement du droit d’usage. Il faut également bien préciser sous quelles modalités la carte doit être récupérée par envoi en recommandé au domicile ou par retrait au guichet de ChronoServices. Un moyen plus simple de se procurer la carte consiste à se rendre sur le site de préinscription de ChronoServices. Qui paie la carte conducteur ? D’après le décret n°2006-303 du 10 mars 2006, la redevance d’usage doit être acquittée par l’employeur. Si le salarié a pris en charge le paiement de la carte, il peut demander son remboursement auprès de son employeur ou futur employeur sur présentation d’un justificatif de paiement. Quand et comment vider sa carte conducteur ? La carte conducteur doit être vidée par le conducteur tous les 28 jours calendaires au maximum. Cela signifie qu’il doit transférer l’ensemble des données enregistrées sur la puce pendant cette période auprès de son entreprise. Il s’agit d’une obligation. Pour cela, il suffit de se renseigner auprès de l’employeur pour connaitre le système de transfert de données utilisé. Généralement, le vidage de la carte conducteur est réalisé au moyen d’un logiciel spécifique. Il est également possible d’insérer la carte dans une borne adaptée pour que son contenu puisse être lu. Quand et comment renouveler la carte conducteur ? La carte conducteur est délivrée pour une durée de validité de 5 ans. À l’issue de ce délai, elle doit être renouvelée. Elle peut l’être également si elle a été perdue, volée ou si un dysfonctionnement a été noté. Son renouvellement se fait directement auprès de ChronoServices en ligne. Que risque-t-on en cas de non-respect de la loi ? Un conducteur de véhicule doté d’un chronotachygraphe numérique qui ne détient pas de carte conducteur est coupable d’un délit. En effet, il rend par exemple impossible tout contrôle des temps légaux de pause. Il peut de fait être condamné et écoper de 6 mois d’emprisonnement assortis d’une amende de 3750 euros. Ces sanctions ne s’appliquent pas si le conducteur peut prouver que sa carte a été perdue ou volée sous réserve que l’évènement n’ait pas eu lieu plus de 15 jours calendaires avant le contrôle, conformément au délai fixé par la loi pour se mettre en règle. Si le détenteur de la carte ne procède pas à son vidage ou que les téléchargements effectués sont irréguliers, il s’expose également à une amende dont le montant peut atteindre 1500 euros. Dans le cas où l’employeur refuserait de s’acquitter du paiement de la carte, il serait quant à lui passible d’une amende de 750 euros. Notons à titre indicatif que la carte reste la propriété de la société. Elle ne peut donc être confisquée par les forces de l’ordre. .