đŸŸ Le Mal A Dit Sclerose En Plaque

SymptĂŽmesde la sclĂ©rose en plaque Quelques conseils pour vivre au quotidien avec la SEP. Le traitement de la SclĂ©rose en plaques est adaptĂ© Ă  chaque type de personne. Malheureusement, il n’existe toujours pas aujourd’hui de traitement pour guĂ©rir complĂštement de la SEP. Certains mĂ©dicaments peuvent toutefois ralentir son Ă©volution
ï»żLes symptĂŽmes, le diagnostic et les formes de la sclĂ©rose en plaques Les symptĂŽmes de la sclĂ©rose en plaques varient d'une personne Ă  l'autre. Le diagnostic de la maladie est difficile car il n'existe pas d'examen spĂ©cifique. Souvent, la maladie Ă©volue par poussĂ©es avec des phases de rĂ©mission. AprĂšs des annĂ©es d'Ă©volution, un handicap permanent peut s'installer. SclĂ©rose en plaques des symptĂŽmes variĂ©s, pas toujours significatifs Au dĂ©but de la maladie, un ou plusieurs symptĂŽmes divers sont prĂ©sents. Ils sont souvent passagers. Ils s'installent le plus souvent rapidement en quelques heures ou jours. Ils dĂ©pendent de la zone du cerveau ou de la moelle Ă©piniĂšre touchĂ©e par les lĂ©sions. Des troubles de la motricitĂ© et de l'Ă©quilibre La personne se plaint de faiblesse musculaire, limitation de la marche, paralysie partielle d'un membre ou d'un membre, paralysie faciale, mouvements anormaux, Ă©quilibre est incertain et vertiges.... Des troubles de la sensibilitĂ© Une fois sur cinq, la sclĂ©rose en plaque est dĂ©couverte lors de la survenue d'anomalies de la sensibilitĂ© engourdissements ou picotements, fourmillements, douleurs et dĂ©charges Ă©lectriques, sensations anormales de ruissellement, d'Ă©tau, de chaud, de froid, perte de sensibilitĂ©... Des problĂšmes oculaires La survenue rapide, en quelques heures ou jours, d'une gĂȘne visuelle, d'une vision double ou d'une baisse d'acuitĂ© visuelle d'un Ɠil due Ă  une nĂ©vrite oculaire atteinte du nerf optique rĂ©vĂšle la maladie dans un quart des cas. Ces anomalies de la vision peuvent ĂȘtre accompagnĂ©es de l'apparition de taches dans le champ visuel ou d'anomalies de la vision des couleurs. La rĂ©cupĂ©ration de la fonction visuelle est complĂšte en six mois, dans 80 % des cas. Des symptĂŽmes psychiques et cognitifs Plus rarement, des troubles de l'attention, de la mĂ©moire, de l'humeur et des Ă©pisodes dĂ©pressifs sont prĂ©sents. Des symptĂŽmes gĂ©nĂ©raux, digestifs, urinaires et sexuels Ces symptĂŽmes surviennent souvent plus tardivement des difficultĂ©s Ă  uriner, par exemple ; une constipation ; des troubles de l'Ă©rection ; une fatigue importante et inhabituelle. Important l'apparition de l'un ou de plusieurs de ces symptĂŽmes n'indique pas forcĂ©ment la prĂ©sence d'une sclĂ©rose en plaques. Ces symptĂŽmes peuvent ĂȘtre provoquĂ©s par d'autres maladies. Le plus souvent, ces premiers symptĂŽmes disparaissent marquant la fin de la premiĂšre poussĂ©e de sclĂ©rose en plaques et la rĂ©cupĂ©ration est en gĂ©nĂ©ral complĂšte. Une autre poussĂ©e peut survenir quelques mois ou annĂ©es aprĂšs. Dans 15 % des cas, les symptĂŽmes initiaux ne rĂ©gressent pas et s'aggravent progressivement. C'est la forme progressive de la sclĂ©rose en plaques. Reconnaissance de la sclĂ©rose en plaque en ALD Votre mĂ©decin traitant peut demander la reconnaissance de votre sclĂ©rose en plaques en affection de longue durĂ©e ALD. Les examens et les soins en rapport avec la sclĂ©rose en plaques sont alors pris en charge Ă  100 % sur la base des tarifs de l’Assurance Maladie. SclĂ©rose en plaques un diagnostic long Ă  poser Le diagnostic est long Ă  poser car il n'existe pas d'examens spĂ©cifiques permettant de poser le diagnostic de sclĂ©rose en plaques. Pour affirmer le diagnostic, il faut un faisceau d'arguments cliniques, biologiques et radiologiques et suivre l'Ă©volution des symptĂŽmes. C'est un ensemble d'anomalies qui confirme le diagnostic. Le mĂ©decin doit s'assurer Ă©galement que son patient ne prĂ©sente pas une autre maladie pouvant expliquer les symptĂŽmes prĂ©sentĂ©s. Pour poser le diagnostic de sclĂ©rose en plaques, il faut que le mĂ©decin constate la prĂ©sence de symptĂŽmes traduisant l'existence de lĂ©sions de plusieurs zones du systĂšme nerveux par exemple une diminution de la force musculaire d'un membre et une atteinte oculaire. Par ailleurs, les symptĂŽmes neurologiques doivent Ă©voluer dans le temps soit succession de deux Ă©pisodes distincts de la maladie par exemple troubles oculaires puis troubles de l'Ă©quilibre, rĂ©gressant entre chaque poussĂ©e c'est la sclĂ©rose en plaques Ă©voluant par poussĂ©es ; soit Ă©volution progressive de la maladie sur un an c'est la forme progressive de sclĂ©rose en plaques. Le patient est pris en charge par une Ă©quipe pluridisciplinaire, comportant un mĂ©decin neurologue, un ophtalmologue, un radiologue, un biologiste, etc. L'examen neurologique est complĂ©tĂ© par une IRM du cerveau et de la moelle Ă©piniĂšre. C'est l'examen le plus parlant, montrant les lĂ©sions sous forme de signaux de la substance blanche et leur Ă©tendue au niveau du systĂšme nerveux central ; un fond d'Ɠil au cours d'un examen ophtalmologique ; Ă©ventuellement une ponction lombaire pour analyse du recherche de signes d'inflammation. Si le diagnostic est confirmĂ©, d'autres examens peuvent ĂȘtre prescrits avant la mise en route du traitement analyses de sang, ECG, Ă©cho-doppler cardiaque, radiographie pulmonaire... Des formes multiples de sclĂ©rose en plaques et d'Ă©volution variable Les formes de la sclĂ©rose en plaques sont multiples. En effet, les symptĂŽmes de la maladie, son Ă©volution et son impact sur la qualitĂ© de vie diffĂšrent d'une personne Ă  une autre et sont, dans certains cas, amĂ©liorĂ©s par les traitements de fond. La maladie Ă©volue par poussĂ©es ou de maniĂšre progressive. SclĂ©rose en plaques la forme Ă©volutive par poussĂ©es Dans la forme Ă©volutive par poussĂ©es, les symptĂŽmes peuvent apparaĂźtre en quelques heures ou en quelques jours. Ils sont souvent associĂ©s Ă  une grande fatigue. Ils rĂ©gressent totalement ou partiellement en quelques semaines forme appelĂ©e rĂ©mittente. Chaque poussĂ©e est caractĂ©risĂ©e par l'apparition de nouveaux symptĂŽmes, la rĂ©-apparition d'anciens symptĂŽmes, l'aggravation de symptĂŽmes prĂ©-existants. La maladie Ă©volue sur plusieurs annĂ©es avec des symptĂŽmes variables selon un rythme imprĂ©visible d'apparition des poussĂ©es. L'attĂ©nuation ou la disparition des symptĂŽmes pĂ©riode de rĂ©mission peut ĂȘtre de durĂ©e variable, voire permanente. La forme rĂ©currente-rĂ©mittente reprĂ©sente 85 % des cas de sclĂ©rose en plaques. AprĂšs un dĂ©lai variable de 5 Ă  20 ans, les poussĂ©es laissent des sĂ©quelles. Un handicap permanent peut s'installer et s'aggraver de façon progressive, avec ou sans poussĂ©es c'est la phase secondairement progressive de la sclĂ©rose en plaques. Chez certaines personnes, une incapacitĂ© Ă  marcher peut survenir 20 ans aprĂšs l'apparition de la maladie. Mais il est possible de conserver son autonomie beaucoup plus longtemps. La forme progressive de la sclĂ©rose en plaques Dans le cas de forme progressive, il y a une aggravation des symptĂŽmes pendant au moins six mois. Cette forme reprĂ©sente 15 % des cas. Elle est aussi plus sĂ©vĂšre et survient en gĂ©nĂ©ral aprĂšs l'Ăąge de 40 ans. Elle touche presqu'autant les hommes que les femmes. Des troubles de la marche, de l'Ă©quilibre, des troubles sexuels et urinaires sont souvent prĂ©sents d'emblĂ©e. L'aggravation de la sclĂ©rose en plaques est rĂ©guliĂšre, avec ou sans crise supplĂ©mentaire. VariabilitĂ© de l'Ă©volution de la sclĂ©rose en plaques L’évolution de la sclĂ©rose en plaques est trĂšs variable d’un individu Ă  l’autre. Dans l’évolution initiale, on distingue le dĂ©but rĂ©mittent et le dĂ©but progressif, chacune ayant diffĂ©rentes formes d’évolution. Dans 85 % des cas, la sclĂ©rose en plaques a un dĂ©but rĂ©mittent. La maladie ne dĂ©gĂ©nĂšre pas, les poussĂ©es sont rĂ©guliĂšres mais disparaissent rapidement. Quant Ă  l’évolution gĂ©nĂ©rale Dans sa forme rĂ©currente-rĂ©mittente, les poussĂ©es sont rĂ©guliĂšres. La maladie ne dĂ©gĂ©nĂšre pas. Dans sa forme secondairement progressive, sans poussĂ©e surajoutĂ©es, la maladie dĂ©gĂ©nĂšre. Un handicap permanent peut s’installer et s’aggraver de maniĂšre progressive. Dans sa forme secondairement progressive, avec poussĂ©es surajoutĂ©es, la maladie dĂ©gĂ©nĂšre. Un handicap permanent peut s’installer et s’aggraver de maniĂšre progressive. Des poussĂ©es plus violentes de la maladie peuvent apparaĂźtre frĂ©quemment. Dans 15 % des cas, la sclĂ©rose en plaques a un dĂ©but progressif. Cette forme est plus sĂ©vĂšre et l’aggravation de la maladie est rĂ©guliĂšre dĂšs son apparition. Les symptĂŽmes ne disparaissent pas. Quant Ă  l’évolution gĂ©nĂ©rale Dans sa forme primitivement progressivesans poussĂ©e surajoutĂ©e, la maladie dĂ©gĂ©nĂšre de maniĂšre rĂ©guliĂšre mais il n’y a pas de poussĂ©es violentes de la maladie. Dans sa forme primitivement progressive, avec poussĂ©es surajoutĂ©es, la maladie dĂ©gĂ©nĂšre de maniĂšre rĂ©guliĂšre. Des crises frĂ©quentes aggravent les symptĂŽmes de la maladie. Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale. SclĂ©rose en plaques SEP. Site internet Inserm. Paris ; 2020 [consultĂ© le 25 janvier 2022] Haute AutoritĂ© de santĂ© HAS. SclĂ©rose en plaques. Site internet HAS. Saint-Denis La Plaine France ; 2006 [consultĂ© le 25 janvier 2022] Institut du Cerveau et de la Moelle Ă©piniĂšre. La sclĂ©rose en plaques. Site internet ICM. Paris ; 2015 [consultĂ© le 25 janvier 2022] CollĂšge des enseignants de neurologie CEN. SclĂ©rose en plaques. ECN 2018. 4Ăšme Ă©dition Elsevier Masson Haute AutoritĂ© de santĂ©. Protocole national de diagnostic et de soins pour les maladies rares. Diagnostic et traitement de la sclĂ©rose en plaque de l'enfant. Site internet HAS. Saint-Denis La Plaine France ; 2016 [consultĂ© le 25 janvier 2022] Haute AutoritĂ© de santĂ© HAS. Actes et prestations sur la sclĂ©rose en plaques. Actualisation juillet 2015. Site internet HAS. Saint-Denis La Plaine France ; 2015 [consultĂ© le 25 janvier 2022] Comment lire les rĂ©sultats d’une prise de sang ? Comment se dĂ©roule une IRM ? Comment se dĂ©roule une ponction lombaire ? Comment se dĂ©roule un Ă©cho-doppler cardiaque ? Comment se dĂ©roule un fond d’Ɠil ? "Qu’est-ce que le dispositif appelĂ© Affection Longue DurĂ©e ALD ?
Poitiers Vienne. Nouvelle-Aquitaine. Émeline Grolleau raconte sa maladie en bande dessinĂ©e. Il y a 10 ans, on lui a diagnostiquĂ© une sclĂ©rose en plaques. Une maladie Ă©volutive et incurable
La sclĂ©rose en plaques correspond Ă  une pathologie inflammatoire dite auto-immune, touchant le systĂšme nerveux central. Reconnue comme la premiĂšre cause neurologique de handicap non traumatique du jeune adulte, le diagnostic de la SEP repose essentiellement sur l’IRM qu’en est-il de l’IRM cervicale ? Peut-elle diagnostiquer une sclĂ©rose en plaques ? RĂ©ponses dans le prĂ©sent que la sclĂ©rose en plaques ?Diagnostic clinique de la sclĂ©rose en plaques Diagnostic paraclinique de la sclĂ©rose en plaques La ponction lombaire La mesure des potentiels Ă©voquĂ©s L’imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique IRM RĂŽle de l’IRM cervicale dans le diagnostic de la sclĂ©rose en plaqueQu’est-ce que la sclĂ©rose en plaques ? La sclĂ©rose en plaques ou SEP se dĂ©finit comme une maladie inflammatoire chronique d’origine auto-immune. Elle atteint le systĂšme nerveux central autrement dit l’encĂ©phale cerveau, cervelet et tronc cĂ©rĂ©bral, la moelle Ă©piniĂšre et les racines des nerfs pour la premiĂšre fois en 1868 par Jean-Martin Charcot, elle touche aujourd’hui environ 120 000 personnes en France, avec une moyenne de 3 000 nouveaux cas dĂ©tectĂ©s chaque annĂ©e. L’ñge moyen de diagnostic se situe entre 25 et 35 ans, et il existe une prĂ©dominance d’atteinte chez les sclĂ©rose en plaques est considĂ©rĂ©e, actuellement, comme la premiĂšre cause de handicap sĂ©vĂšre non traumatique du jeune s’agit d’une maladie Ă©voluant gĂ©nĂ©ralement par poussĂ©es entrecoupĂ©es de pĂ©riodes de rĂ©mission. Cependant, il arrive parfois que son Ă©volution soit continue et mĂ©canisme Ă  l’origine de la sclĂ©rose en plaque consiste en une dĂ©myĂ©linisation des axones. En effet, les axones sont des prolongements des neurones qui sont entourĂ©s d’une gaine formĂ©e par une substance appelĂ©e myĂ©line », cette gaine a pour rĂŽle de protĂ©ger et isoler les fibres nerveuses tout en augmentant la vitesse de propagation de l’influx cours de la sclĂ©rose en plaques, le systĂšme immunitaire s’attaque pour des raisons encore inconnues aux cellules produisant la myĂ©line nommĂ©es oligodendrocytes » et les dĂ©truit. Ceci a pour consĂ©quence une dĂ©myĂ©linisation des fibres nerveuses et l’absence de gaine de myĂ©line conduit Ă  une altĂ©ration de conduction de l’influx systĂšme nerveux central Ă©tant le lieu de commande de fonctions intellectuelles, cognitives, sensitives et motrices, son atteinte se traduit donc par de multiples symptĂŽmes secondaires Ă  l’anomalie de ces n’existe malheureusement actuellement aucun traitement curatif pour la sclĂ©rose en plaque. Les traitements proposĂ©s, Ă  base d’immuno- rĂ©gulateurs et immunosuppresseurs ne permettent qu’un espacement et une diminution des poussĂ©es freinant ainsi l’évolution de la se trouve nĂ©anmoins que des avancĂ©es thĂ©rapeutiques encourageantes quant Ă  l’élaboration d’un traitement pouvant amĂ©liorer l’évolution et le pronostic de cette pathologie soient en cours de clinique de la sclĂ©rose en plaques La sclĂ©rose en plaques est une maladie qui Ă©volue lentement. En effet, de nombreux patients prĂ©sentent au cours de leurs vies des symptĂŽmes transitoires qui ne sont pas immĂ©diatement rattachĂ©s Ă  cette pathologie. C’est ce qu’on appelle la phase de latence ». Cette phase peut durer 1 annĂ©e Ă  20 ans, elle est caractĂ©risĂ©e par une dĂ©myĂ©linisation n’engendrant pas de manifestations les signes cliniques commencent Ă  apparaitre, la maladie devient alors patente » et la maladie commence Ă  Ă©voluer soit de façon continue et progressive, soit, par poussĂ©es entrecoupĂ©es de pĂ©riodes de poussĂ©es de sclĂ©rose en plaques sont caractĂ©risĂ©es par une dissĂ©mination dans le temps et dans l’espace. Ce qui signifie qu’elles touchent diffĂ©rents organes et surviennent Ă  des pĂ©riodes diagnostic de la sclĂ©rose en plaque repose actuellement sur un faisceau d’arguments cliniques et manifestations cliniques rencontrĂ©es au cours de la sclĂ©rose en plaques sont trĂšs variĂ©es. L’ensemble de ses symptĂŽmes Ă©voluent gĂ©nĂ©ralement dans un contexte de fatigue permanente, ainsi nous retrouvons Des troubles moteurs signes rĂ©vĂ©lateurs de la maladie dans 40 % des cas, il peut s’agir d’une monoparĂ©sie, d’une paraparĂ©sie ou plus rarement d’une hĂ©miparĂ©sie. Cette manifestation peut aller d’une gĂȘne Ă  type de lourdeur, de crampes musculaires ou de fatigabilitĂ© Ă  l’effort jusqu’à une paralysie plus complĂšte. A l’extrĂȘme une paraplĂ©gie avec abolition des rĂ©flexes peut troubles de la sensibilitĂ© rĂ©vĂ©lant la maladie dans 20% des cas, ces troubles regroupent les paresthĂ©sies, hypoesthĂ©sies voire mĂȘme des anesthĂ©sies. Mais Ă©galement, des douleurs ou des sensations de dĂ©charges Ă©lectriques au cours de certains troubles de la vision entrant dans le cadre de la neuropathie optique rĂ©trobulbaire, ces manifestations sont le reflet d’une atteinte du nerf optique, ils regroupent une baisse d’acuitĂ© visuelle habituellement unilatĂ©rale s’accompagnant d’une douleur pĂ©riorbitaire majorĂ©e au cours des mouvements des globes troubles liĂ©s Ă  l’atteinte des nerfs crĂąniens tels que la paralysie faciale, la baisse de l’acuitĂ© auditive hypoacousie ou une nĂ©vralgie troubles dus Ă  l’atteinte cĂ©rĂ©belleuse et vestibulaire notamment la dĂ©marche Ă©brieuse, une ataxie, une dysarthrie et des troubles gĂ©nito-sphinctĂ©riens regroupent l’impuissance sexuelle chez l’homme, une rĂ©tention ou au contraire une incontinence troubles cognitifs tels que des difficultĂ©s de concentration et des troubles de la mĂ©moire sont retrouvĂ©s aprĂšs quelques annĂ©es d’évolution de la maladie. A l’extrĂȘme une dĂ©mence peut paraclinique de la sclĂ©rose en plaques La confirmation du diagnostic de la sclĂ©rose en plaque nĂ©cessite la rĂ©alisation de certains examens paracliniques, Ă  savoir La ponction lombaire SourceElle permet une analyse biologique et immunochimique du liquide cĂ©phalo rachidien, elle met en Ă©vidence la prĂ©sence de signes inflammatoires et une synthĂšse d’immunoglobulines anticorps anormale dans ce sa rĂ©alisation, il faut nĂ©anmoins s’assurer qu’il n’y a pas de contre indications telles que l’hypertension intracrĂąnienne et ce par la rĂ©alisation d’un fond d’Ɠil et/ou d’un scanner du LCR doit systĂ©matiquement se faire simultanĂ©ment avec celle du sĂ©rum du malade prĂ©levĂ© le mĂȘme jour afin de faire une mesure des potentiels Ă©voquĂ©s Les potentiels Ă©voquĂ©s sont des potentiels Ă©lectriques qui permettent d’étudier les variations de l’activitĂ© Ă©lectrique du systĂšme nerveux suite Ă  une stimulation d’origine extĂ©rieure visuelle, auditive, sensitive ou permet d’évaluer la qualitĂ© et la vitesse de conduction de l’influx nerveux au niveau des voies de la motricitĂ©, la sensibilitĂ©, l’audition ou la la SEP, les potentiels Ă©voquĂ©s visuels sont les seuls utilisĂ©s afin d’affirmer le diagnostic. En effet, un ralentissement de transmission de l’influx nerveux au niveau des nerfs optiques est gĂ©nĂ©ralement par rĂ©sonance magnĂ©tique IRM L’IRM cĂ©rĂ©brale et mĂ©dullaire reprĂ©sente l’examen de choix dans le diagnostic de la SEP, elle permet de mettre en Ă©vidence la prĂ©sence de plaques inflammatoires dans le systĂšme nerveux plaques sont nommĂ©es lĂ©sions », elles prennent l’aspect de tĂąches blanches nommĂ©es hypersignaux » ou bien noires dites hyposignaux ».SourceCes lĂ©sions sont gĂ©nĂ©ralement localisĂ©es au niveau de la substance blanche pĂ©riventriculaire, plus particuliĂšrement dans le tronc cĂ©rĂ©bral et dans la moelle notamment cervicale, d’oĂč l’intĂ©rĂȘt du recours Ă  une IRM de l’IRM cervicale dans le diagnostic de la sclĂ©rose en plaqueDe maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le premier examen d’imagerie indiquĂ© dans la sclĂ©rose en plaques est l’IRM cĂ©rĂ©brale. Il arrive nĂ©anmoins, chez certains patients qu’on ne retrouve pas de lĂ©sions encĂ©phaliques car les plaques ne se sont formĂ©es qu’au niveau de la moelle Ă©piniĂšre et plus particuliĂšrement dans cette situation que l’IRM cervicale trouve tout son faut cependant souligner, que seule, l’IRM cervicale ne suffit pas Ă  affirmer le diagnostic, ni Ă  faire le suivi de la m’appelle Sidali. Je suis mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste et rĂ©dacteur web. Etant professionnel de santĂ©, ma mission est de contribuer au soulagement des maux de mes patients. Etant aussi passionnĂ© de rĂ©daction, j’ai le plaisir de partager mes solides connaissances mĂ©dicales avec le plus grand nombre de lecteurs, et ce, en rĂ©digeant des articles vulgarisĂ©s et trĂšs agrĂ©ables Ă  lire.

Lasclérose en plaques (SEP) est l'une des premiÚres causes de handicap dit non traumatique chez l'adulte jeune. Elle se déclare en général entre 20 et 40 ans, surtout chez les femmes (deux fois plus touchées que les hommes) et touche prÚs de 85000 personnes en France. Les symptÎmes sont trÚs variés et seul un examen par IRM permet d'identifier la maladie.

Personne ne sait exactement ce qui cause la SEP ni pourquoi certaines personnes y sont plus prĂ©disposĂ©es que d'autres. Plusieurs thĂ©ories ont Ă©tĂ© proposĂ©es, notamment les facteurs environnementaux, les infections bactĂ©riennes ou virales et les carences nutritionnelles. Quelle qu'en soit la cause, la SEP est un trouble du systĂšme nerveux central. La zone touchĂ©e est trĂšs spĂ©cifique c'est la gaine de myĂ©line, qui protĂšge les fibres nerveuses du systĂšme nerveux central. Il se dĂ©grade ce qui rend difficile la communication nerveuse peu font le lien entre les symptĂŽmes et la maladie il peut s'agir de fourmillements dans la peau, de picotements, de brĂ»lures ou d'engourdissements. Cette perte de sensibilitĂ© peut s'accompagner d'une faiblesse musculaire et d'une perte de contrĂŽle musculaire ou de spasmes, ce qui rend les dĂ©placements difficiles. La coordination et l'Ă©quilibre peuvent ĂȘtre difficiles Ă  contrĂŽler. Il peut y avoir des difficultĂ©s de vision, d'Ă©locution ou de dĂ©glutition. Sur le plan Ă©motionnel, une personne atteinte de SEP peut Ă©prouver des Ă©motions extrĂȘmes, des sautes d'humeur, une profonde dĂ©pression, de la fatigue mentale et de l' ne peux pas vous dire qu’il y a des huiles essentielles qui guĂ©rissent la sclĂ©rose en contre il y a un ensemble de choses Ă  faire pour agir contre et Ă©ventuellement la faire disparaitre oui, c’est possible grĂące aux huiles essentielles quand elles sont incorporĂ©es Ă  une approche dĂ©toxifiante il faut savoir ce qui peut provoquer la sclĂ©rose en plaque SEP, et on a rĂ©cemment compris grĂące Ă  de la recherche que l’infection par Virus d’Epstein Barr EBV en est une cause. En fait, , les scientifiques ont menĂ© une Ă©tude auprĂšs de plus de 10 millions de jeunes adultes en service actif dans l'armĂ©e amĂ©ricaine. Neuf cent cinquante-cinq participants parmi eux ont reçu un diagnostic de SP au cours de leur pĂ©riode de scientifiques ont collectĂ© et analysĂ© tous les deux ans des Ă©chantillons de sĂ©rum. Ils ont ensuite dĂ©terminĂ© le statut EBV du soldat au moment du premier prĂ©lĂšvement et la relation entre l'infection Ă  EBV et l'apparition de la SEP pendant la pĂ©riode de service cette cohorte, le risque de SEP a Ă©tĂ© multipliĂ© par 32 aprĂšs l'infection par l'EBV mais est restĂ© inchangĂ© aprĂšs l'infection par d'autres virus. Les niveaux sĂ©riques de la chaĂźne lĂ©gĂšre des neurofilaments, un biomarqueur de la dĂ©gĂ©nĂ©rescence nerveuse typique de la SEP, n'ont augmentĂ© qu'aprĂšs l'infection par l'EBV. Les rĂ©sultats ne peuvent ĂȘtre expliquĂ©s par aucun facteur de risque connu de SEP et suggĂšrent que l'EBV est la principale cause de tout ce qui concerne une dĂ©gĂ©nĂ©rescence du systĂšme nerveux, il y a la toxicitĂ© physique L'exposition aux produits chimiques, aux mĂ©taux lourds et aux solvants organiques est considĂ©rĂ©e comme des facteurs Ă©tiologiques potentiels, contribuant Ă  l'apparition de la SEP dans de nombreuses Ă©tudes , par exemple, il a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment indiquĂ© que l'Ă©tain, l'oxyde de carbone et le mercure, Ă©taient des causes de partir de lĂ , on peut dĂ©duire une chose importante Ă©viter de dĂ©velopper l’EBV, qui en soit n’est pas trop grave facile Ă  soulage avec des huiles essentielles, rester loin de sources de mĂ©taux lourds et se protĂ©ger Ă©motionnellement de sources de toxicitĂ© telles que l’inflexibilitĂ© et la soulagement des symptĂŽmesL’intĂ©rĂȘt majeur d’utiliser les huiles essentielles ici est qu’elles vont faciliter l’évacuation des toxines et se substituer Ă  des produits plus toxiques. Mais surtout, elles vont faire circuler le Qi, en particulier si elles sont appliquĂ©es via massage voir l’Essentiel de l’EquilibreQuand on est fatiguĂ© mais qu’on a du mal Ă  dormir mĂ©lange pour massage local pour un adulteSur 20 ml d’huile vĂ©gĂ©tale pĂ©pin de raisin ou coco faites tomber 4 gouttes de marjolaine Ă  coquille2 gouttes de vĂ©tiver5 gouttes de sauge sclarĂ©e6 gouttes de mandarine3 gouttes d’angĂ©lique racineContre la perte de sensibilitĂ© Ă  masser sur les zones concernĂ©esSur 20 ml d’huile vĂ©gĂ©tale4 gouttes de gĂ©ranium 4 gouttes de sauge sclarĂ©e4 gouttes de poivre noir3 gouttes d’eucalyptus citronnĂ©5 gouttes de citronPlus sur l’élimination des mĂ©taux lourdsPlus sur le virus d’Epstein BarrPlus sur les problĂšmes d’immunitĂ©DĂ©couvrez ce que l'on ne vous a jamais dit au sujet des huiles essentielles*Et soignez-vous sans utiliser de mĂ©dicament bonjour mon mari a ete diagnostiquer il ya 4 ans sep remitante. son comportement a beaucoup changĂ© je ne le reconnais plus. il est de plus en plus agressif et maintenant limite violent. je peux plus lui parler il prend tout mal ou il deforme mes propos. j'essaye de faire des efforts car je sais que la fatigue est tres presente mais je n'en peux plus je me pose beaucoup Depuis que Jean-Martin Charcot a dĂ©crit la maladie au XIXe siĂšcle, les principes pour Ă©tablir le diagnostic de sclĂ©rose en plaques sont identiques il est nĂ©cessaire de mettre en Ă©vidence une atteinte du systĂšme nerveux central Ă  la fois dans le temps qu'on appelle dissĂ©mination dans le temps et dans l'espace dissĂ©mination dans l'espace. La dissĂ©mination des symptĂŽmes dans l'espace Selon sa localisation, une atteinte d’une zone du cerveau ou de la moelle va entraĂźner des consĂ©quences sur un type particulier de fonction. Par exemple, une atteinte des neurones sensitifs de la partie infĂ©rieure de la moelle va dĂ©clencher des sensations anormales dans les jambes. Pour que le diagnostic de sclĂ©rose en plaques soit posĂ©, la maladie doit s’exprimer par des symptĂŽmes qui ne peuvent ĂȘtre expliquĂ©s que par l’existence de lĂ©sions situĂ©es dans des zones diffĂ©rentes du systĂšme nerveux central. Par exemple, une baisse d’acuitĂ© visuelle et des troubles de l’équilibre qui correspondent Ă  une atteinte du nerf optique et Ă  une souffrance du cervelet, deux zones distinctes du systĂšme nerveux central. La dissĂ©mination des symptĂŽmes dans le temps Dans la sclĂ©rose en plaques, les Ă©pisodes inflammatoires se succĂšdent dans le temps et touchent diffĂ©rentes zones du systĂšme nerveux central. Par exemple, une atteinte initiale du nerf optique peut ĂȘtre suivie deux ans plus tard par des sensations d’anesthĂ©sie des jambes, correspondant Ă  une atteinte de la moelle Ă©piniĂšre. Les examens complĂ©mentaires de la sclĂ©rose en plaques Divers examens complĂ©mentaires sont mis en Ɠuvre dans le diagnostic de la sclĂ©rose en plaques L'IRM dans le diagnostic de la sclĂ©rose en plaques L’imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique IRM permet de visualiser les plaques d’inflammation dans le systĂšme nerveux central aussi bien dans le cerveau que dans la moelle Ă©piniĂšre. On utilise le terme de lĂ©sions » pour ces plaques d’inflammation. Celles-ci apparaissent comme des taches blanches hypersignaux » ou noires hyposignaux » selon les paramĂštres utilisĂ©s lors de l’IRM. Ces lĂ©sions peuvent ĂȘtre nombreuses, mĂȘme si le malade a peu de signes cliniques l’inflammation peut se situer dans des zones du cerveau qui, au vu des symptĂŽmes, ne semblaient pas ĂȘtre affectĂ©es par la sclĂ©rose en plaques. L’IRM permet d’accĂ©lĂ©rer la mise en Ă©vidence de la dissĂ©mination des symptĂŽmes dans l’espace de nombreuses lĂ©sions dissĂ©minĂ©es dans le systĂšme nerveux central, mais Ă©galement celle de leur dissĂ©mination dans le temps. En effet, avec l’injection intraveineuse d’un produit le gadolinium, il est possible de distinguer des lĂ©sions rĂ©centes datant de quelques semaines et des lĂ©sions anciennes. La preuve de la dissĂ©mination dans le temps est ainsi obtenue sans avoir Ă  attendre une nouvelle poussĂ©e de sclĂ©rose en plaques. La ponction lombaire dans le diagnostic de la sclĂ©rose en plaques La ponction lombaire n’est plus obligatoire depuis l’arrivĂ©e de l’IRM. NĂ©anmoins, elle est rĂ©alisĂ©e trĂšs frĂ©quemment car elle permet de mettre en Ă©vidence des signes d’inflammation dans le liquide cĂ©phalorachidien, qui baigne le systĂšme nerveux central. Au moindre doute, il est essentiel de la pratiquer pour confirmer le diagnostic. La mesure des potentiels Ă©voquĂ©s dans la sclĂ©rose en plaques La mesure des potentiels dits Ă©voquĂ©s permet d’étudier la qualitĂ© et la vitesse de la conduction de l’influx Ă©lectrique le long des voies nerveuses. Ainsi, on peut Ă©tudier les voies de la motricitĂ©, de la sensibilitĂ©, de l’audition ou de la vision. Parmi tous les diffĂ©rents types de potentiels Ă©voquĂ©s, seuls les potentiels Ă©voquĂ©s visuels PEV sont utiles pour permettre le diagnostic de sclĂ©rose en plaques. En cas de sclĂ©rose en plaques, on observe un ralentissement de la transmission de l’influx nerveux dans les nerfs optiques. L’allongement du temps qui sĂ©pare un stimulus visuel de la rĂ©ponse du cerveau prouve que le nerf optique a Ă©tĂ© dĂ©myĂ©linisĂ©, mĂȘme si le patient n’a pas ressenti de troubles de la vision. Les potentiels Ă©voquĂ©s peuvent donc faciliter le diagnostic de la dissĂ©mination des symptĂŽmes dans l’espace. Le diagnostic des formes progressives de sclĂ©rose en plaques Une SEP est dite progressive lorsque l’on observe une aggravation continue des symptĂŽmes neurologiques pendant au moins un an. Le diagnostic est en gĂ©nĂ©ral plus difficile Ă  poser que dans les formes dites Ă  poussĂ©es ». Il est alors indispensable d’avoir recours aux examens complĂ©mentaires une IRM du cerveau et une IRM de la moelle, complĂ©tĂ©es par la mesure des potentiels Ă©voquĂ©s visuels et une ponction lombaire afin de confirmer le diagnostic. Il s’agit de l’un des diagnostics les plus difficiles Ă  poser. Sa confirmation requiert une aggravation des symptĂŽmes cliniques sur plus d’un an ainsi que la prĂ©sence de deux Ă©lĂ©ments parmi les trois suivants des anomalies typiques sur la ponction lombaire, neuf lĂ©sions cĂ©rĂ©brales, ou quatre lĂ©sions et des potentiels Ă©voquĂ©s visuels perturbĂ©s, deux lĂ©sions de la moelle Ă©piniĂšre. Unefois les Ă©motions nĂ©gatives reconnues, acceptĂ©es et Ă©vacuĂ©es, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de "mal a dit." -Cause Ă©motionnelle des ProblĂšmes d'ESTOMAC BLOCAGE PHYSIQUE L'estomac est un organe important de la digestion, situĂ© entre l'Ɠsophage et l'intestin grĂȘle.

On dit que le sport c’est la vie, mais dans le cas de la sclĂ©rose en plaques, c’est encore plus vrai », tĂ©moigne LaĂ«titia Nadec. Ce lundi 30 mai Ă  l’hĂŽpital de la Timone, patients et soignants se sont retrouvĂ©s autour de stands pour sensibiliser et informer autour de la sclĂ©rose en plaques SEP. DiagnostiquĂ©e depuis 12 ans, LaĂ«titia Nadec est l’une des patientes du service. Il y a deux ans, une grosse crise m’a paralysĂ© le cĂŽtĂ© gauche », raconte-t-elle, mais j’ai rĂ©cupĂ©rĂ© Ă  75 % grĂące Ă  la rééducation, Ă  un traitement, au sport et Ă  la volontĂ©. » Pour cette grande sportive », la sclĂ©rose en plaques c’est une cohabitation Il y a moi et Madame SEP, je dois vivre en communion avec elle, et ne pas la dĂ©ranger pour ne pas qu’elle me dĂ©range. » Pour l’expliquer simplement, la SEP c’est le systĂšme immunitaire qui s’emballe et qui attaque les cellules saines du corps » dĂ©crit LaĂ«titia Nadec. C’est une maladie auto-immune du systĂšme nerveux central, qui affecte le cerveau, le nerf optique et la moelle Ă©piniĂšre » complĂšte Marie Delenne, une patiente ressource. Cela concerne plus de 110 000 personnes en France. Et cette altĂ©ration de myĂ©line [gaine protectrice des fibres nerveuses, Ndlr] provoque des troubles », prĂ©cise-t-elle. Si les douleurs et la fatigue ressenties par les patients sont bien lĂ , 80 % des troubles de la SEP sont invisibles ». Faire avancer la recherche Pour Rodrigue Landot, diagnostiquĂ© depuis 24 ans, la sclĂ©rose en plaques n’est pas une, mais des maladies elle ne sera jamais la mĂȘme d’une personne Ă  l’autre ». En fonction de l’agressivitĂ© de la SEP, d’oĂč la moelle Ă©piniĂšre est touchĂ©e », les troubles seront diffĂ©rents. Rodrigue Landot a perdu la vue pendant 4 ans, avant de la retrouver. L’alimentation joue beaucoup pour moi, mais il faut continuer Ă  bouger, faire des activitĂ©s, voir du monde, discuter », explique-t-il derriĂšre le stand. Les cinq troubles majeurs causĂ©s par la sclĂ©rose en plaques sont la vue, l’équilibre, la locomotion, la fatigue et la vessie », Ă©numĂšre le patient. S’il n’existe pas encore de traitement pour guĂ©rir de cette maladie, des facteurs aggravants comme le stress, la chaleur, la fatigue et les chocs Ă©motionnels » sont Ă  limiter, dĂ©veloppe-t-il. Devant le hall de l’hĂŽpital, le reste de l’équipe s’affaire autour d’un vĂ©lo d’appartement. PĂ©daler contre la sclĂ©rose en plaques, c’est le dĂ©fi relevĂ© par un patient et l’équipe de SEP en selles ». Ce lundi matin, le patient s’est engagĂ© dans un parcours de 1 000 km Ă  vĂ©lo pour rejoindre les diffĂ©rents Ă©tablissements de santĂ© et mĂ©dico-sociaux UGECAM de la rĂ©gion. L’idĂ©e c’est de faire parler de la maladie de façon positive, et de rĂ©colter des fonds pour la recherche » rĂ©sume Françoise Reuteur, neuropsychologue dans le service de neurologie inflammatoire de l’hĂŽpital de la Timone, dirigĂ© par le professeur Jean Pelletier. Une cagnotte en ligne est lancĂ©e. La cagnotte est Ă  retrouver sur

Lasclérose en plaques est une maladie neurologique qui frappe les gens de 15 à 40 ans. Les femmes sont trois fois plus à risque. Chaque jour,

PubliĂ© le 30/01/2019 Ă  15h44 , mis Ă  jour le 30/01/2019 Ă  15h44 Les douleurs touchent la majoritĂ© des patients atteints de sclĂ©rose en plaques. Elles peuvent rĂ©sulter directement de la maladie ou ĂȘtre induites par un dysfonctionnement. Si elles ne sont pas traitĂ©es correctement, les douleurs nuisent Ă  la qualitĂ© de vie du patient. Il est important de connaĂźtre leur origine pour mieux les prendre en charge. Quels sont les diffĂ©rents types de douleurs ? Comment les soulager ? Qui consulter en cas de douleurs ? On fait le point avec le Pr Patrick Hautecoeur, neurologue spĂ©cialiste de la sclĂ©rose en plaques. La sclĂ©rose en plaques SEP est une maladie chronique inflammatoire qui touche le systĂšme nerveux central SNC. Elle se caractĂ©rise par la dĂ©gradation progressive de la myĂ©line, une gaine protectrice qui permet aux cellules nerveuses de transmettre les informations entre le cerveau et le reste du corps. Dans la sclĂ©rose en plaques, les messages envoyĂ©s par notre cerveau sont mal transmis au reste du corps. Cela provoque diffĂ©rents symptĂŽmes tels que des troubles de la vision, des troubles moteurs, des troubles sensitifs, cognitifs et sphinctĂ©riens. Les douleurs, directement ou indirectement provoquĂ©es par la maladie, font Ă©galement partie du quotidien des patients. La douleur, un symptĂŽme typique mais pas systĂ©matique La douleur n’est pas systĂ©matique dans la sclĂ©rose en plaques SEP, elle est toutefois frĂ©quente. "Plus de 50 % des malades ont mal. Et prĂšs de 70 Ă  75 % des patients ressentent des douleurs dans les mois qui prĂ©cĂšdent la consultation chez leur neurologue", fait remarquer le Pr Hautecoeur. L’apparition des premiĂšres douleurs n’est pas liĂ©e Ă  l’anciennetĂ© de la maladie. La douleur ne signifie pas que la maladie est dĂ©jĂ  bien installĂ©e, elle peut mĂȘme intervenir dĂšs la premiĂšre poussĂ©e. A savoir aussi que la douleur n’est pas toujours le premier signe de la maladie. "Le premier symptĂŽme est souvent la nĂ©vrite optique, une inflammation du nerf optique qui provoque une perte partielle ou complĂšte de la vision et dont la douleur est augmentĂ©e par la mobilisation des yeux", explique le neurologue. On estime que dans 20 Ă  30 % des cas, la nĂ©vrite optique est rĂ©vĂ©latrice de la SEP. Your browser cannot play this video. Les diffĂ©rents types de douleurs dans la SEP Trois types de douleurs ont Ă©tĂ© identifiĂ©s dans la SEP, en fonction de leur origine. Les douleurs neurogĂšnes sont provoquĂ©es par une atteinte du systĂšme nerveux central. Elles sont donc directement liĂ©es Ă  la maladie. Ce sont les douleurs les plus frĂ©quentes 60 % des douleurs dans la SEP. "Elles se caractĂ©risent par des sensations de brĂ»lures, de dĂ©charges Ă©lectriques, de piqĂ»res aux extrĂ©mitĂ©s des membres, de rĂ©action douloureuse au toucher", dĂ©taille le douleurs secondaires sont dĂ©clenchĂ©es par un dysfonctionnement. Ce sont souvent des troubles musculaires comme des raideurs ou de la spasticitĂ© contraction violente des muscles. Elles peuvent Ă©galement ĂȘtre la consĂ©quence de mauvaises positions adoptĂ©es face Ă  des difficultĂ©s Ă  la marche ou des troubles de l’équilibre. "On observe alors des tendinites ou des lombalgies".Les douleurs iatrogĂšnes sont liĂ©es au traitement de fond de la SEP. Il peut s’agir de gĂȘnes musculaires ou de maux de tĂȘte. "Ce sont principalement les douleurs ressenties aux points d’injection en cas de traitement par injections. Mais il y en a de moins en moins car on traite le plus souvent avec des comprimĂ©s" indique le Pr Hautecoeur. SEP les traitements pour soulager les douleurs La prise en charge des douleurs est pluridisciplinaire et le traitement est adaptĂ© Ă  l’origine de la douleur. Les douleurs neuropathiques dans les nerfs situĂ©s Ă  l’extĂ©rieur de la moelle Ă©piniĂšre sont soulagĂ©es grĂące aux antiĂ©pileptiques, antidĂ©presseurs ou encore Ă  l’hypnose. Les nĂ©vralgies douleurs sur le trajet d’un nerf sensitif comme la sciatique sont traitĂ©es avec des antiĂ©pileptiques, la thermocoagulation destruction par la chaleur des ganglions des nerfs impliquĂ©s dans la douleur ou la radiothĂ©rapie ciblĂ©e sur les ganglions. En cas de douleurs secondaires, on privilĂ©gie les traitements prescrits habituellement dans les rhumatismes. "Les massages profonds par un kinĂ©sithĂ©rapeute, la rééducation, la correction de la posture, l’activitĂ© physique rĂ©guliĂšre
 permettent de soulager ces douleurs". Les douleurs iatrogĂšnes se traitent avec des antalgiques, des anesthĂ©siques locaux ou bien par le changement du site d’injection. Attention, les croyances des patients sur certaines mĂ©dicaments peuvent ĂȘtre un obstacle Ă  l’observance des traitements. "La prise d’antidĂ©presseurs ou d'anti-Ă©pileptiques peut faire peur aux malades qui ne comprennent pas pourquoi on leur prescrit des antidĂ©presseurs ou des antiĂ©pileptiques alors qu’ils ne souffrent pas de dĂ©pression, ni d’épilepsie. Il y a une rĂ©elle nĂ©cessitĂ© Ă  faire de la pĂ©dagogie sur les diffĂ©rentes actions des mĂ©dicaments auprĂšs des patients atteints de SEP, pour les rassurer sur leurs croyances et leur montrer dans quelle mesure certaines molĂ©cules sont efficaces pour traiter leurs douleurs", insiste le spĂ©cialiste. À voir aussi Toujours parler de ses douleurs Ă  son mĂ©decin Le patient ne doit jamais souffrir en silence au risque de passer Ă  cĂŽtĂ© de traitements adaptĂ©s. La douleur est malheureusement un symptĂŽme trop souvent nĂ©gligĂ© par les patients. Ils n’ont pas toujours le rĂ©flexe d’aller consulter en cas de douleur qu’ils n’associent pas Ă  la SEP. Par exemple, un simple mal de dos peut en fait ĂȘtre la consĂ©quence d’une spasticitĂ©, un des symptĂŽmes de la SEP. A la moindre douleur, il faut consulter son neurologue pour lui en parler. Your browser cannot play this video. Les soignants aussi peuvent nĂ©gliger la douleur. Aller voir son mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste en cas de douleur n’est pas toujours judicieux, selon le Pr Hautecoeur "certains mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes ne font pas toujours le lien entre certaines douleurs et la SEP car ils ne connaissent pas bien la maladie. Sur l’ensemble de sa patientĂšle, un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste a en moyenne un patient souffrant de SEP. Les gĂ©nĂ©ralistes devraient pourtant jouer un rĂŽle central dans la SEP notamment dans la reconnaissance de poussĂ©es et de non poussĂ©es, des types de douleurs. Ils se doivent d’ĂȘtre de bons cliniciens pour pouvoir renvoyer les patients vers les spĂ©cialistes adaptĂ©s et faciliter une prise en charge optimale". La douleur est un aspect de la maladie pouvant ĂȘtre handicapant, mais il est possible de la soulager, voire de la supprimer. Elle est dĂ©terminante pour comprendre l’évolution de la maladie et ainsi adapter au mieux les traitements afin d’amĂ©liorer la qualitĂ© de vie du patient. D’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’en parler. SclĂ©roseen plaques ou SEP Les dĂ©gĂąts psychologiques qu’ils crĂ©ent font malheureusement parfois plus de mal que la maladie elle-mĂȘme. Le silence n’est pas toujours d’or. Plus il y aura de partage entre . Les mĂ©decins, les neurologues, L’entourage et le patient, Plus il y aura de chance de mieux vivre son mal. A tous ceux qui liront ces textes La crĂ©ation de ce site est un

Il existe diffĂ©rents types de sclĂ©rose en plaques, ils sont tous graves. Leur diagnostic et leur traitement est complexe car chaque professionnel doit adapter le programme thĂ©rapeutique de façon individuelle. La sclĂ©rose en plaques est une maladie grave avec une issue fatale. Malheureusement, il existe diffĂ©rents types de sclĂ©rose en plaques, et il n’est pas toujours facile de les identifier pour les diffĂ©rencier les uns des s’agit d’une pathologie chronique qui n’a pas de guĂ©rison. Par consĂ©quent, recevoir son diagnostic est une nouvelle prĂ©occupante qui dĂ©fait toutes les attentes chez les patients et leurs sa complexitĂ©, nous devons Ă©galement ajouter que la clinique a cataloguĂ© diffĂ©rentes formes de maladie, qui sont toutes graves. Si l’équipe professionnelle traitante n’est pas en mesure de trouver le type de maladie en question chez chaque patient, le dĂ©but du traitement appropriĂ© est tant que pathologie neurologie, elle est une cause trĂšs frĂ©quente de handicap puisqu’elle tend Ă  apparaĂźtre chez les jeunes adultes, gĂ©nĂ©ralement de moins de 40 ans. Ce sont des patients qui doivent abandonner leurs Ă©tudes et leur travail dans la plupart des ailleurs, tous les types de cette maladie sont auto-immuns. Autrement dit, le corps lui-mĂȘme attaque ses propres composants. Dans ce cas, il fabrique des anticorps qui dĂ©truisent la myĂ©line, une substance qui recouvre les nerfs. GrĂące Ă  la myĂ©line, la transmission des impulsions nerveuses est possible. Sa destruction endommage la connectivitĂ© de la sclĂ©rose en plaquesPresque tous les types de sclĂ©rose en plaques partagent les mĂȘmes symptĂŽmes. Ce qui varie gĂ©nĂ©ralement, c’est la forme de prĂ©sentation ainsi que le type d’évolution dans le principaux signes de la maladie se manifestent dans l’appareil locomoteur. En effet, les patients Ă©prouvent une faiblesse dans les membres, ils ont du mal Ă  marcher et perdent l’équilibre. Les bras deviennent Ă©galement plus faibles, et surviennent alors des chutes soudaines d’objets, comme les tasses ou les part, les crampes sont aussi un symptĂŽme commun, accompagnĂ©es de douleur dans le muscle qui se contracte de maniĂšre involontaire. MĂȘme si la personne veut assouplir la zone contractĂ©e, elle n’y parvient plus des crampes, les muscles affectĂ©s sont soumis Ă  des tremblements et des spasmes. Il va sans dire que cela entrave considĂ©rablement les activitĂ©s de la vie quotidienne. Autrement dit, la maladie compromet la qualitĂ© de autre systĂšme touchĂ© est le systĂšme digestif. Les diffĂ©rents types de sclĂ©rose en plaques provoquent la constipation et la rĂ©tention d’urine. Cela a lieu parce que les nerfs qui devraient transmettre l’information du mouvement pĂ©ristaltique sont sans d’autres organes qui subissent une importante affectation sont les yeux. Certains patients dĂ©butent avec le symptĂŽme de la vision double, avant de souffrir de troubles ou de faiblesse dans les membres. En plus de la vision double, des mouvements rapides et incontrĂŽlĂ©s des globes oculaires peuvent se manifester.“La sclĂ©rose en plaques dĂ©truit la myĂ©line des nerfs et diminue la transmission des informations entre les neurones.” Lisez Ă©galement A quel Ăąge peut apparaĂźtre la sclĂ©rose en plaques ?Types de sclĂ©rose en plaquesLes protocoles de diagnostic de la maladie ont identifiĂ© quatre type de sclĂ©rose en plaques SEP-RR il s’agit de la sclĂ©rose en plaques rĂ©currente-rĂ©mittente. Elle est nommĂ©e ainsi parce qu’elle alterne entre des pĂ©riodes de poussĂ©es aiguĂ«s avec d’autres symptĂŽmes, puis d’autres phases de plusieurs mois sans signes de la pathologie. L’apparition des poussĂ©es est souvent liĂ©e Ă  un nouveau secteur neurologique touchĂ© par le manque de myĂ©line. C’est le type de sclĂ©rose en plaques le plus frĂ©quent des quatre. SEP-PS la sclĂ©rose en plaques progressive secondaire est celle qui commence comme une SEP-RR, mais Ă©volue vers une forme de symptĂŽmes permanents, sans pĂ©riodes de repos. SEP-PP c’est la sclĂ©rose en plaques progressive primaire. Il n’y a presque pas de pĂ©riodes sans symptĂŽmes et elle dĂ©bute de façon progressive depuis zĂ©ro, sans Ă©voluer Ă  partir de la forme SEP-RR. C’est ce qui la diffĂ©rencie du type prĂ©cĂ©dent. SEP-RP il s’agit du type de sclĂ©rose en plaques le moins frĂ©quent et se nomme sclĂ©rose en plaques rĂ©mittente-progressive. Les poussĂ©es aiguĂ«s se chevauchent. “Dans la majoritĂ© des cas, tous les types de sclĂ©rose en plaques entraĂźnent des handicaps chez les patients. Beaucoup d’entre eux ne pourront pas retourner Ă©tudier ou travailler.” DĂ©couvrez plus 7 astuces pour prĂ©venir les maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©rativesDiagnostic et traitementLa CommunautĂ© Scientifique Internationale a convenu que les critĂšres de McDonald sont la norme pour diagnostiquer tous les types de sclĂ©rose en plaques. Ensuite, il faut attendre l’évolution de la maladie pour savoir de quel type il s’ ailleurs, le traitement est similaire pour tous. Pour les poussĂ©es aiguĂ«s avec des signes d’évolution de perte de la myĂ©line, des corticoĂŻdes sont administrĂ©s. Concernant les pĂ©riodes d’intervalle, des mĂ©dicaments modifiant l’évolution sont gĂ©nĂ©ralement les mĂ©dicaments, la rééducation Ă  travers diverses thĂ©rapies se concentre sur les habiletĂ©s qui se perdent petit Ă  petit. Dans ce processus, des kinĂ©siologues, des orthophonistes et des ergothĂ©rapeutes sont diffĂ©rents types coĂŻncident en termes de gravitĂ©Bien qu’elle prĂ©sente diffĂ©rents types, la maladie est toujours grave. Son Ă©volution est chronique et progressive, avec la perte des fonctions au fil du temps. Aucun moyen n’existe actuellement pour la soigner, mĂȘme si des progrĂšs considĂ©rables ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s en matiĂšre de contrĂŽle pourrait vous intĂ©resser ...

MalgrĂ© ma sclĂ©rose en plaque, je vais tenter dimanche un record du monde de triathlon en duo avec mon neurologue, notre message : soignants, soignĂ©s, ensemble on peut aller plus loin » - Un duo pas comme les autres va s’élancer, dimanche 28 aoĂ»t de Saint-Malo pour tenter de battre un record du monde. Un patient atteint de sclĂ©rose en plaques de 52 ans et son
ChristinaApplegate n'est pas la seule personnalité à souffrir de sclérose en plaques, maladie auto-immune du cerveau et de la moelle épiniÚre. Son amie de longue date Selma Blair, avec
Lemal de vivre avec la sclérose en plaques Publié le 14 septembre 2010 la 14e marche de l'espoir pour financer la recherche en vue de trouver la cause de la sclérose en plaques (SP) s'est tenue hier à Québec. Si on ne meurt que trÚs rarement de la SP, cette maladie pousserait néanmoins certaines personnes atteintes à se donner la mort. «Ce débat [sur le droit de
Ilm’a fallu pas moins de 7 longues annĂ©es pour apprendre Ă  vivre avec la sclĂ©rose en plaques, mais aussi pour comprendre qu’il s’agissait d’une maladie grave. Pendant tout ce
Etpuis j'ai dit merde aussi Ă  cette conseillĂšre qui m'appelait rĂ©guliĂšrement pour me faire parler de ce mal-ĂȘtre qui devait m'habiter Ă  cause de Ily a quelques annĂ©es on dĂ©conseillait aux femmes atteintes de sclĂ©rose en plaques, d’avoir des enfants. Aujourd’hui, beaucoup d’études ont Ă©tĂ© faites et ont dĂ©montrĂ© que ce n’est pas du tout incompatible. Pendant la grossesse, la mĂšre est protĂ©gĂ©e par les hormones. Elle ne fait pas ou peu de poussĂ©es.
Enchiffres. 1 personne sur 1000 touchĂ©e par la sclĂ©rose en plaques en Suisse. 30 ans: l’ñge moyen auquel survient la maladie.. x2 environ:le risque de dĂ©clencher la maladie en cas de tabagisme (1 paquet par jour en moyenne).. 2/3 des patients atteints de sclĂ©rose en plaques sont des femmes.. 85% des patients sont atteints de la forme dite «poussĂ©e
.